Insécurité: Le siège du SLEECG victime d’attaque

Le drame s’est produit dans la nuit de 07 au 08 Août dernier selon le Secrétaire général de ladite institution

Le siège du Syndicat Libre des Enseignants et Chercheurs de Guinée, (SLECG) sis à Donka, a été cambriolé hier nuit par des inconnus. Aboubacar Soumah, le secrétaire général du SLEECG, accuse le SLEECG version Kadiatou Bah et Louis Bemba Soumah secrétaire général de l’USTG d’être derrière cette attaque.

Il faut rappeler que le syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée version Aboubacar Soumah s’est désaffilié de l’union syndicale des travailleurs de Guinée dirigé par le camarade Louis Bemba Soumah dans une déclaration rendue publique lundi dernier lors d’une conférence qu’elle avait organisé à son siège à Donka.

« Je n’ai jamais rencontré Sekouba Konate » dixit Cellou Dalein Diallo

Lors d’une sortie médiatique, le Général Sekouba Konate a dit avoir reçu de l’argent des mains de certains leaders notamment Cellou Dalein Diallo

Au cours d’une conférence de presse tenue ce mardi, le mis en cause s’est prononcé pour la première fois sur cette sortie du Général Konate. Cellou Dalein Diallo dit n’avoir pas besoin, à cette époque, de corrompre qui que ce soit.

Je n’ai jamais rencontré  Général Sekouba Konate entre le premier et le deuxième tour de l’élection présidentielle. J’avais un excès de confiance en moi. J’avais un score de 41%, Alpha avait un score minable de 18%. Je n’avais aucun doute que j’allais gagner cette élection. Je n’avais pas besoin de corrompre le général Sekouba Konate avec le soutien de Sidya et de Abe Sylla, j’etais trop sûr de moi… » rapporte le candidat à l’élection présidentielle.

Poursuivant, Cellou Dalein Diallo dit connaître certaines personnes qui auraient réussi à corrompre le général Sekouba Konate et certains commissaires à la commission électorale nationale indépendante. Mais, dit il, « l’essentiel maintenant c’est 2020. »

« Je ne cite pas de nom de ceux qui ont corrompu le général pour qu’on me refuse cette victoire en 2010. Le rapport qui a été déposé à la cour suprême après la publication des résultats, n’a pas été statué parce qu’il y avait une pression sur tout le monde. Mais je considère que tout cela est derrière, maintenant je prépare 2020 »

« S’il y avait à corrompre peut être c’étaient les commissaires de la CENI, mais j’étais tellement sûr de moi-même que je ne l’ai pas fait. » a conclu Cellou Dalein Diallo, chef de file de l’opposition guinéenne.

 

L’opposition marchera vaille que vaille sur l’autoroute ce jeudi

En effet,  l’opposition républicaine projette une marche pacifique demain jeudi 09 août 2018 sur l’autoroute Fidel Castro. 

Un nouveau bras de fer s’annonce entre opposition et gouvernement guinéens.   La commission d’organisation de la dite marche a écrit une lettre d’information à la commune de Matoto.  Comme il fallait s’y attendre,  cette commune n’a pas autorisé la marche. Le secrétaire général de ladite commune a motivé sa décision par le fait que le ministre de l’administration du territoire et de la décentralisation a, à travers un message radio, interdit toutes manifestations sur toute l’étendue du territoire national.  Chose que l’opposition guinéenne n’approuve pas.  Au cours d’une conférence de presse animée  dans la soirée de ce mardi 07 août, Cellou Dalein Diallo et ses pairs ont annoncé l’intention de braver cette interdiction du secrétaire général de la commune de Matoto.

« Nous marcherons comme prévu sur l’itinéraire Tannerie-Gbessia-Kenien-belle vue-28 stade du septembre. » a insisté Dr Faya Millimono avant de préciser que rien ne justifie l’interdiction de cette marche par le secrétaire général de Matoto. «  Nous pensons que le gouvernement actuel est clairement dans la voie d’implanter la tyrannie dans notre pays. Entre la loi et l’ordre public, le ministre Bourema Condé dit privilégier l’ordre public.  Nous disons tout simplement que c’est le respect de la loi par tout le monde à commencer par le président qui permet d’établir l’ordre public. »

Les opposants au régime d’Alpha Condé ont, lors de cette conférence, rappelé avoir donné la chance au premier ministre de résoudre les différends qui sont à la base de la crise politique que connaît le pays depuis le lendemain de l’élection communale du 04 février dernier. Chose qui, selon eux, n’a pas encore été fait.

Il est à noter que cette marche vise à exiger « les vrais résultats » des communales du 04 février, l’ouverture des enquêtes pour arrêter et condamner les coupables des tueries lors des manifestations politiques depuis 2010, la libération des militants de l’opposition détenus dans différentes prisons du pays et l’installation de la haute cour de justice.

À cette allure, les craintes que cette crise politique prenne de l’ampleur de la crise  sont énormes, car, pouvoir et opposition se rejettent la responsabilité d’une mauvaise foi et d’un non-respect des lois de la République.

 

Un corps sans vie découvert à Yattaya Fossidere

Le corps sans vie d’un homme a été découvert le 06 août 2018 à Yattaya Fossidere dans la commune de Ratoma.

Il était logé dans un caniveau faisant face à une briqueterie. Il a été découvert par des ouvriers d’une entreprise de construction, qui étaient dans une opération de curage de caniveau, qui empêchait la circulation normale des eaux de pluie.

« C’est pendant le curage des caniveaux que nous avons découvert ce corps. Aussitôt nous avons alerté les autorités. » a témoigné un ouvrier.

Après avoir reçu l’information,  les autorités du quartier se sont rendues sur les lieux afin de procéder à une éventuelle identification du corps. Ce qui fut impossible car le corps était déjà en décomposition très poussée. Une unité régionale de police scientifique et technique de la gendarmerie nationale a procédé à un constat afin d’ouvrir des enquêtes.

Pour le chef de quartier, ce corps ne peut être identifié que sur papier d’adresse.

« Le corps est en état de décomposition très poussée, on ne peut pas connaître maintenant l’identité. On attend les autorités s’ils peuvent fouiller dans sa poche, pour voir si on peut trouver un papier d’adresse, mais physiquement on ne peut pas l’identifier » se confie-t-il.

Au moment où nous quittions les lieux, le corps était encore sur place en attente de la croix rouge.

Aux dernières nouvelles, le corps a été enterré au cimetière de Yattaya sous la responsabilité des autorités du quartier sur ordre du procureur de la République près le tribunal de Ratoma.

 

La CAF suspend un arbitre guinéen pour corruption

Il s’agit de l’arbitre FIFA Me Baba Léno, qui a officié le 05 mai dernier la finale du tournoi UFOA au Libéria.

La CAF ne badine plus. L’instance dirigeante du football Africain, vient d’administrer une suspension provisoire à plusieurs arbitres du continent.

La sanction tombée ce dimanche 05 aout 2018, vise huit (8) officiels dont un Guinéen. Il s’agit de l’arbitre FIFA Me Baba Léno, qui a officié le 05 mai dernier la finale du tournoi UFOA au Libéria.

« Le sifflet Guinéen, Baba Léno vient d’être suspendu provisoirement de toute activité de football et ce, jusqu’à la prochaine réunion de la commission de discipline de la confédération Africaine de football (CAF). Une décision prise le dimanche, 05 août 2018 au cours de la réunion qui a statué sur les allégations de corruption formulées à l’encontre de plusieurs officiels dont l’arbitre FIFA de la Guinée, Baba Léno. Son sort dépendra donc du résultat de la prochaine séance dont la date n’est pas encore fixée » informe le site Guinéenews.

Le Sénégalais Daouda Gueye, les Congolais Nkounkou Messie, Yamba Amand Braud, Blaise Boutamba, le Béninois Bello Aboudou le Bissau-guinéen Aderito Marida Silva et le malgache Hamada Nampiandraza sont les autres arbitres victimes de la mesure prise par la CAF.

Hadja 2018: Encore des pèlerins dans l’impasse

Au centre islamique de Donka, plus rien ne va entre les pèlerins guinéens et le  secrétariat général des affaires religieuses.

Les pèlerins sont remontés contre ce qu’ils appellent « le copinage »  qui serait organisé par le secrétaire général aux affaires religieuses dans l’organisation du hadj 2018.

Selon ces pèlerins, ils ne peuvent pas rester sans dénoncer ce comportement des cadres du secrétariat général des affaires religieuses, en complicité avec le secrétaire général Aly Jamal Bangoura qui, par la corruption, aurait envoyé plusieurs pèlerins à son nom propre dont certains membres de sa famille.

C’est une dame assis sur une chaise avec une mine serrée, qui interpelle notre reporter pour l’expliquer de son mécontentement, sur le processus du déroulement du Hadja.  « Ce qui se passe ici est anormal. Ils donnent la priorité aux pèlerins qui se sont inscrits aux agences de voyage privées. Nous qui sommes de la ligue, on nous laisse ici durant des jours, on dirait que ce n’est pas de l’argent qu’on a payé alors que, moi j’ai tout payé depuis le mois de ramadan. Je suis là depuis une semaine, mes habits sont salles et je n’ai personne à Conakry. Je viens de loin et mon argent de poste aussi tend  vers la fin. Je connais des gens qui ont passé deux semaines ici et qui ont beaucoup souffert avant de bouger» a déclaré  pèlerin sous l’anonymat.

Même son de cloche pour Mory Sara Cisse un autre candidat, venu  de Djécké, localité de la région forestière. « Aujourd’hui, les agences privées de voyage sont mieux. Moi je suis là depuis plus de quatre jours mais, jusqu’à présent, on ne m’a pas appelé. Chaque jour, on me programme, mais jusqu’à présent rien. Je ne sais même pas où se trouve mon passeport. J’ai mon grand frère qui doit partir aussi, mais lui, comme c’est avec les agences, il a été situé par rapport à son départ » déclare-t-il.

Il faut noter qu’ils sont encore nombreux les candidats au pèlerinage qui s’impatientent au niveau des différents points de regroupement de Conakry.

 

Société : le Balai Citoyen porte plainte contre Dr Ousmane Kaba

Lors d’une conférence de presse animée hier, le mouvement a annoncé, à travers son avocat,  avoir porté plainte contre le président du PADES pour propos ethnocentriques et propagandistes.

D’entrée, Me Salifou Béavogui, avocat de CBC a rappelé l’importance de la paix. « Nous avons besoin de la paix, aucune nation ne peut se construire dans le désordre. La paix ce n’est pas un vain mot  c’est un comportement. Chaque guinéen doit avoir un langage constructif, s’éloigner des propos régionalistes, des attitudes propagandistes de nature à saper l’unité nationale, de nature à opposer à travers des propos les uns contre les autres ».

Le  31 juillet dernier, l’honorable Ousmane Kaba, répondant aux questions d’un journaliste d’une radio privée à Kankan, aurait, selon maître Beavogui, tenue des propos qui dit-il vont à l’encontre de l’unité nationale.

À en croire l’avocat du Balai Citoyen, ces propos ont été transcris sur CD et sur support mais également sous forme de document, afin de servir de preuves contre l’accusé.

« … Et même le général Sékouba Konaté doit être associé puisqu’ il a été celui qui a donné le pouvoir au mandingue car les autres aussi voulaient le pouvoir… ». C’est surtout ce passage qui demande un peu plus d’éclaircissement affirme l’avocat du balai citoyen avant de préciser que  c’est une déclaration profonde qui  est mise à l’analyse de tous les guinéens.

C’est pourquoi rajoute-t-il  que « la Cellule Balai Citoyen a saisi le procureur général et  le procureur de la République près du tribunal de première instance de Dixinn, une saisine simultané. A la suite de ces saisines, j’ai été constitué en tant qu’ONG pour assurer leur défense que j’entends assumer conformément à la loi. » a-t-il annoncé avant d’ajouter que cette saisine est basée sur «  l’article 4 de loi fondamentale qui  renvoi directement aux articles 313, 314 et 533 du code pénal sur la discrimination, des propos régionalistes, ethnocentriques  et les opinons  données en discrédit. Toutes ces attitudes, tous ces comportements, sont regroupés dans ces dispositions… »

Parlant de l’immunité parlementaire du député, l’avocat soutien que dans ce cas précis, « l’auteur des propos ne peut bénéficier de l’immunité parlementaire, dès lors que les propos  ont été tenus moins de 10 jours, c’est-à-dire le 31 juillet 2018 renouvelable d’ailleurs une fois  conformément à l’article 63 du code de procédure pénal. Donc nous estimons qu’on n’aura même pas besoin de la levée de l’immunité parlementaire parce que nous sommes en flagrant délit.  Les propos tenus sont encore vivaces, existants, écoutables et rattrapables à chaud», conclut-il.

Il faut rappeler que la cellule Balai citoyen n’est pas à sa première. La cellule avait, à un moment donné porté plainte contre des communicants de certains partis politiques. Certains d’entre eux ont été jugés et condamnés avec sursis et d’autres sont entrain de purger leur peine en prison.

 

 

Sport: l’ACEFOOT relance son 1er championnat des Cadet et junior

L’objectif vise à dénicher des talents en vue d’une sélection  pour chacune des deux catégories sous la supervision de la DTN.

Après une trêve de plusieurs mois pour cause de problèmes liés à la disponibilité du stade annexe du 28 septembre qui abrite ce tournoi, l’association des centres et écoles de Football de Guinée (ACEFOOT) a relancé son premier championnat  le 15 juillet avec les cadets. Contrairement aux juniors qui ont débuté en novembre dernier. Avec 75 membres, son bureau exécutif est constitué des directeurs et présidents des centres.

Ces différentes sélections serviront de réservoir aux équipes cadette et junior devant disputer les challenges internationaux, soutient le Vice-président de l’ACEFOOT,  Sory Doumbouya.

Faut-il le rappeler que depuis 1976, la Guinée n’a jamais disputer la finale d’une coupe d’Afrique des Nations (CAN).

« C’est parti de ce constat que le président de l’ACEFOOT Guinée ; Mamadi Kourouma qui a initié ce projet en s’inspirant de l’exemple Malien. Ce pays a lancé sa structure en 2002 et ce fut une réussite. Car, c’est à travers elle, que certains grands joueurs, à  l’image de Seydou Kéita, Mamadou Diarra et autres qui, dans un passé récent ont fait  la fierté du football Malien et Africain et ils financent aujourd’hui les différents centres de Bamako », a confié Sory Doumbouya qui justifie cette initiative par la volonté d’aider au développement du football guinéen à la base.

« Le football ne doit pas concerner l’élite seulement, la base doit être le socle de l’élite. S’il n’ya pas de base, l’élite aussi ne peut pas se pérenniser. C’est dans cet élan que le Directeur technique National, Chérif Souleymane est en train, à sa manière, de nous appuyer à formaliser nos projets afin que cela puisse être prolifique  pour notre chère Guinée’’, a expliqué  le Vice-président de l’ACEFOOT.

Regroupant uniquement les centres de la zone de Conakry, répartis en deux poules de 8. Ils sont au nombre de 16 et de 30 équipes pour respectivement les catégories cadette et junior.  Aux dires de M. Doumbouya, l’absence des centres de l’intérieur (Kankan, Kindia et Coyah), s’explique par un manque de moyens financiers.

En dépit de ces difficultés financières et de terrain, nous comptons  poursuivre cette  activité jusqu’au  13 octobre prochain, rassure  la 2ème personnalité de l’ACEFOOT. Avant de rappeler l’organisation du tournoi International qui a connu la participation de trois centres du Mali. Ce sont les centres Diarra, Agni et Salif Kéita en octobre 2017. Au cours de ces rencontres, le niveau de nos jeunes footballeurs ont été mis en évidence.

A en croire les organisateurs, les activités sont financées avec la cotisation de ses membres qui déboursent 30.000 par mois et l’adhésion est fixée à 150.000 francs guinéens.

L’ACEFOOT évolue avec différentes catégories dont les âges sont compris entre 6 et 9 ans (poussins), les pupilles de 9 à 11 ans, les minimes de 12 à 14 ans  et les  juniors U17. Le  Rendez- vous est donc  pris pour l’année prochaine.

 

Ministère de la Justice : Alpha Condé nomme de nouveaux magistrats

Plusieurs magistrats et des hautes personnalités du département de la justice ont été nommés le 6 Août par un décret du Président Alpha Condé

Secrétaire Général : Mr Moussa Kourouma Confirmé

Chef de cabinet : Mohamed Koly Camara, Confirmé

Conseiller principal Hassane II Diallo, Précédemment secrétaire exécutif de la Réforme de la Justice

Conseiller Chargé de la Justice de proximité Mme Mariama Sadio Diallo, Confirmée

Conseiller chargé des lois et règlements, Mr Alpha Seny Camara précédemment juge au tribunal militaire de Conakry

Conseiller chargé des questions institutionnelles : Mr Bader KABA,Juriste, ancien conseiller à la CENI ?

Conseiller Technique chargé des prisons Aly badra Thiam

Conseiller chargé de mission : Mr Aboubacar Naba Camara Administrateur civil,assistant du ministre des Travaux Publics

Attaché de cabinet : Jacob Millimono, Confirmé

Directeur exécutif du programme de réforme de la justice et de la coopération : Mamadouba Keita, précédemment directeur national des affaires criminelles et de grâce.

Directeur exécutif adjoint du programme de la réforme de la justice et de la coopération : M. Mohamed Sylla, précédemment directeur national adjoint des affaires civiles et des sceaux.

Directeur national de l’accès au droit et à la justice : Bademba Barry, précédemment conseiller technique au cabinet du ministre.

Directrice nationale adjointe au droit et à la justice : Madame Halimatou Diallo, précédemment présidente de la chambre arbitrage de Conakry.

Directeur national des affaires judiciaires : M. Alpha Saliou Barry, confirmé.

Directeur national adjoint des affaires judiciaires : Mariame Camara, magistrat, précédemment conseillée juridique à la HAC.

Juge de paix de Youmou : Lansana Cissé, précédemment juge au TPI de Mafanco.

Juge d’instruction : Aboubacar Soumah, précédemment juge d’instruction au TPI de Kankan.

Tribunal militaire permanent de Conakry : Président, Lala Keita, précédemment juge au même tribunal.

Juge Francis Kova Zoumanigui, précédemment juge au TPI de Dixinn

Juge d’instruction : Madame Diaka Sylla, précédemment juge d’instruction à Dixinn.

Tribunal de commerce de Conakry : président, Pierre Lamah, président de la commission nationale de l’OHADA, précédemment juge au TPI de Kaloum.

 

Crise syndicale: Le SLEECG quitte l’USTG

Le syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée (SLEECG)  version Aboubacar Soumah se désaffilie de l’union syndicale des travailleurs de Guinée (USTG) dirigée par Louis Bemba Soumah.

La décision a été rendue publique ce lundi 06 août 2018 au siège du SLEECG.

Le Syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée justifie sa décision par les multiples « différends inconciliables qui ont toujours caractérisé » les relations entre le SLEECG et l’USTG.

Il est donc désormais formellement interdit aux membres du syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée, à tous les niveaux, de prendre part aux activités de l’Union syndicale des travailleurs de Guinée.