Abidjan accueille le 3e sommet de AfricTivistes

Le 3e sommet de AfricTivistes s’ouvre le jeudi prochain à Abidjan autour du thème « promouvoir le développement et la gouvernance démocratique de l’internet en Afrique ».

Cette édition permettra de mettre en avant la maturité des écosystèmes africains et d’encourager la réflexion pour imaginer les scénarios des futurs possibles et des nouvelles perspectives africaines de la société de l’information et du cyberespace.

Ce sera aussi l’occasion de réfléchir sur les différentes questions liées aux mécanismes systémiques et institutionnels de gouvernance d’internet pour un écosystème plus juste et plus respectueux des droits humains, souligne l’organisation dans un communiqué transmis à APA, dimanche.

« Ce sommet d’Abidjan, marque une réelle volonté d’intégration africaine, de consolidation des différentes initiatives pour un internet plus neutre et accessible et de mutualisation des compétences à l’échelle du continent et auprès des citoyens actifs que nous composons », ajoute l’organisation précisant que les travaux se dérouleront les 11, 12 et 13 novembre.

Au-delà de la mise en réseau d’acteurs de changement et de la promotion de la démocratie participative, les Sommets AfricTivistes symbolisent aussi une activité au titre d’un événement d’une ‘’Union Africaine” des peuples.

Ce rendez-vous continental se déroulera sur trois jours et réunira 70 personnes dont 20 locaux. Ces activistes du web, acteurs du changement, membres de mouvements sociaux, chercheurs et innovateurs, partenaires, blogueurs, journalistes et netizens du continent vont se pencher sur plusieurs  thématiques.

Il s’agit notamment :  Compétences numériques et communautés en ligne; Gouvernements: goulot d’étranglement pour le développement de l’Internet en Afrique ?; Perturbations à l’engagement civique en raison du manque d’accès à internet; Gouvernance de l’Internet en Afrique : quels rôles pour  la société civile; Utiliser les réseaux d’organisations de la société civile pour promouvoir la démocratie en Afrique.

Cet évènement est organisé chaque deux ans en vue de discuter des enjeux du continent en relation avec la démocratie et la bonne gouvernance ainsi que la place et l’impact du numérique dans les processus démocratiques, la gouvernance et la conscience citoyenne.

AfricTivistes est une organisation panafricaine basée à Dakar. AfricTivistes fédère les blogueurs et web-activistes du continent pour promouvoir et défendre les valeurs démocratiques, les droits humains et la bonne gouvernance à travers le numérique.

Lancée en novembre 2015, AfricTivistes est une sentinelle de la démocratie dans tous les pays africains. A ce titre, la ligue est résolue à intervenir directement ou à faire des plaidoyers pour faire intervenir des acteurs dans les différents processus de changement politique et social.

 Elle mène et pilote des projets de développement et d’implication citoyenne dans les dispositifs démocratiques.

Abidjan accueille le 3e sommet de AfricTivistes

Le 3e sommet de AfricTivistes s’ouvre le jeudi prochain à Abidjan autour du thème « promouvoir le développement et la gouvernance démocratique de l’internet en Afrique ».

Cette édition permettra de mettre en avant la maturité des écosystèmes africains et d’encourager la réflexion pour imaginer les scénarios des futurs possibles et des nouvelles perspectives africaines de la société de l’information et du cyberespace.

Ce sera aussi l’occasion de réfléchir sur les différentes questions liées aux mécanismes systémiques et institutionnels de gouvernance d’internet pour un écosystème plus juste et plus respectueux des droits humains, souligne l’organisation dans un communiqué transmis à APA, dimanche.

« Ce sommet d’Abidjan, marque une réelle volonté d’intégration africaine, de consolidation des différentes initiatives pour un internet plus neutre et accessible et de mutualisation des compétences à l’échelle du continent et auprès des citoyens actifs que nous composons », ajoute l’organisation précisant que les travaux se dérouleront les 11, 12 et 13 novembre.

Au-delà de la mise en réseau d’acteurs de changement et de la promotion de la démocratie participative, les Sommets AfricTivistes symbolisent aussi une activité au titre d’un événement d’une ‘’Union Africaine” des peuples.

Ce rendez-vous continental se déroulera sur trois jours et réunira 70 personnes dont 20 locaux. Ces activistes du web, acteurs du changement, membres de mouvements sociaux, chercheurs et innovateurs, partenaires, blogueurs, journalistes et netizens du continent vont se pencher sur plusieurs  thématiques.

Il s’agit notamment :  Compétences numériques et communautés en ligne; Gouvernements: goulot d’étranglement pour le développement de l’Internet en Afrique ?; Perturbations à l’engagement civique en raison du manque d’accès à internet; Gouvernance de l’Internet en Afrique : quels rôles pour  la société civile; Utiliser les réseaux d’organisations de la société civile pour promouvoir la démocratie en Afrique.

Cet évènement est organisé chaque deux ans en vue de discuter des enjeux du continent en relation avec la démocratie et la bonne gouvernance ainsi que la place et l’impact du numérique dans les processus démocratiques, la gouvernance et la conscience citoyenne.

AfricTivistes est une organisation panafricaine basée à Dakar. AfricTivistes fédère les blogueurs et web-activistes du continent pour promouvoir et défendre les valeurs démocratiques, les droits humains et la bonne gouvernance à travers le numérique.

Lancée en novembre 2015, AfricTivistes est une sentinelle de la démocratie dans tous les pays africains. A ce titre, la ligue est résolue à intervenir directement ou à faire des plaidoyers pour faire intervenir des acteurs dans les différents processus de changement politique et social.

 Elle mène et pilote des projets de développement et d’implication citoyenne dans les dispositifs démocratiques.

Côte d’Ivoire: 28 athlètes décrochent l’or au championnat des arts martiaux chinois

Vingt-huit athlètes ont décroché la médaille d’or à l’occasion du championnat national des arts martiaux chinois de Côte d’Ivoire, tenu les 30 et 31 octobre 2021, à Kani, dans le Nord ivoirien.

Ce championnat national en Traolou (technique ou kata) et Sanda (combats), sénior et junior, délocalisé à Kani, ville située à 563 Km au Nord d’Abidjan, a été organisé par la Fédération ivoirienne des arts martiaux chinois (FIAMC). 

L’événement a été marqué par des démonstrations et des compétitions. Le président de la FIAMC, Maître Méïté Siaka, a souligné que cette discipline, outre la défense, procure la santé physique, morale et inculque des valeurs. 

Depuis 12 ans qu’il dirige cette fédération, fera-t-il observer, l’organisation a glané environ 99 médailles à son actif et 70% étant des médailles d’or. Cette session a enregistré le champion d’Afrique poids lourd dans la série des combats. 

Le champion d’Afrique en tao  (technique) était également de cette partie qui s’est déroulée dans la rubrique à main nue, la rubrique à armes courtes, à arme longue et le taiji chan, les compétiteurs ayant la possibilité de faire les formes souples. 

Le député de Kani commune et sous-préfecture, Ben Méïté, s’est réjoui de ce que l’édition 2021 de ce championnat national se tienne, dans sa circonscription, la preuve que « ce qui se fait à Abidjan peut aussi se faire à Kani ».

Pour lui, les arts martiaux chinois permettent de se défendre, mais constituent aussi « un véhicule de valeurs et d’humilité » nécessaires aux Ivoiriens, notamment les jeunes en vue de la construction d’un Etat « solidaire ». 

Voici la liste des lauréats 

RÉSULTATS SANDA

SENIOR HOMMES (SANDA)

– catégorie 52 Kg (Sanda)

1er, Jean Baptiste Assamoi, médaille d’or 

2e, Cissé Yacouba, médaille d’argent 

3e, Kalifa Koné, médaille de bronze

3e ex, Komité Kolié, médaille de bronze 

-catégorie 56 Kg Hommes (Sanda)

1er, Jonathan Koffi Kouakou, médaille d’or

2e, Akissi Séka, médaille d’argent 

3e, Marcelin Kouamé Kouassi, médaille de bronze 

-catégorie 60 Kg Hommes (Sanda) 

1er, Hervé Kouamé Kouadio, médaille d’or 

2e, Diby Alloh, médaille d’argent 

3e, Ousmane Doumbia, médaille de bronze 

3e ex, Arouna Belem, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Hommes (Sanda)

1er, Hamed Kallo, médaille d’

2e, Dramane Coulibaly Adjai, médaille d’argent 

3e, Soro Zié,  médaille de bronze 

3e ex, Amara Kamagaté, médaille de bronze 

-catégorie 70 Kg Hommes (Sanda)

1er, Mensa Aka Miezan, médaille d’or 

2e, Koné Cheick, médaille d’argent 

3e, Sy Abdul Aziz, médaille de bronze 

3e ex, Cissé Abdoulaye, médaille de bronze

-catégorie 75 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Moussa Touré, médaille d’or 

2e, Traoré Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Lacina, bronze

3e ex, Traoré Soumaila, bronze 

-catégorie 80 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Lath Wilfried, médaille or

2e, Tra Bi Botty Rodrigue, médaille d’argent 

3e, Koné Zié, médaille de bronze 

-catégorie 85 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Douma Serge Pacome, médaille d’or

2e, Bakaré Akim, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Kouyaté Mory, médaille d’or

2e, Ouoba Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Issouf Idrissa, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes 

1er, Koffi Bhaly Ricardo, médaille d’or 

2e, Yedoh Meledje François 

JUNIOR HOMMES (SANDA)

-catégorie 56 Kg Hommes 

1er, Houphouët Kouassi, médaille d’or 

2e, Ballet Forest Elisée, médaille d’argent 

-catégorie 60 Kg Hommes 

1er, Kallo Oumarou, médaille d’or 

2e, Aurel Atchoum Marc, médaille d’argent 

3e, Ouedraogo Abdul Fatao, médaille de bronze 

3e ex, Nguessan Kouakou Guy Mathieu,  médaille de bronze 

-catégorie 75 Kg Hommes 

1er, Coulibaly Abou, médaille d’or 

2e, Konan Allou Zilé, médaille d’argent

3e, Nguessan Kouakou Ezechiel, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES (SANDA)

-catégorie 52 Kg et 52 Kg hors rang

1er, Ory Doriane, médaille d’or 

2e, Yeo Henriette, médaille d’argent 

3e, Silué Grâce, médaille de bronze 

3e ex, Lady Awa Honorine, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Femmes 

1er, Haba Jeanne, médaille d’or

2e, Lokoubi Zémini, médaille d’argent 

3e, Kanté Radia, médaille de bronze 

3e ex, Coulibaly Maimouna, médaille de bronze 

-catégorie 80 Kg Femmes 

1er, Meité Nowata, médaille d’or 

2e, Kanga Amenan, médaille d’argent 

RESULTATS TRAOLOU

SENIOR HOMMES (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Soro Guy Roland, médaille d’or 

2e, Yama Aké Mobio Alex, médaille d’argent 

3e, M’Bolo Gaël,  médaille de bronze 

-catégorie Tadji Chuan mains nues

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Sawadogo Paul, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel mains nues

1er, Bamba Beh Moussa, médaille d’or 

2e, Coulibaly Tiémokodjan, médaille d’argent 

3e, Okou  Assenan, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes

1er, Kouabenan Beranger, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Yama Aké Mobio, médaille de bronze 

-catégorie Taji chuan à armee

1e, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Soro Alama, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel à armes 

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Barry Abdou Salam, médaille d’argent 

-catégorie armes longues

1er, Yama Aké Mobio, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Kouabenan Beranger, médaille de bronze 

JUNIOR HOMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille d’argent 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes 

1er, Kesse Douad, médaille d’or

2e, Bamba Ben Mohamed, médaille de bronze 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes longues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Kouakou Ndri Yvann, médaille d’argent 

3e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues 

1er,  Ehoussou Annick, médaille d’or 

2e, Tiemoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Aminata, médaille de bronze 

-catégorie armes 

1er, Bakayoko Aminata, médaille d’or

2e,  Tiémoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Ehoussou Annick, médaille de bronze 

Côte d’Ivoire: 28 athlètes décrochent l’or au championnat des arts martiaux chinois

Vingt-huit athlètes ont décroché la médaille d’or à l’occasion du championnat national des arts martiaux chinois de Côte d’Ivoire, tenu les 30 et 31 octobre 2021, à Kani, dans le Nord ivoirien.

Ce championnat national en Traolou (technique ou kata) et Sanda (combats), sénior et junior, délocalisé à Kani, ville située à 563 Km au Nord d’Abidjan, a été organisé par la Fédération ivoirienne des arts martiaux chinois (FIAMC). 

L’événement a été marqué par des démonstrations et des compétitions. Le président de la FIAMC, Maître Méïté Siaka, a souligné que cette discipline, outre la défense, procure la santé physique, morale et inculque des valeurs. 

Depuis 12 ans qu’il dirige cette fédération, fera-t-il observer, l’organisation a glané environ 99 médailles à son actif et 70% étant des médailles d’or. Cette session a enregistré le champion d’Afrique poids lourd dans la série des combats. 

Le champion d’Afrique en tao  (technique) était également de cette partie qui s’est déroulée dans la rubrique à main nue, la rubrique à armes courtes, à arme longue et le taiji chan, les compétiteurs ayant la possibilité de faire les formes souples. 

Le député de Kani commune et sous-préfecture, Ben Méïté, s’est réjoui de ce que l’édition 2021 de ce championnat national se tienne, dans sa circonscription, la preuve que « ce qui se fait à Abidjan peut aussi se faire à Kani ».

Pour lui, les arts martiaux chinois permettent de se défendre, mais constituent aussi « un véhicule de valeurs et d’humilité » nécessaires aux Ivoiriens, notamment les jeunes en vue de la construction d’un Etat « solidaire ». 

Voici la liste des lauréats 

RÉSULTATS SANDA

SENIOR HOMMES (SANDA)

– catégorie 52 Kg (Sanda)

1er, Jean Baptiste Assamoi, médaille d’or 

2e, Cissé Yacouba, médaille d’argent 

3e, Kalifa Koné, médaille de bronze

3e ex, Komité Kolié, médaille de bronze 

-catégorie 56 Kg Hommes (Sanda)

1er, Jonathan Koffi Kouakou, médaille d’or

2e, Akissi Séka, médaille d’argent 

3e, Marcelin Kouamé Kouassi, médaille de bronze 

-catégorie 60 Kg Hommes (Sanda) 

1er, Hervé Kouamé Kouadio, médaille d’or 

2e, Diby Alloh, médaille d’argent 

3e, Ousmane Doumbia, médaille de bronze 

3e ex, Arouna Belem, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Hommes (Sanda)

1er, Hamed Kallo, médaille d’

2e, Dramane Coulibaly Adjai, médaille d’argent 

3e, Soro Zié,  médaille de bronze 

3e ex, Amara Kamagaté, médaille de bronze 

-catégorie 70 Kg Hommes (Sanda)

1er, Mensa Aka Miezan, médaille d’or 

2e, Koné Cheick, médaille d’argent 

3e, Sy Abdul Aziz, médaille de bronze 

3e ex, Cissé Abdoulaye, médaille de bronze

-catégorie 75 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Moussa Touré, médaille d’or 

2e, Traoré Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Lacina, bronze

3e ex, Traoré Soumaila, bronze 

-catégorie 80 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Lath Wilfried, médaille or

2e, Tra Bi Botty Rodrigue, médaille d’argent 

3e, Koné Zié, médaille de bronze 

-catégorie 85 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Douma Serge Pacome, médaille d’or

2e, Bakaré Akim, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Kouyaté Mory, médaille d’or

2e, Ouoba Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Issouf Idrissa, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes 

1er, Koffi Bhaly Ricardo, médaille d’or 

2e, Yedoh Meledje François 

JUNIOR HOMMES (SANDA)

-catégorie 56 Kg Hommes 

1er, Houphouët Kouassi, médaille d’or 

2e, Ballet Forest Elisée, médaille d’argent 

-catégorie 60 Kg Hommes 

1er, Kallo Oumarou, médaille d’or 

2e, Aurel Atchoum Marc, médaille d’argent 

3e, Ouedraogo Abdul Fatao, médaille de bronze 

3e ex, Nguessan Kouakou Guy Mathieu,  médaille de bronze 

-catégorie 75 Kg Hommes 

1er, Coulibaly Abou, médaille d’or 

2e, Konan Allou Zilé, médaille d’argent

3e, Nguessan Kouakou Ezechiel, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES (SANDA)

-catégorie 52 Kg et 52 Kg hors rang

1er, Ory Doriane, médaille d’or 

2e, Yeo Henriette, médaille d’argent 

3e, Silué Grâce, médaille de bronze 

3e ex, Lady Awa Honorine, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Femmes 

1er, Haba Jeanne, médaille d’or

2e, Lokoubi Zémini, médaille d’argent 

3e, Kanté Radia, médaille de bronze 

3e ex, Coulibaly Maimouna, médaille de bronze 

-catégorie 80 Kg Femmes 

1er, Meité Nowata, médaille d’or 

2e, Kanga Amenan, médaille d’argent 

RESULTATS TRAOLOU

SENIOR HOMMES (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Soro Guy Roland, médaille d’or 

2e, Yama Aké Mobio Alex, médaille d’argent 

3e, M’Bolo Gaël,  médaille de bronze 

-catégorie Tadji Chuan mains nues

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Sawadogo Paul, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel mains nues

1er, Bamba Beh Moussa, médaille d’or 

2e, Coulibaly Tiémokodjan, médaille d’argent 

3e, Okou  Assenan, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes

1er, Kouabenan Beranger, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Yama Aké Mobio, médaille de bronze 

-catégorie Taji chuan à armee

1e, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Soro Alama, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel à armes 

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Barry Abdou Salam, médaille d’argent 

-catégorie armes longues

1er, Yama Aké Mobio, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Kouabenan Beranger, médaille de bronze 

JUNIOR HOMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille d’argent 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes 

1er, Kesse Douad, médaille d’or

2e, Bamba Ben Mohamed, médaille de bronze 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes longues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Kouakou Ndri Yvann, médaille d’argent 

3e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues 

1er,  Ehoussou Annick, médaille d’or 

2e, Tiemoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Aminata, médaille de bronze 

-catégorie armes 

1er, Bakayoko Aminata, médaille d’or

2e,  Tiémoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Ehoussou Annick, médaille de bronze 

Abidjan et Abuja signent 9 accords bilatéraux et économiques

La Côte d’Ivoire et la République fédérale du Nigéria ont signé samedi à Abidjan neuf accords bilatéraux et économiques dont un protocole en matière de coopération militaire.

Ces accords ont été signés à la clôture de la 2e Grande commission mixte de coopération ivoiro-nigériane, tenue à Abidjan du 4 au 6 novembre 2021, en présence du Premier ministre ivoirien Patrick Achi et du vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo.

Les différents protocoles ont été paraphés, pour la partie nigériane par M. Yemi Osinbajo, tandis que le Premier ministre ivoirien, représentait l’Etat de Côte d’Ivoire. Ces neuf accords de coopération viennent renforcer les relations entre ces deux pays ouest-africains.

Les deux parties ont signé un protocole d’accord en matière de coopération militaire, en matière de protection civile et d’assistance technique, et un autre sur la coopération dans la lutte contre la production, la fabrication et le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes.

Elles ont en outre signé un mémorandum d’entente dans le domaine des sports, et un autre sur la coopération culturelle, puis une lettre d’intention entre la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci, Patronat ivoirien) et l’Association des manufacturiés du Nigéria.

Le vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo, qui conduisait une importante délégation, s’est dit « très heureux » de ces accords qui ont été signés et qui renforcent surtout les relations entre les secteurs privés des deux pays.

Pour sa part, M. Patrick Achi a salué le leadership affirmé de M. Osinbajo et ses orientations constructives qui ont permis d’adopter des recommandations pertinentes devant aider leurs deux pays à réactiver de manière consensuelle les leviers d’une coopération bilatérale. 

« Il nous faudra dans les mois à venir procéder à la signature de nouveaux accords qui élargissent davantage le champ de notre coopération et prennent en compte les besoins réels de nos peuples », a dit M. Patrick Achi.

Face à la montée en puissance du terrorisme dans la sous-région, qui exige plus que jamais une réponse ferme et concertée des pays, M. Patrick Achi a appelé à une coopération militaire plus accrue. 

« C’est pourquoi nous accueillons favorablement les négociations en cours en vue de la signature de bien d’autels accords qui permettront de renforcer davantage la sécurité au sein de notre espace communautaire », a-t-il ajouté.

Le chef de la diplomatie ivoirienne, Kandia Camara, a fait savoir que 20 projets d’accords sont en cours de négociations, déclarant que les investisseurs ivoiriens ne bénéficient pas de facilités au Nigéria du fait de la législation, notamment les restrictions liées aux transferts financiers. 

La République fédérale du Nigéria est le premier partenaire économique de la Côte d’Ivoire sur le continent africain. Les échanges commerciaux entre les deux pays s’élèvent à 860,874 milliards Fcfa en 2020, soit plus de 1,5 milliard de dollars US. 

Le 1er août 2013, a eu lieu la première session de la Grande Commission mixte ivoiro-nigériane à Abuja. Les deux États ont convenu de la réactivation et de l’accélération du projet de l’autoroute -Abidjan-Lagos. 

La troisième session est prévue au Nigéria. Les deux pays ont au terme de la rencontre de haut niveau réaffirmé leurs engagements à œuvrer à la consolidation des acquis et au renforcement des liens d’amitié et de coopération.

Abidjan et Abuja signent 9 accords bilatéraux et économiques

La Côte d’Ivoire et la République fédérale du Nigéria ont signé samedi à Abidjan neuf accords bilatéraux et économiques dont un protocole en matière de coopération militaire.

Ces accords ont été signés à la clôture de la 2e Grande commission mixte de coopération ivoiro-nigériane, tenue à Abidjan du 4 au 6 novembre 2021, en présence du Premier ministre ivoirien Patrick Achi et du vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo.

Les différents protocoles ont été paraphés, pour la partie nigériane par M. Yemi Osinbajo, tandis que le Premier ministre ivoirien, représentait l’Etat de Côte d’Ivoire. Ces neuf accords de coopération viennent renforcer les relations entre ces deux pays ouest-africains.

Les deux parties ont signé un protocole d’accord en matière de coopération militaire, en matière de protection civile et d’assistance technique, et un autre sur la coopération dans la lutte contre la production, la fabrication et le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes.

Elles ont en outre signé un mémorandum d’entente dans le domaine des sports, et un autre sur la coopération culturelle, puis une lettre d’intention entre la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci, Patronat ivoirien) et l’Association des manufacturiés du Nigéria.

Le vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo, qui conduisait une importante délégation, s’est dit « très heureux » de ces accords qui ont été signés et qui renforcent surtout les relations entre les secteurs privés des deux pays.

Pour sa part, M. Patrick Achi a salué le leadership affirmé de M. Osinbajo et ses orientations constructives qui ont permis d’adopter des recommandations pertinentes devant aider leurs deux pays à réactiver de manière consensuelle les leviers d’une coopération bilatérale. 

« Il nous faudra dans les mois à venir procéder à la signature de nouveaux accords qui élargissent davantage le champ de notre coopération et prennent en compte les besoins réels de nos peuples », a dit M. Patrick Achi.

Face à la montée en puissance du terrorisme dans la sous-région, qui exige plus que jamais une réponse ferme et concertée des pays, M. Patrick Achi a appelé à une coopération militaire plus accrue. 

« C’est pourquoi nous accueillons favorablement les négociations en cours en vue de la signature de bien d’autels accords qui permettront de renforcer davantage la sécurité au sein de notre espace communautaire », a-t-il ajouté.

Le chef de la diplomatie ivoirienne, Kandia Camara, a fait savoir que 20 projets d’accords sont en cours de négociations, déclarant que les investisseurs ivoiriens ne bénéficient pas de facilités au Nigéria du fait de la législation, notamment les restrictions liées aux transferts financiers. 

La République fédérale du Nigéria est le premier partenaire économique de la Côte d’Ivoire sur le continent africain. Les échanges commerciaux entre les deux pays s’élèvent à 860,874 milliards Fcfa en 2020, soit plus de 1,5 milliard de dollars US. 

Le 1er août 2013, a eu lieu la première session de la Grande Commission mixte ivoiro-nigériane à Abuja. Les deux États ont convenu de la réactivation et de l’accélération du projet de l’autoroute -Abidjan-Lagos. 

La troisième session est prévue au Nigéria. Les deux pays ont au terme de la rencontre de haut niveau réaffirmé leurs engagements à œuvrer à la consolidation des acquis et au renforcement des liens d’amitié et de coopération.

La politique s’offre la Une de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais de ce samedi continuent de traiter de l’actualité politique, en insistant sur le rejet et la forclusion de certaines listes de l’opposition aux élections locales du 23 janvier 2022. »Dépôt des candidatures : L’opposition liste ses rejets », titre Le Quotidien, soulignant que Yewwi Askan Wi est invalidée à Mbour, Golfe Sud, Sam Notaire, Kédougou…Gueum sa bopp à Dakar, Saint-Louis….Pastef Mermoz interpelle Sonko sur la liste de Barthélemy Dias.

« Locales 2022 : entre forclusions et irrecevabilités-L’opposition dans la tourmente », renseigne Sud Quotidien, à côté du journal EnQuête qui s’exclame : « Lovales 2022 : Forclusions en casacade ». Ce journal estime qu’il y a de l’amateurisme dans certains états-majors politiques, mais qu’au milieu des suspicions, il y a le rôle délicat et crucial de l’administration territoriale.

Cela pousse Les Échos à dire que « les Préfets font la pluie et le beau temps » en invalidant certaines listes de l’opposition.

« Candidature à la mairie de Dakar : Bougane Guèye Dany écarté de la course. Le Préfet rejette la liste de la coalition Gueum sa bopp pour la ville de Dakar. Le patron de D-Média crie au complot et annonce un recours devant la Cour suprême », détaille L’As à sa Une.

A Kédougou, nos confrères informent également du rejet de la liste de la coalition Yewwi Askan Wi (YAW) dirigée par l’ancien ministre, Moustapha Guirassy. 

« Locales de 2022 à Ziguinchor : Baldé (maire sortant) dépouille Benno Bokk Yakkar (coalition présidentielle) et fusille Benoît Sambou (tête de liste communale) », poursuit L’As.

Pendant ce temps, Libération fait des révélations sur la forclusion de Gueum sa bopp à Mbour et informe que c’est le mandataire qui s’est barré avec la liste.

Faisant état de verdict des commissions de réception des candidatures aux locales, Source A note que c’est « dur pour les recalés ».

Libération s’intéresse aux cautions versées par les partis et coalitions à la Caisse des dépôts et consignations et retient un total de 1,320 milliard f cfa.

« Pour recouvrer plus de 7 milliards d’impôts, le Fisc bloque les comptes de l’Université Gaston Berger », révèle L’As, là où Walf Quotidien indique : « Ses comptes gelés par le Fisc : l’Ugb au bord de l’asphyxie ».

De son côté, Le Soleil consacre sa Une à l’orchestre national qui est « à la recherche d’une gloire perdue ».

La politique s’offre la Une de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais de ce samedi continuent de traiter de l’actualité politique, en insistant sur le rejet et la forclusion de certaines listes de l’opposition aux élections locales du 23 janvier 2022. »Dépôt des candidatures : L’opposition liste ses rejets », titre Le Quotidien, soulignant que Yewwi Askan Wi est invalidée à Mbour, Golfe Sud, Sam Notaire, Kédougou…Gueum sa bopp à Dakar, Saint-Louis….Pastef Mermoz interpelle Sonko sur la liste de Barthélemy Dias.

« Locales 2022 : entre forclusions et irrecevabilités-L’opposition dans la tourmente », renseigne Sud Quotidien, à côté du journal EnQuête qui s’exclame : « Lovales 2022 : Forclusions en casacade ». Ce journal estime qu’il y a de l’amateurisme dans certains états-majors politiques, mais qu’au milieu des suspicions, il y a le rôle délicat et crucial de l’administration territoriale.

Cela pousse Les Échos à dire que « les Préfets font la pluie et le beau temps » en invalidant certaines listes de l’opposition.

« Candidature à la mairie de Dakar : Bougane Guèye Dany écarté de la course. Le Préfet rejette la liste de la coalition Gueum sa bopp pour la ville de Dakar. Le patron de D-Média crie au complot et annonce un recours devant la Cour suprême », détaille L’As à sa Une.

A Kédougou, nos confrères informent également du rejet de la liste de la coalition Yewwi Askan Wi (YAW) dirigée par l’ancien ministre, Moustapha Guirassy. 

« Locales de 2022 à Ziguinchor : Baldé (maire sortant) dépouille Benno Bokk Yakkar (coalition présidentielle) et fusille Benoît Sambou (tête de liste communale) », poursuit L’As.

Pendant ce temps, Libération fait des révélations sur la forclusion de Gueum sa bopp à Mbour et informe que c’est le mandataire qui s’est barré avec la liste.

Faisant état de verdict des commissions de réception des candidatures aux locales, Source A note que c’est « dur pour les recalés ».

Libération s’intéresse aux cautions versées par les partis et coalitions à la Caisse des dépôts et consignations et retient un total de 1,320 milliard f cfa.

« Pour recouvrer plus de 7 milliards d’impôts, le Fisc bloque les comptes de l’Université Gaston Berger », révèle L’As, là où Walf Quotidien indique : « Ses comptes gelés par le Fisc : l’Ugb au bord de l’asphyxie ».

De son côté, Le Soleil consacre sa Une à l’orchestre national qui est « à la recherche d’une gloire perdue ».

Côte d’Ivoire : des réformes annoncées dans le recrutement des docteurs

Le ministre ivoirien de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, prof. Adama Diawara a annoncé, vendredi à Abidjan, des réformes dans le processus de recrutement des docteurs.

Il a fait cette annonce au cours d’une rencontre avec les deux collectifs des «docteurs » dans divers domaines «non encore recrutés» à la fonction publique dont l’une des manifestations a été étouffée, mercredi, au Plateau, le quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne par les forces de l’ordre.

Parmi ces réformes, figure la «suppression des candidatures multiples», car a expliqué le ministre, ce sont ces candidatures multiples qui ont faire dire aux gens sur les réseaux sociaux qu’il y a « 3189 docteurs non recrutés» à la fonction publique.  « Ce sont des chiffres erronés », a-t-il dit. La candidature unique induira également le paiement une seule fois des frais de concours fixés à 50 000 FCFA.

« Il y a parfois une seule personne qui est candidate à plusieurs postes comme ce fut le cas de quelqu’un qui a été candidat à six postes dans plusieurs universités. Dans un tel cas, il y a six candidatures derrière lesquelles il n’y a qu’une seule personne, donc un seul docteur et non six docteurs» a expliqué le prof. Adama Diawara.

A ce jour, il n’y a que «1120 docteurs non encore recrutés» dans nos fichiers, a précisé le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, appelant les « docteurs non encore recrutés» à «mettre balle à terre», car les recrutements sont transparents et se font selon les besoins exprimés par les structures, notamment les universités.

« Cette année, nous avons recruté 252 dont 151 nouveaux, 6 contractuels et le reste ce sont les glissements catégoriels », a encore expliqué le ministre, apportant ainsi un démenti au chiffre de 256 avancé sur les réseaux sociaux. Le recrutement de 252 est venu en complément du quota de l’année dernière.

Les réformes prévoient également que les candidats soient interrogés sur la recherche et l’enseignement.  « 450 nouveaux postes seront mis en compétition au premier trimestre 2022. Donc préparez-vous », a-t-il lancé à ses interlocuteurs.

Auparavant, les deux collectifs des docteurs non encore recrutés, à travers leurs porte-paroles, Olivier Dally et Martiale Adou ont exposé au ministre leurs griefs, faisant dans la foulée des plaidoiries.  Ils ont souhaité que l’âge maximum pour être recruté passe de 45 à 50 ans, une mesure exceptionnelle du président de la République pour le recrutement de tous les docteurs.

D’autres questions diverses liées au coût du certificat  de nationalité, du casier judiciaire, au test de non bégaiement et à l’attitude de certains agents impliqués dans le processus de recrutement ont été également posées.  

A propos du recrutement exceptionnel, le ministre a brandit la contrainte budgétaire. En effet, un recrutement exceptionnel de tous les docteurs coûtera près de 12 milliards FCFA à l’Etat.

En Côte d’Ivoire, la masse salariale des fonctionnaires et agents de l’Etat représente 42% des recettes du pays, là où la norme prévoit 35%.

« Il y a beaucoup d’efforts qui sont faits en Côte d’Ivoire pour le recrutement des docteurs depuis que le président Alassane Ouattara est là », a poursuivi le ministre Adama Diawara, soulignant que la moyenne est de 400 à 450 recrutements par an en Côte d’Ivoire, là où d’autres pays de la sous-région sont à 100 ou même moins que 100 par an ».

Côte d’Ivoire : des réformes annoncées dans le recrutement des docteurs

Le ministre ivoirien de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, prof. Adama Diawara a annoncé, vendredi à Abidjan, des réformes dans le processus de recrutement des docteurs.

Il a fait cette annonce au cours d’une rencontre avec les deux collectifs des «docteurs » dans divers domaines «non encore recrutés» à la fonction publique dont l’une des manifestations a été étouffée, mercredi, au Plateau, le quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne par les forces de l’ordre.

Parmi ces réformes, figure la «suppression des candidatures multiples», car a expliqué le ministre, ce sont ces candidatures multiples qui ont faire dire aux gens sur les réseaux sociaux qu’il y a « 3189 docteurs non recrutés» à la fonction publique.  « Ce sont des chiffres erronés », a-t-il dit. La candidature unique induira également le paiement une seule fois des frais de concours fixés à 50 000 FCFA.

« Il y a parfois une seule personne qui est candidate à plusieurs postes comme ce fut le cas de quelqu’un qui a été candidat à six postes dans plusieurs universités. Dans un tel cas, il y a six candidatures derrière lesquelles il n’y a qu’une seule personne, donc un seul docteur et non six docteurs» a expliqué le prof. Adama Diawara.

A ce jour, il n’y a que «1120 docteurs non encore recrutés» dans nos fichiers, a précisé le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, appelant les « docteurs non encore recrutés» à «mettre balle à terre», car les recrutements sont transparents et se font selon les besoins exprimés par les structures, notamment les universités.

« Cette année, nous avons recruté 252 dont 151 nouveaux, 6 contractuels et le reste ce sont les glissements catégoriels », a encore expliqué le ministre, apportant ainsi un démenti au chiffre de 256 avancé sur les réseaux sociaux. Le recrutement de 252 est venu en complément du quota de l’année dernière.

Les réformes prévoient également que les candidats soient interrogés sur la recherche et l’enseignement.  « 450 nouveaux postes seront mis en compétition au premier trimestre 2022. Donc préparez-vous », a-t-il lancé à ses interlocuteurs.

Auparavant, les deux collectifs des docteurs non encore recrutés, à travers leurs porte-paroles, Olivier Dally et Martiale Adou ont exposé au ministre leurs griefs, faisant dans la foulée des plaidoiries.  Ils ont souhaité que l’âge maximum pour être recruté passe de 45 à 50 ans, une mesure exceptionnelle du président de la République pour le recrutement de tous les docteurs.

D’autres questions diverses liées au coût du certificat  de nationalité, du casier judiciaire, au test de non bégaiement et à l’attitude de certains agents impliqués dans le processus de recrutement ont été également posées.  

A propos du recrutement exceptionnel, le ministre a brandit la contrainte budgétaire. En effet, un recrutement exceptionnel de tous les docteurs coûtera près de 12 milliards FCFA à l’Etat.

En Côte d’Ivoire, la masse salariale des fonctionnaires et agents de l’Etat représente 42% des recettes du pays, là où la norme prévoit 35%.

« Il y a beaucoup d’efforts qui sont faits en Côte d’Ivoire pour le recrutement des docteurs depuis que le président Alassane Ouattara est là », a poursuivi le ministre Adama Diawara, soulignant que la moyenne est de 400 à 450 recrutements par an en Côte d’Ivoire, là où d’autres pays de la sous-région sont à 100 ou même moins que 100 par an ».

Les médias numériques africains influents malgré des budgets limités (rapport)

Les médias numériques africains exercent une grande influence et un impact sociétal malgré des budgets très limités, selon un rapport basé sur des entretiens avec 200 médias numériques venant d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est.

Il s’agit du rapport d’Inflection Point International, publié par SembraMedia, une organisation à but non lucratif qui soutient les journalistes entrepreneurs, en partenariat avec l’organisation philanthropique mondiale Luminate.

Plus de 200 entretiens ont été réalisés à l’échelle mondiale et 49 organisations indépendantes de médias numériques interrogés en Afrique, notamment au Ghana, au Kenya, au Nigeria et en Afrique du Sud.

Ce rapport fournit des enseignements clés pour un secteur en pleine croissance. Il ressort que plus de 85 % des médias numériques africains interrogés ont contribué à des « changements politiques et sociétaux significatifs ».

Plus de la moitié ont remporté des prix de journalisme. En outre, malgré tout, plus de la moitié rapportent avoir fait l’objet d’attaques et de menaces en ligne, ce qui pourrait fragiliser leur process .   

Le rapport note que les entrepreneurs du secteur des médias numériques produisent « un journalisme révolutionnaire » et ont un impact significatif sur leurs sociétés. Les chercheurs ont constaté que plus de 85 % des médias interrogés avaient contribué à des changements politiques.

Ce rapport intervient un mois à peine après l’attribution du prix Nobel de la paix aux journalistes Maria Ressa et Dmitry Muratov pour leur action en faveur de la liberté d’expression et du respect de la démocratie.

Les entrepreneurs de médias africains ont déclaré que leur travail avait permis de renforcer l’engagement civique, de mener des enquêtes criminelles et de faire évoluer la législation, souligne le texte.  

Près de la moitié d’entre eux ont déclaré être engagés dans une forme ou une autre de journalisme de solutions, contre 15 % en Asie, citant le reportage de solutions et le journalisme d’investigation comme des facteurs clés du changement social.

Ce rapport met en lumière une nouvelle génération d’entrepreneurs médiatiques créatifs qui développent des solutions aux défis sociaux et économiques de l’Afrique et renforcent les questions de gouvernance, a déclaré Abdul Noormohamed, directeur Afrique de Luminate.

Il précise que 57 % des rédactions numériques africaines interrogées ont remporté des prix nationaux et 28 % des prix internationaux en reconnaissance de leur travail. Toutefois, elles ont réalisé ce travail en dépit d’un harcèlement constant.

Plus d’un tiers d’entre elles font état de cyberattaques sur leurs plateformes d’information. Certains entrepreneurs ont également fait état d’un certain degré d’autocensure, en évitant les articles susceptibles de donner lieu à des poursuites judiciaires, parce qu’ils n’avaient pas les moyens d’engager des avocats pour se défendre. 

Les médias du Nigeria et du Ghana ont fait état d’une incidence nettement plus élevée de poursuites et d’attaques judiciaires que les organisations médiatiques interrogées dans les autres pays.      

« S’il existe des différences entre les trois régions, ce sont les similitudes qui sont apparues entre ces organismes de presse qui s’efforcent de couvrir leurs communautés et de construire des modèles économiques durables », a dit Janine Warner, co-fondatrice de SembraMedia.   

Certains de ces organismes étaient des sites d’information bien établis, comme le Daily Maverick en Afrique du Sud, mais beaucoup étaient beaucoup plus petits et 60% des organismes interrogés dans le monde avaient un chiffre d’Affaires inférieur à 50 000 dollars.

Dans l’ensemble, les médias numériques africains ont déclaré des niveaux de revenus publicitaires plus élevés que ceux d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est, la publicité contribuant à environ 29 % des revenus des médias africains en 2019, pour tomber à 26 % en 2020. 

Il a également été constaté que les médias numériques de premier plan du continent gagnaient davantage pour des audiences plus faibles, mesurées en termes de pages vues, que les médias équivalents d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est. 

Toutefois, les entrepreneurs africains sont ceux dont les données financières sont les plus limitées, la moitié d’entre eux étant incapables d’identifier leurs revenus totaux ou leurs sources de revenus. 

Ceux qui ont partagé des détails financiers bénéficiaient également d’une proportion de subventions plus faible que les médias numériques ailleurs, soit 16 % des revenus en 2019, poursuit le rapport. 

Cependant, pendant la pandémie de Covid-19, les subventions aux médias africains ont augmenté, pour représenter plus de 19 % des revenus en 2020. La plupart des entrepreneurs semblent avoir survécu aux répercussions de la pandémie de Covid-19.

Les médias numériques africains influents malgré des budgets limités (rapport)

Les médias numériques africains exercent une grande influence et un impact sociétal malgré des budgets très limités, selon un rapport basé sur des entretiens avec 200 médias numériques venant d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est.

Il s’agit du rapport d’Inflection Point International, publié par SembraMedia, une organisation à but non lucratif qui soutient les journalistes entrepreneurs, en partenariat avec l’organisation philanthropique mondiale Luminate.

Plus de 200 entretiens ont été réalisés à l’échelle mondiale et 49 organisations indépendantes de médias numériques interrogés en Afrique, notamment au Ghana, au Kenya, au Nigeria et en Afrique du Sud.

Ce rapport fournit des enseignements clés pour un secteur en pleine croissance. Il ressort que plus de 85 % des médias numériques africains interrogés ont contribué à des « changements politiques et sociétaux significatifs ».

Plus de la moitié ont remporté des prix de journalisme. En outre, malgré tout, plus de la moitié rapportent avoir fait l’objet d’attaques et de menaces en ligne, ce qui pourrait fragiliser leur process .   

Le rapport note que les entrepreneurs du secteur des médias numériques produisent « un journalisme révolutionnaire » et ont un impact significatif sur leurs sociétés. Les chercheurs ont constaté que plus de 85 % des médias interrogés avaient contribué à des changements politiques.

Ce rapport intervient un mois à peine après l’attribution du prix Nobel de la paix aux journalistes Maria Ressa et Dmitry Muratov pour leur action en faveur de la liberté d’expression et du respect de la démocratie.

Les entrepreneurs de médias africains ont déclaré que leur travail avait permis de renforcer l’engagement civique, de mener des enquêtes criminelles et de faire évoluer la législation, souligne le texte.  

Près de la moitié d’entre eux ont déclaré être engagés dans une forme ou une autre de journalisme de solutions, contre 15 % en Asie, citant le reportage de solutions et le journalisme d’investigation comme des facteurs clés du changement social.

Ce rapport met en lumière une nouvelle génération d’entrepreneurs médiatiques créatifs qui développent des solutions aux défis sociaux et économiques de l’Afrique et renforcent les questions de gouvernance, a déclaré Abdul Noormohamed, directeur Afrique de Luminate.

Il précise que 57 % des rédactions numériques africaines interrogées ont remporté des prix nationaux et 28 % des prix internationaux en reconnaissance de leur travail. Toutefois, elles ont réalisé ce travail en dépit d’un harcèlement constant.

Plus d’un tiers d’entre elles font état de cyberattaques sur leurs plateformes d’information. Certains entrepreneurs ont également fait état d’un certain degré d’autocensure, en évitant les articles susceptibles de donner lieu à des poursuites judiciaires, parce qu’ils n’avaient pas les moyens d’engager des avocats pour se défendre. 

Les médias du Nigeria et du Ghana ont fait état d’une incidence nettement plus élevée de poursuites et d’attaques judiciaires que les organisations médiatiques interrogées dans les autres pays.      

« S’il existe des différences entre les trois régions, ce sont les similitudes qui sont apparues entre ces organismes de presse qui s’efforcent de couvrir leurs communautés et de construire des modèles économiques durables », a dit Janine Warner, co-fondatrice de SembraMedia.   

Certains de ces organismes étaient des sites d’information bien établis, comme le Daily Maverick en Afrique du Sud, mais beaucoup étaient beaucoup plus petits et 60% des organismes interrogés dans le monde avaient un chiffre d’Affaires inférieur à 50 000 dollars.

Dans l’ensemble, les médias numériques africains ont déclaré des niveaux de revenus publicitaires plus élevés que ceux d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est, la publicité contribuant à environ 29 % des revenus des médias africains en 2019, pour tomber à 26 % en 2020. 

Il a également été constaté que les médias numériques de premier plan du continent gagnaient davantage pour des audiences plus faibles, mesurées en termes de pages vues, que les médias équivalents d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est. 

Toutefois, les entrepreneurs africains sont ceux dont les données financières sont les plus limitées, la moitié d’entre eux étant incapables d’identifier leurs revenus totaux ou leurs sources de revenus. 

Ceux qui ont partagé des détails financiers bénéficiaient également d’une proportion de subventions plus faible que les médias numériques ailleurs, soit 16 % des revenus en 2019, poursuit le rapport. 

Cependant, pendant la pandémie de Covid-19, les subventions aux médias africains ont augmenté, pour représenter plus de 19 % des revenus en 2020. La plupart des entrepreneurs semblent avoir survécu aux répercussions de la pandémie de Covid-19.

Côte d’Ivoire: un gendarme condamné à 2 ans de prison ferme pour racket

Le tribunal militaire d’Abidjan a condamné vendredi un gendarme à deux ans d’emprisonnement ferme pour racket, à l’issue d’un procès marquant l’ouverture de la rentrée judiciaire 2021-2022.

Reconnu « coupable d’extorsion de fonds et de violation de consignes », le maréchal des logis Dadié Tanoh a été condamné par le tribunal militaire à « 24 mois d’emprisonnement ferme et à 100.000 Fcfa d’amende ». 

Un deuxième verdict, concernait également un gendarme, Roger Yapi Yapo, déclaré « non-coupable » des faits de racket. Sur huit prévenus comprenant un policier et sept gendarmes, seulement deux décisions ont été rendues.

Le tribunal militaire d’Abidjan a renvoyé six affaires pour « complément d’enquête » et instruit le  ministère public de s’assurer que « les enquêtes couvrent un large spectre des faits » reprochés aux prévenus.  

Plus d’une soixantaine de dossiers de rackets impliquant des policiers et des gendarmes, à travers le territoire national ivoirien, devraient être jugés lors de cette rentrée judiciaire, qui s’étend jusqu’au mois de juillet 2022. 

Libye : des demandeurs d’asile évacués vers le Niger

Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) annonce avoir évacué 172 demandeurs d’asile vulnérables de Libye vers le Niger dans la soirée du 4 novembre.Il s’agissait du premier vol d’évacuation vers le Niger depuis plus d’un an. Celui-ci fait suite à la levée par les autorités libyennes d’une interdiction des vols humanitaires. Les personnes évacuées ont été détenues dans des conditions extrêmement difficiles, ont été victimes de traite ou ont subi des violences en Libye, explique le HCR dans un communiqué parvenu vendredi à APA.

« Le HCR est soulagé de voir la reprise de ces vols d’évacuation vitaux », a déclaré le chef de mission du HCR en Libye, Jean-Paul Cavalieri, cité par la note. « Cependant, précise-t-il, compte tenu du nombre limité de places, l’évacuation ne peut être une solution que pour des personnes extrêmement vulnérables, ayant un besoin urgent de sécurité et de protection ».

Le groupe évacué comprend des familles, des enfants voyageant seuls et un bébé né il y a seulement quelques semaines, informe l’organisme onusien.

Cette évacuation a eu lieu grâce au mécanisme de transit d’urgence (Emergency Transit Mechanism, ETM) mis en place en 2017 en partenariat avec le gouvernement du Niger. Ce dernier a accepté d’accueillir temporairement sur son territoire des réfugiés confrontés à des situations de danger de mort en Libye afin que le HCR puisse travailler à l’identification de solutions durables pour chacun d’entre eux.

Au Niger, le HCR apporte un soutien en matière de soins de santé mentale à ceux qui ont été confrontés à des traumatismes pendant leur séjour en Libye, ainsi qu’un accès à des possibilités de formation professionnelle.

A ce jour, 3361 réfugiés et demandeurs d’asile ont été évacués de Libye vers le Niger. Parmi eux, 3213 ont quitté le Niger vers des pays tiers dans le cadre du mécanisme de réinstallation et de voies complémentaires.

Côte d’Ivoire: un gendarme condamné à 2 ans de prison ferme pour racket

Le tribunal militaire d’Abidjan a condamné vendredi un gendarme à deux ans d’emprisonnement ferme pour racket, à l’issue d’un procès marquant l’ouverture de la rentrée judiciaire 2021-2022.

Reconnu « coupable d’extorsion de fonds et de violation de consignes », le maréchal des logis Dadié Tanoh a été condamné par le tribunal militaire à « 24 mois d’emprisonnement ferme et à 100.000 Fcfa d’amende ». 

Un deuxième verdict, concernait également un gendarme, Roger Yapi Yapo, déclaré « non-coupable » des faits de racket. Sur huit prévenus comprenant un policier et sept gendarmes, seulement deux décisions ont été rendues.

Le tribunal militaire d’Abidjan a renvoyé six affaires pour « complément d’enquête » et instruit le  ministère public de s’assurer que « les enquêtes couvrent un large spectre des faits » reprochés aux prévenus.  

Plus d’une soixantaine de dossiers de rackets impliquant des policiers et des gendarmes, à travers le territoire national ivoirien, devraient être jugés lors de cette rentrée judiciaire, qui s’étend jusqu’au mois de juillet 2022. 

Libye : des demandeurs d’asile évacués vers le Niger

Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) annonce avoir évacué 172 demandeurs d’asile vulnérables de Libye vers le Niger dans la soirée du 4 novembre.Il s’agissait du premier vol d’évacuation vers le Niger depuis plus d’un an. Celui-ci fait suite à la levée par les autorités libyennes d’une interdiction des vols humanitaires. Les personnes évacuées ont été détenues dans des conditions extrêmement difficiles, ont été victimes de traite ou ont subi des violences en Libye, explique le HCR dans un communiqué parvenu vendredi à APA.

« Le HCR est soulagé de voir la reprise de ces vols d’évacuation vitaux », a déclaré le chef de mission du HCR en Libye, Jean-Paul Cavalieri, cité par la note. « Cependant, précise-t-il, compte tenu du nombre limité de places, l’évacuation ne peut être une solution que pour des personnes extrêmement vulnérables, ayant un besoin urgent de sécurité et de protection ».

Le groupe évacué comprend des familles, des enfants voyageant seuls et un bébé né il y a seulement quelques semaines, informe l’organisme onusien.

Cette évacuation a eu lieu grâce au mécanisme de transit d’urgence (Emergency Transit Mechanism, ETM) mis en place en 2017 en partenariat avec le gouvernement du Niger. Ce dernier a accepté d’accueillir temporairement sur son territoire des réfugiés confrontés à des situations de danger de mort en Libye afin que le HCR puisse travailler à l’identification de solutions durables pour chacun d’entre eux.

Au Niger, le HCR apporte un soutien en matière de soins de santé mentale à ceux qui ont été confrontés à des traumatismes pendant leur séjour en Libye, ainsi qu’un accès à des possibilités de formation professionnelle.

A ce jour, 3361 réfugiés et demandeurs d’asile ont été évacués de Libye vers le Niger. Parmi eux, 3213 ont quitté le Niger vers des pays tiers dans le cadre du mécanisme de réinstallation et de voies complémentaires.

Santé sexuelle et reproductive:10 sites d’excellence distingués en Côte d’Ivoire

L’ONG IPAS, basée aux États-Unis, a décerné jeudi à Abidjan des attestations de collaboration à dix sites d’excellence sur 75 centres identifiés, lors de la présentation du programme Réduction de la morbidité et la mortalité maternelle (R3M).Selon M. Eugène Eba Kouassi, manager du projet, ce programme vise à soutenir le programme national de santé mère-enfant et à réduire les décès maternels en Côte d’Ivoire.  Au terme de la première phase, dira-t-il, dix centres d’excellence ont été retenus. Et ce, dans l’optique d’un service de qualité en matière de santé sexuelle et reproductive. 

À l’Ouest d’Abidjan, l’on a l’hôpital général (HG) de Lahou, HG de Dabou et le Centre de santé urbain (CSU) de Ouassakara, à l’Est d’Abidjan, HG de Bingerville, CSU Akouédo Village, et au Sud d’Abidjan HG Port-Bouet et CSU Arras 3.

Dans le Centre d’Abidjan, ont été distingués le Centre de santé urbain Communautaire Henriette Konan Bédié de Blockhauss, le Centre de santé urbain  (CSU) de Cocody ll Plateaux Oliviers et le CSU Assomin de Abobo PK 18.    

« Ces centres disposent de compétences nécessaires pour pouvoir aider d’autres prestataires de santé à offrir des services en matière de planification familiale et de santé sexuelle », ce qui a favorisé leur choix, a expliqué M. Eugène Eba. 

Évoquant les critères, il a soutenu que « ce sont des sites qui se sont distingués dans l’offre des services de qualité en matière de service de plannification familiale », avant d’indiquer que ces structures ont été réparties selon une couverture géographique.

« On a regardé aussi l’engagement des prestataires de santé qui ont bénéficié de ce renforcement de capacité à l’offre de services, ainsi que le volume des interventions des activités de santé sexuelle », a-t-il poursuivi. 

Les critères de sélection des sites d’excellence ressortent qu’ il faut « être un site soutenu par IPAS (Initié ou non) pendant au moins six mois d’intervention, disposer de prestataires de soins ayant bénéficié de formation en planification familiale.

M. Bocoum Gouro, le directeur financier, représentant le directeur Afrique Francophone de IPAS, a fait savoir qu’ en Côte d’Ivoire, en dépit de quelques progrès observés ces dernières décennies, le niveau de décès maternel reste encore élevé. 

« Selon le PMA 20/20,  614 décès maternels pour 100 000 naissances vivantes, soit deux décès maternels toutes les 3 heures sont enregistrées », a-t-il noté, ajoutant que « plusieurs causes dont les complications des avortements non sécurisés sont responsables d’environ 15% de ces décès maternels selon l’EDSMICS 2012 ».   

L’objectif de l’ONG est de renforcer les compétences des prestataires de soins, une offre de soins de qualité en santé sexuelle et reproductive, et donner la chance aux structures de santé de venir apprendre auprès de ces sites.  

Ces centre d’excellence représentent « une vision que nous voulons donner, car l’objectif de ce programme est de réduire la mortalité maternelle, et offrir des services de qualité afin de réduire les décès », a insisté M. Eba.  

Le projet a débuté depuis 2019 et s’étend sur trois ans maintenant. La phase pilote, selon M. Eugène Eba, a commencé avec une évolution graduelle des sites: 20 sites, 34 sites, 54 et après 75 sites.

« Ce sont trois régions sanitaires Abidjan 1, Abidjan 2 et les Grands ponts qui sont les premiers sites qui ont été suivis sur plus de six mois », a fait remarquer  M. Eba, mentionnant que IPAS oeuvre à relever le niveau des autres sites sanitaires.   

Santé sexuelle et reproductive:10 sites d’excellence distingués en Côte d’Ivoire

L’ONG IPAS, basée aux États-Unis, a décerné jeudi à Abidjan des attestations de collaboration à dix sites d’excellence sur 75 centres identifiés, lors de la présentation du programme Réduction de la morbidité et la mortalité maternelle (R3M).Selon M. Eugène Eba Kouassi, manager du projet, ce programme vise à soutenir le programme national de santé mère-enfant et à réduire les décès maternels en Côte d’Ivoire.  Au terme de la première phase, dira-t-il, dix centres d’excellence ont été retenus. Et ce, dans l’optique d’un service de qualité en matière de santé sexuelle et reproductive. 

À l’Ouest d’Abidjan, l’on a l’hôpital général (HG) de Lahou, HG de Dabou et le Centre de santé urbain (CSU) de Ouassakara, à l’Est d’Abidjan, HG de Bingerville, CSU Akouédo Village, et au Sud d’Abidjan HG Port-Bouet et CSU Arras 3.

Dans le Centre d’Abidjan, ont été distingués le Centre de santé urbain Communautaire Henriette Konan Bédié de Blockhauss, le Centre de santé urbain  (CSU) de Cocody ll Plateaux Oliviers et le CSU Assomin de Abobo PK 18.    

« Ces centres disposent de compétences nécessaires pour pouvoir aider d’autres prestataires de santé à offrir des services en matière de planification familiale et de santé sexuelle », ce qui a favorisé leur choix, a expliqué M. Eugène Eba. 

Évoquant les critères, il a soutenu que « ce sont des sites qui se sont distingués dans l’offre des services de qualité en matière de service de plannification familiale », avant d’indiquer que ces structures ont été réparties selon une couverture géographique.

« On a regardé aussi l’engagement des prestataires de santé qui ont bénéficié de ce renforcement de capacité à l’offre de services, ainsi que le volume des interventions des activités de santé sexuelle », a-t-il poursuivi. 

Les critères de sélection des sites d’excellence ressortent qu’ il faut « être un site soutenu par IPAS (Initié ou non) pendant au moins six mois d’intervention, disposer de prestataires de soins ayant bénéficié de formation en planification familiale.

M. Bocoum Gouro, le directeur financier, représentant le directeur Afrique Francophone de IPAS, a fait savoir qu’ en Côte d’Ivoire, en dépit de quelques progrès observés ces dernières décennies, le niveau de décès maternel reste encore élevé. 

« Selon le PMA 20/20,  614 décès maternels pour 100 000 naissances vivantes, soit deux décès maternels toutes les 3 heures sont enregistrées », a-t-il noté, ajoutant que « plusieurs causes dont les complications des avortements non sécurisés sont responsables d’environ 15% de ces décès maternels selon l’EDSMICS 2012 ».   

L’objectif de l’ONG est de renforcer les compétences des prestataires de soins, une offre de soins de qualité en santé sexuelle et reproductive, et donner la chance aux structures de santé de venir apprendre auprès de ces sites.  

Ces centre d’excellence représentent « une vision que nous voulons donner, car l’objectif de ce programme est de réduire la mortalité maternelle, et offrir des services de qualité afin de réduire les décès », a insisté M. Eba.  

Le projet a débuté depuis 2019 et s’étend sur trois ans maintenant. La phase pilote, selon M. Eugène Eba, a commencé avec une évolution graduelle des sites: 20 sites, 34 sites, 54 et après 75 sites.

« Ce sont trois régions sanitaires Abidjan 1, Abidjan 2 et les Grands ponts qui sont les premiers sites qui ont été suivis sur plus de six mois », a fait remarquer  M. Eba, mentionnant que IPAS oeuvre à relever le niveau des autres sites sanitaires.   

Sénégal : Aliou Cissé publie sa liste pour affronter le Togo et le Congo

Le sélectionneur de l’équipe nationale de football du Sénégal a convoqué, lors d’une conférence de presse tenue vendredi à Dakar, 25 joueurs dans le cadre des 5e et 6e journées des éliminatoires de la Coupe du monde 2022.Sur le continent, le Sénégal est le premier pays à s’être qualifié pour l’ultime phase des qualifications du Mondial qatari. Les Lions caracolent en tête de la poule H avec quatre victoires en autant de matchs.

L’objectif est de conclure en beauté la campagne. Aliou Cissé a renouvelé sa confiance au groupe ayant composté son ticket pour le dernier tour en octobre dernier lors de la double confrontation face à la Namibie. Seul Diao Baldé Keïta, récemment opéré des amygdales, sera absent à ce rassemblement.

Numériquement, l’attaquant de Cagliari, en Serie A italienne, est remplacé par Pape Guèye. Le milieu de terrain de l’Olympique de Marseille reçoit sa première convocation en équipe nationale du Sénégal.

Pour le convaincre, « nous avons longtemps discuté. On lui a concédé le temps de la réflexion. Et maintenant, il donné son accord », explique Aliou Cissé. L’entraîneur des Lions place beaucoup d’espoir en cet athlète (1m89 pour 79 kg) né le 24 janvier 1999, à Montreuil, en France.

« Pape Guèye est un joueur de talent. Il est capable d’évoluer dans un milieu à deux mais aussi dans une position de sentinelle devant la défense. Nous avions à cœur de renforcer ce secteur de jeu où l’on manquait parfois de taille voire d’impact. Nous pensons que son arrivée peut aider l’équipe », se félicite Aliou Cissé.

Le Sénégal sera opposé au Togo le 11 novembre à 19 heures au stade Kégué de Lomé avant d’accueillir, trois jours plus tard, le Congo à 19 heures au stade Lat Dior de Thiès, situé à 70 kilomètres à l’Est de Dakar.

Liste du Sénégal 

Gardiens (3) : Edouard Mendy (Chelsea FC, Angleterre), Alfred Gomis (Rennes, France) et Seyni Dieng (Queens Park Rangers, Angleterre).

Défenseurs (8) : Ibrahima Mbaye (Bologne, Italie), Abdou Diallo (Paris Saint-Germain, France), Pape Abou Cissé (Olympiacos, Grèce), Kalidou Koulibaly (Naples, Italie), Fodé Ballo Touré (Milan AC, Italie), Saliou Ciss (AS Nancy, France), Bouna Sarr (Bayern Munich, Allemagne) et Abdoulaye Seck (Royal Antwerp, Belgique).

Milieux (8) : Moustapha Name (Paris FC, France), Cheikhou Kouyaté (Crystal Palace, Angleterre), Idrissa Gana Guèye (Paris Saint-Germain, France), Mamadou Loum Ndiaye (Deportivo Alavés, Espagne), Krépin Diatta (AS Monaco, France), Nampalys Mendy (Leicester City, Angleterre), Pape Matar Sarr (FC Metz, France) et Pape Guèye (Olympique de Marseille, France).

Attaquants (6) : Bamba Dieng (Olympique de Marseille, France), Ismaïla Sarr (Watford, Angleterre), Famara Diédhiou (Alanyaspor, Turquie), Boulaye Dia (Villareal, Espagne), Habib Diallo (Strasbourg, France) et Sadio Mané (Liverpool, Angleterre).

Régime retraite complémentaire: le corps préfectoral ivoirien signe la 1ère convention

Le corps préfectoral ivoirien se positionne comme le premier adhérent au régime de retraite complémentaire par capitalisation à travers une convention signée avec l’Institut de prévoyance sociale-Caisse générale de retraite des agents de l’Etat (IPS-CGRAE).

La signature de convention a eu lieu jeudi, au cours d’une cérémonie, à Yamoussoukro en présence du ministre de l’Emploi et de la protection sociale, Adama Kamara, et du représentant du ministre de l’Intérieur et de la sécurité. 

« La signature de convention à laquelle nous venons de procéder, sous les ailes protectrices de M. le ministre de l’Emploi et de la protection sociale, et du ministre de l’Intérieur et de la sécurité,  fait objectivement de vous les premiers adhérents au régime de retraite complémentaire par capitalisation », a déclaré le directeur général de l’IPS-CGRAE, M. Abdrahamane Berté. 

Il a fait observer que « par cette convention, tous les membres du corps préfectoral, sans qu’il soit besoin de l’accomplissement d’une formalité particulière, sont ipso facto adhérents du régime de retraite complémentaire par capitalisation ».   

Toutefois, pour les besoins d’alimentation de la base de données de l’IPS-CGRAE, il sera demandé de fournir quelques pièces pour la création des comptes cotisant, sur lequel seront inscrites toutes les opérations relatives à la constitution du stock de capital, a-t-il ajouté.  

« Alors même que les caractéristiques du nouveau régime étaient encore en construction, vous avez unanimement souhaité, malgré le caractère volontaire attaché à votre adhésion (à ce régime) en votre qualité de fonctionnaires déjà en activité, que soit formalisée la nécessité de l’intégration systématique de tous les membres du corps préfectoral au futur régime », a rappelé le directeur général de l’IPS-CGRAE. 

Le ministre de l’Emploi et de la protection sociale, M. Adama Kamara, président de la cérémonie, s’est dit « heureux que la première convention soit soignée par le corps préfectoral, garant du pouvoir d’Etat et de l’administration » dans les régions du pays. 

Le régime de retraite complémentaire par capitalisation « n’est pas obligatoire », a souligné le ministre de l’Emploi et de la protection sociale, estimant que le corps préfectoral a fait « le meilleur choix » pour s’assurer une retraite confortable. 

M. Adama Kamara a relevé que ce régime de retraite qui s’inscrit dans la droite ligne de la vision sociale du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, est « le régime du consensus issu d’un dialogue inclusif entre toutes les parties ». 

Et ce, par la « qualité managériale du directeur général de l’IPS-CGRAE », M. Abdrahamane Berté qui a fait de ce rêve une réalité, a-t-il poursuivi. Pour le ministre de l’Emploi et de la protection sociale « cette signature est la célébration du consensus ». 

Le régime de retraite complémentaire est un mécanisme par lequel le fonctionnaire effectue une cotisation dans la perspective de s’assurer un montant de pension de retraite quasi équivalent au salaire qu’il percevait pendant qu’il était en activité. 

L’IPS-CGRAE, dans cette perspective, a conduit pendant plus d’un an, un processus inclusif de dialogue social avec l’ensemble des représentants des fonctionnaires et agents de l’Etat, soit plus de 300 partenaires sociaux constitués.

L’institution publique a mûri les réflexions avec 36 organisations socioprofessionnelles incluant 11 faîtières, 5 centrales syndicales, 14 syndicats, 3 mutuelles corporatistes et 3 corps spécifiques ainsi que de 72 partenaires de l’administration publique.

Cela a abouti à la signature d’une déclaration portant consensus sur les caractéristiques du nouveau régime de retraite complémentaire par capitalisation au profit des fonctionnaires et agents de l’Etat, le 07 juin 2019.

L’IPS-CGRAE a lancé officiellement mardi à Abidjan le régime de retraite complémentaire par capitalisation, lors d’une  cérémonie qui a regroupé plusieurs ministres, des représentants des centrales syndicales, des syndicats et des partenaires sociaux.  

Sénégal : Aliou Cissé publie sa liste pour affronter le Togo et le Congo

Le sélectionneur de l’équipe nationale de football du Sénégal a convoqué, lors d’une conférence de presse tenue vendredi à Dakar, 25 joueurs dans le cadre des 5e et 6e journées des éliminatoires de la Coupe du monde 2022.Sur le continent, le Sénégal est le premier pays à s’être qualifié pour l’ultime phase des qualifications du Mondial qatari. Les Lions caracolent en tête de la poule H avec quatre victoires en autant de matchs.

L’objectif est de conclure en beauté la campagne. Aliou Cissé a renouvelé sa confiance au groupe ayant composté son ticket pour le dernier tour en octobre dernier lors de la double confrontation face à la Namibie. Seul Diao Baldé Keïta, récemment opéré des amygdales, sera absent à ce rassemblement.

Numériquement, l’attaquant de Cagliari, en Serie A italienne, est remplacé par Pape Guèye. Le milieu de terrain de l’Olympique de Marseille reçoit sa première convocation en équipe nationale du Sénégal.

Pour le convaincre, « nous avons longtemps discuté. On lui a concédé le temps de la réflexion. Et maintenant, il donné son accord », explique Aliou Cissé. L’entraîneur des Lions place beaucoup d’espoir en cet athlète (1m89 pour 79 kg) né le 24 janvier 1999, à Montreuil, en France.

« Pape Guèye est un joueur de talent. Il est capable d’évoluer dans un milieu à deux mais aussi dans une position de sentinelle devant la défense. Nous avions à cœur de renforcer ce secteur de jeu où l’on manquait parfois de taille voire d’impact. Nous pensons que son arrivée peut aider l’équipe », se félicite Aliou Cissé.

Le Sénégal sera opposé au Togo le 11 novembre à 19 heures au stade Kégué de Lomé avant d’accueillir, trois jours plus tard, le Congo à 19 heures au stade Lat Dior de Thiès, situé à 70 kilomètres à l’Est de Dakar.

Liste du Sénégal 

Gardiens (3) : Edouard Mendy (Chelsea FC, Angleterre), Alfred Gomis (Rennes, France) et Seyni Dieng (Queens Park Rangers, Angleterre).

Défenseurs (8) : Ibrahima Mbaye (Bologne, Italie), Abdou Diallo (Paris Saint-Germain, France), Pape Abou Cissé (Olympiacos, Grèce), Kalidou Koulibaly (Naples, Italie), Fodé Ballo Touré (Milan AC, Italie), Saliou Ciss (AS Nancy, France), Bouna Sarr (Bayern Munich, Allemagne) et Abdoulaye Seck (Royal Antwerp, Belgique).

Milieux (8) : Moustapha Name (Paris FC, France), Cheikhou Kouyaté (Crystal Palace, Angleterre), Idrissa Gana Guèye (Paris Saint-Germain, France), Mamadou Loum Ndiaye (Deportivo Alavés, Espagne), Krépin Diatta (AS Monaco, France), Nampalys Mendy (Leicester City, Angleterre), Pape Matar Sarr (FC Metz, France) et Pape Guèye (Olympique de Marseille, France).

Attaquants (6) : Bamba Dieng (Olympique de Marseille, France), Ismaïla Sarr (Watford, Angleterre), Famara Diédhiou (Alanyaspor, Turquie), Boulaye Dia (Villareal, Espagne), Habib Diallo (Strasbourg, France) et Sadio Mané (Liverpool, Angleterre).

Régime retraite complémentaire: le corps préfectoral ivoirien signe la 1ère convention

Le corps préfectoral ivoirien se positionne comme le premier adhérent au régime de retraite complémentaire par capitalisation à travers une convention signée avec l’Institut de prévoyance sociale-Caisse générale de retraite des agents de l’Etat (IPS-CGRAE).

La signature de convention a eu lieu jeudi, au cours d’une cérémonie, à Yamoussoukro en présence du ministre de l’Emploi et de la protection sociale, Adama Kamara, et du représentant du ministre de l’Intérieur et de la sécurité. 

« La signature de convention à laquelle nous venons de procéder, sous les ailes protectrices de M. le ministre de l’Emploi et de la protection sociale, et du ministre de l’Intérieur et de la sécurité,  fait objectivement de vous les premiers adhérents au régime de retraite complémentaire par capitalisation », a déclaré le directeur général de l’IPS-CGRAE, M. Abdrahamane Berté. 

Il a fait observer que « par cette convention, tous les membres du corps préfectoral, sans qu’il soit besoin de l’accomplissement d’une formalité particulière, sont ipso facto adhérents du régime de retraite complémentaire par capitalisation ».   

Toutefois, pour les besoins d’alimentation de la base de données de l’IPS-CGRAE, il sera demandé de fournir quelques pièces pour la création des comptes cotisant, sur lequel seront inscrites toutes les opérations relatives à la constitution du stock de capital, a-t-il ajouté.  

« Alors même que les caractéristiques du nouveau régime étaient encore en construction, vous avez unanimement souhaité, malgré le caractère volontaire attaché à votre adhésion (à ce régime) en votre qualité de fonctionnaires déjà en activité, que soit formalisée la nécessité de l’intégration systématique de tous les membres du corps préfectoral au futur régime », a rappelé le directeur général de l’IPS-CGRAE. 

Le ministre de l’Emploi et de la protection sociale, M. Adama Kamara, président de la cérémonie, s’est dit « heureux que la première convention soit soignée par le corps préfectoral, garant du pouvoir d’Etat et de l’administration » dans les régions du pays. 

Le régime de retraite complémentaire par capitalisation « n’est pas obligatoire », a souligné le ministre de l’Emploi et de la protection sociale, estimant que le corps préfectoral a fait « le meilleur choix » pour s’assurer une retraite confortable. 

M. Adama Kamara a relevé que ce régime de retraite qui s’inscrit dans la droite ligne de la vision sociale du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, est « le régime du consensus issu d’un dialogue inclusif entre toutes les parties ». 

Et ce, par la « qualité managériale du directeur général de l’IPS-CGRAE », M. Abdrahamane Berté qui a fait de ce rêve une réalité, a-t-il poursuivi. Pour le ministre de l’Emploi et de la protection sociale « cette signature est la célébration du consensus ». 

Le régime de retraite complémentaire est un mécanisme par lequel le fonctionnaire effectue une cotisation dans la perspective de s’assurer un montant de pension de retraite quasi équivalent au salaire qu’il percevait pendant qu’il était en activité. 

L’IPS-CGRAE, dans cette perspective, a conduit pendant plus d’un an, un processus inclusif de dialogue social avec l’ensemble des représentants des fonctionnaires et agents de l’Etat, soit plus de 300 partenaires sociaux constitués.

L’institution publique a mûri les réflexions avec 36 organisations socioprofessionnelles incluant 11 faîtières, 5 centrales syndicales, 14 syndicats, 3 mutuelles corporatistes et 3 corps spécifiques ainsi que de 72 partenaires de l’administration publique.

Cela a abouti à la signature d’une déclaration portant consensus sur les caractéristiques du nouveau régime de retraite complémentaire par capitalisation au profit des fonctionnaires et agents de l’Etat, le 07 juin 2019.

L’IPS-CGRAE a lancé officiellement mardi à Abidjan le régime de retraite complémentaire par capitalisation, lors d’une  cérémonie qui a regroupé plusieurs ministres, des représentants des centrales syndicales, des syndicats et des partenaires sociaux.  

La politique alimente la presse sénégalaise

Les journaux sénégalais, reçus vendredi à APA, traitent principalement des élections locales du 23 janvier 2022 avec notamment la clôture du dépôt des dossiers de candidatures.Le Soleil informe que le processus « a été bouclé le mercredi 3 novembre à minuit ». Le quotidien national rapporte que ces « dépôts pourraient susciter des contentieux » dans la mesure où « tout électeur peut saisir la Cour d’appel pour inéligibilité d’un candidat ».

C’est « l’heure des mécomptes » d’après EnQuête selon qui le président Macky Sall a opéré des « choix douloureux » et « l’opposition est brisée en mille morceaux ». De l’avis de Lamine Ba du Parti Démocratique Sénégalais (PDS, opposition), les « logiques de coalitions risquent de tuer la démocratie », relate ce journal.

Candidat de la coalition de l’opposition Yewwi Askan Wi (Libérer le peuple, en langue wolof) à Dakar, « Barthélémy (Dias est) entre deux recours », indique Le Quotidien. En effet, précise ce journal, la section Pastef (parti d’Ousmane Sonko) de Mermoz-Sacré-Cœur a déposé « un recours en annulation » contre Barthélémy Dias, le maire de cette commune dakaroise et « l’affaire Ndiaga Diouf (est) jugée en appel le 10 novembre » prochain.

Cela fait dire à L’AS que « Barthélémy Dias (est) dans l’œil du cyclone ». Poursuivant, ce quotidien annonce que le fils de Jean-Paul Dias a reçu, hier jeudi, « une assignation à comparaître ».

Me Khoureychi Bâ, avocat de Barthélémy Dias, assure dans Le Témoin qu’ « il ira répondre absolument. Il est en bonne santé et ça n’entrave en rien l’exercice de son travail et sa candidature » à la mairie de la capitale.

En 2011, le projet de 3e mandat du président Abdoulaye Wade (2000-2012) attise le feu. Quelques mois avant le scrutin, des nervis font une descente à la mairie de Mermoz-Sacré-Cœur. Sur les lieux au moment des faits, Barthélémy Dias dégaine son arme à feu. L’un de ses tirs atteint mortellement Ndiaga Diouf, un jeune lutteur.

Dans le cadre de cette affaire, le proche de Khalifa Ababacar Sall a été condamné, rappelle L’AS, à deux ans de prison dont six mois ferme » et au paiement de « 25 millions F CFA » à la famille de la victime.

À en croire Vox Populi, ce dossier est « pollué par la politique ». Dans les colonnes de ce journal, un soutien du leader socialiste se veut clair : « Nul ne pourra nous détourner de l’essentiel. Le régime en place est gagné par une peur bleue après la confirmation de la candidature de Barthélémy Dias ».

Pour sa part, Sud Quotidien estime que la coalition au pouvoir, Benno Bokk Yakaar (Unis par le même espoir, en langue wolof), est « en danger » avec « la prolifération de listes parallèles ».

Selon des spécialistes en communication politique, interviewés par L’Observateur, les responsables de la mouvance présidentielle, qui dirigent des listes parallèles, jouent leur va-tout mais s’exposent à des sanctions s’ils échouent.

Enfin, WalfQuotidien se fait l’écho de la candidature d’Ousmane Sonko à la mairie de Ziguinchor (Sud). L’ancien Inspecteur des Impôts et Domaines marche ainsi « sur les pas de Macky Sall » qui était l’édile de Fatick (Centre) avant d’accéder à la magistrature suprême.

La politique alimente la presse sénégalaise

Les journaux sénégalais, reçus vendredi à APA, traitent principalement des élections locales du 23 janvier 2022 avec notamment la clôture du dépôt des dossiers de candidatures.Le Soleil informe que le processus « a été bouclé le mercredi 3 novembre à minuit ». Le quotidien national rapporte que ces « dépôts pourraient susciter des contentieux » dans la mesure où « tout électeur peut saisir la Cour d’appel pour inéligibilité d’un candidat ».

C’est « l’heure des mécomptes » d’après EnQuête selon qui le président Macky Sall a opéré des « choix douloureux » et « l’opposition est brisée en mille morceaux ». De l’avis de Lamine Ba du Parti Démocratique Sénégalais (PDS, opposition), les « logiques de coalitions risquent de tuer la démocratie », relate ce journal.

Candidat de la coalition de l’opposition Yewwi Askan Wi (Libérer le peuple, en langue wolof) à Dakar, « Barthélémy (Dias est) entre deux recours », indique Le Quotidien. En effet, précise ce journal, la section Pastef (parti d’Ousmane Sonko) de Mermoz-Sacré-Cœur a déposé « un recours en annulation » contre Barthélémy Dias, le maire de cette commune dakaroise et « l’affaire Ndiaga Diouf (est) jugée en appel le 10 novembre » prochain.

Cela fait dire à L’AS que « Barthélémy Dias (est) dans l’œil du cyclone ». Poursuivant, ce quotidien annonce que le fils de Jean-Paul Dias a reçu, hier jeudi, « une assignation à comparaître ».

Me Khoureychi Bâ, avocat de Barthélémy Dias, assure dans Le Témoin qu’ « il ira répondre absolument. Il est en bonne santé et ça n’entrave en rien l’exercice de son travail et sa candidature » à la mairie de la capitale.

En 2011, le projet de 3e mandat du président Abdoulaye Wade (2000-2012) attise le feu. Quelques mois avant le scrutin, des nervis font une descente à la mairie de Mermoz-Sacré-Cœur. Sur les lieux au moment des faits, Barthélémy Dias dégaine son arme à feu. L’un de ses tirs atteint mortellement Ndiaga Diouf, un jeune lutteur.

Dans le cadre de cette affaire, le proche de Khalifa Ababacar Sall a été condamné, rappelle L’AS, à deux ans de prison dont six mois ferme » et au paiement de « 25 millions F CFA » à la famille de la victime.

À en croire Vox Populi, ce dossier est « pollué par la politique ». Dans les colonnes de ce journal, un soutien du leader socialiste se veut clair : « Nul ne pourra nous détourner de l’essentiel. Le régime en place est gagné par une peur bleue après la confirmation de la candidature de Barthélémy Dias ».

Pour sa part, Sud Quotidien estime que la coalition au pouvoir, Benno Bokk Yakaar (Unis par le même espoir, en langue wolof), est « en danger » avec « la prolifération de listes parallèles ».

Selon des spécialistes en communication politique, interviewés par L’Observateur, les responsables de la mouvance présidentielle, qui dirigent des listes parallèles, jouent leur va-tout mais s’exposent à des sanctions s’ils échouent.

Enfin, WalfQuotidien se fait l’écho de la candidature d’Ousmane Sonko à la mairie de Ziguinchor (Sud). L’ancien Inspecteur des Impôts et Domaines marche ainsi « sur les pas de Macky Sall » qui était l’édile de Fatick (Centre) avant d’accéder à la magistrature suprême.

Le PM ivoirien dresse le bilan de l’action gouvernementale lundi

Le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi, fera sa première conférence de presse lundi, depuis sa prise de fonction le 30 mars 2021, un exercice au cours duquel il dressera le bilan de l’action gouvernementale.

Le chef du gouvernement ivoirien abordera les questions liées aux thématiques clés de l’action gouvernementale, l’économie, la sécurité, la santé, l’éducation, la lutte contre la corruption, l’emploi des jeunes, etc, indique une note officielle. 

Cette tribune sera également l’occasion pour le Premier ministre Patrick Achi de présenter à la presse nationale et internationale, quelques orientations relatives aux fondements de la « Vision 2030 » du président Alassane Ouattara.

L’ambition de l’Etat ivoirien,  à travers cette vision, est entre autre de poursuivre la dynamique qui a permis de doubler le revenu par habitant en dix ans en doublant à nouveau ce revenu par tête d’habitant. La stratégie du pays contenue dans la Vision 2030 vise par ailleurs à créer, sur la même période, plus de huit millions d’emplois, grâce au secteur privé qui sera au cœur du projet gouvernemental.

Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire poursuit l’accélération de son développement économique et social qui vise un rebond de la croissance économique et l’amélioration du quotidien de la population.

C’est dans ce contexte que le chef du gouvernement partagera dans un échange qui se veut franc et direct avec les journalistes, sa vision et celle de son gouvernement pour bâtir une Côte d’Ivoire « rassemblée et solidaire ». 

Sans faux-fuyants, il exposera les leviers sur lesquels jouera le gouvernement qu’ il pilote pour assurer un développement durable et structurel de la Côte d’Ivoire.

Le Programme « Une Côte d’Ivoire Solidaire » bâti autour de 5 piliers, et dont l’objectif est d’accélérer la transformation économique et sociale de la Côte d’Ivoire sur la période 2021-2025, sera au cœur des échanges entre le Premier ministre et les journalistes.

Les cinq piliers du Programme « Une Côte d’Ivoire Solidaire » sont la consolidation de la paix, de la sécurité et de la cohésion sociale (1), la création de richesses, source d’emplois  (2), le développement des régions et l’amélioration du cadre de vie.

Le quatrième pilier, lui, concerne le développement d’une administration plus performante et plus engagée, tandis que le cinquième pilier vise l’Ivoirien, au cœur de la Côte d’Ivoire solidaire.

Le PM ivoirien dresse le bilan de l’action gouvernementale lundi

Le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi, fera sa première conférence de presse lundi, depuis sa prise de fonction le 30 mars 2021, un exercice au cours duquel il dressera le bilan de l’action gouvernementale.

Le chef du gouvernement ivoirien abordera les questions liées aux thématiques clés de l’action gouvernementale, l’économie, la sécurité, la santé, l’éducation, la lutte contre la corruption, l’emploi des jeunes, etc, indique une note officielle. 

Cette tribune sera également l’occasion pour le Premier ministre Patrick Achi de présenter à la presse nationale et internationale, quelques orientations relatives aux fondements de la « Vision 2030 » du président Alassane Ouattara.

L’ambition de l’Etat ivoirien,  à travers cette vision, est entre autre de poursuivre la dynamique qui a permis de doubler le revenu par habitant en dix ans en doublant à nouveau ce revenu par tête d’habitant. La stratégie du pays contenue dans la Vision 2030 vise par ailleurs à créer, sur la même période, plus de huit millions d’emplois, grâce au secteur privé qui sera au cœur du projet gouvernemental.

Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire poursuit l’accélération de son développement économique et social qui vise un rebond de la croissance économique et l’amélioration du quotidien de la population.

C’est dans ce contexte que le chef du gouvernement partagera dans un échange qui se veut franc et direct avec les journalistes, sa vision et celle de son gouvernement pour bâtir une Côte d’Ivoire « rassemblée et solidaire ». 

Sans faux-fuyants, il exposera les leviers sur lesquels jouera le gouvernement qu’ il pilote pour assurer un développement durable et structurel de la Côte d’Ivoire.

Le Programme « Une Côte d’Ivoire Solidaire » bâti autour de 5 piliers, et dont l’objectif est d’accélérer la transformation économique et sociale de la Côte d’Ivoire sur la période 2021-2025, sera au cœur des échanges entre le Premier ministre et les journalistes.

Les cinq piliers du Programme « Une Côte d’Ivoire Solidaire » sont la consolidation de la paix, de la sécurité et de la cohésion sociale (1), la création de richesses, source d’emplois  (2), le développement des régions et l’amélioration du cadre de vie.

Le quatrième pilier, lui, concerne le développement d’une administration plus performante et plus engagée, tandis que le cinquième pilier vise l’Ivoirien, au cœur de la Côte d’Ivoire solidaire.

Côte d’Ivoire: la CGRAE lance le régime de retraite complémentaire par capitalisation

L’Institut de prévoyance sociale-Caisse générale des agents de l’Etat (IPS-CGRAE) a lancé officiellement mardi le régime de retraite complémentaire par capitalisation au profit des fonctionnaires et agents de l’Etat.

La cérémonie marquant le lancement officiel du régime de retraite complémentaire par capitalisation a regroupé plusieurs ministres, des représentants des centrales syndicales, des syndicats et des partenaires sociaux.

A cet événement, étaient présents, le ministre d’Etat, ministre de la Défense, le ministre de l’Emploi et de la protection sociale, le ministre du Budget et du portefeuille de l’Etat, le ministre de la Fonction publique et de la modernisation de l’administration, et le ministre de la Sécurité et de l’Intérieur.

Le ministre de la Fonction publique et de la modernisation de l’administration, Anne-Désirée Ouloto, a salué la création par le chef de l’Etat, Alassane Ouattara,  le régime de retraite complémentaire par capitalisation.

Ce régime complémentaire, expliquera-t-elle, est un mécanisme par lequel le fonctionnaire effectue une cotisation dans la perspective de s’assurer un montant de pension de retraite quasi équivalent au salaire qu’il percevait pendant qu’il était en activité.

Dans cette perspective, l’IPS-CGRAE a conduit pendant plus d’un an, un processus inclusif de dialogue social avec l’ensemble des représentants des fonctionnaires et agents de l’Etat, soit plus de 300 partenaires sociaux constitués.

La CGRAE a mûri les réflexions avec 36 organisations socioprofessionnelles incluant 11 faitières, 5 centrales syndicales, 14 syndicats, 3 mutuelles corporatistes et 3 corps spécifiques ainsi que de 72 partenaires de l’administration publique.

Cela a abouti à la signature d’une déclaration portant consensus sur les caractéristiques du nouveau régime de retraite complémentaire par capitalisation au profit des fonctionnaires et agents de l’Etat, le 07 juin 2019.

Le ministre de l’Emploi et de la protection sociale et le directeur général de l’IPS-CGRAE ont renouvelé la gratitude de l’Institution à l’ensemble des partenaires sociaux pour leur ouverture d’esprit et leur sens de la responsabilité citoyenne qui a permis d’obtenir ces résultats probants.

Le directeur général de l’IPS-CGRAE, M. Abdrahamane Berté, a invité tous les partenaires à ne ménager aucun effort pour porter la bonne nouvelle à tous les fonctionnaires et agents de l’Etat en vue de leur adhésion massive à ce nouveau produit.

Aux fonctionnaires et agents de l’Etat en activité, M. Abdrahamane Berté a rappelé que la retraite est une préoccupation de tout instant qui se prépare dès le premier jour d’activité, ajoutant que l’opportunité leur est donnée de prendre désormais le contrôle sur la qualité de leur retraite en adhérant à ce régime complémentaire.

M. Abdrahamane Berté a rassuré les fonctionnaires et agents de l’Etat que la satisfaction permanente des assurés sociaux demeurera le credo de l’IPS-CGRAE à leur égard conformément au slogan de l’Institution : « L’IPS-CGRAE pour vous, avec vous, la retraite, la vie ! ».

Caractéristiques de la complémentaire 

Selon les textes réglementant ce régime, le taux de cotisation obligatoire est de 5% du salaire de base prélevé directement à la source. L’adhérent a également la possibilité de bonifier son épargne en optant pour des contributions additionnelles ou des versements libres.

En conformité avec le caractère individuel et le niveau de transparence accru du régime par capitalisation, un compte au nom de chaque adhérent est ouvert dans les livres de l’IPS-CGRAE et alimenté par ses cotisations et versements.

Le régime complémentaire par capitalisation offre l’une des prestations suivantes à l’adhérent, à savoir une rente viagère avec la possibilité d’avoir un capital de 20% ou un capital unique lorsque le droit à pension n’est pas acquis ou une réversion en capital unique aux ayants cause en cas de décès.

Concernant les modalités d’adhésion, le dispositif mentionne que ce régime est « systématique pour tout fonctionnaire ou agent de l’Etat recruté après la date de signature du décret portant création du régime ».

L’adhésion est « volontaire pour les fonctionnaires et agents de l’Etat déjà en activité à la date de signature du décret portant création du régime ». En outre, la liquidation des droits de l’adhérent au titre de la retraite complémentaire est effectuée dès la liquidation de ses droits au titre du régime de base.

En cas de décès de l’adhérent, ses droits sont reversés à ses ayants droit. Il faut noter que les cotisations obligatoires sont directement retenues à la source par l’organisme employeur.

Les contributions additionnelles sont également prélevées par l’organisme employeur. Les versements libres sont directement effectués par l’adhérent auprès de l’IPS-CGRAE ou auprès du partenaire financier désigné par l’IPS-CGRAE.

Pour maximiser son revenu de retraite, l’adhérent doit recourir à deux types de cotisations optionnelles, notamment les contributions additionnelles consistant en un montant à prélever (au minimum 5 000 FCFA) sur une période indiquée par l’adhérent.

Ensuite, l’on a les versements libres représentant un montant à verser occasionnellement selon sa convenance. Le montant minimum requis est de 25 000 FCFA.

La retraite complémentaire est gérée par l’IPS-CGRAE, première Institution de Prévoyance Sociale certifiée ISO 9001, version 2015 sur l’ensemble de ses activités en Afrique de l’Ouest. Le régime est régi par des textes de lois sur la réglementation financière ainsi que par une politique de placement et de gestion financière.

Avantages du régime complémentaire

L’adhérent au régime complémentaire par capitalisation bénéficie de plusieurs avantages. Ce dispositif lui assure une retraite plus confortable et stabilise son train de vie.

Le régime complémentaire permet de bonifier la pension du fonctionnaire et l’agent de l’Etat afin que son niveau de vie à la retraite soit le plus proche possible de celui qu’il avait lorsqu’il était en activité.

Cela lui assure une épargne sécurisée. Dès lors qu’il a souscrit à la retraite complémentaire, l’IPS-CGRAE s’occupe de tout. Un prélèvement mensuel est effectué à la source conformément au montant de cotisation dû.

L’épargne est flexible et permet à l’adhérent de construire une retraite sur mesure grâce à la possibilité de procéder à des contributions additionnelles ou des versements libres.

En outre, son épargne est rémunérée. Ce qui assure au fonctionnaire et agent de l’Etat, une rémunération à hauteur de 3,5% l’an et le versement d’une quote-part sur les revenus de placement, le cas échéant.

A chaque fin d’exercice, l’IPS-CGRAE met à la disposition de l’adhérent, un relevé récapitulatif de situation mentionnant les cotisations versées, les droits attribués et leur solde.

Le gouvernement ivoirien, soucieux de l’amélioration des conditions de vie des fonctionnaires et agents de l’Etat après leur cessation d’activité, a adopté le 4 avril 2018, en Conseil des ministres, le principe de la mise en place d’un régime de retraite complémentaire par capitalisation afin de leur permette d’avoir un revenu mensuel stable.

Afrique : un outil de soutien à la liquidité des obligations souveraines

La Commission Économique pour l’Afrique des Nations Unies (CEA) annonce le lancement d’un Mécanisme de Liquidité et de Viabilité (MLV) permettant d’offrir aux gouvernements africains une structure de liquidité de même qualité que les standards internationaux.Le continent noir dispose désormais d’un outil lui permettant de répondre aux besoins spécifiques du Continent en termes d’émissions souveraines sur le marché des obligations en euro. Le MLV a pour objectif de proposer aux investisseurs privés internationaux souhaitant investir en Afrique un environnement robuste et des opportunités d’investissement diversifiées en particulier dans le domaine des Objectifs de Développement Durable (ODD).

Ces objectifs seront atteints par la mise en œuvre d’un marché de pension livrée avec le MLV utilisant des émissions souveraines africaines comme collatéral, explique le communiqué de la CEA parvenu jeudi à APA.

Le MLV sera accompagné par Citi en tant qu’agent de structuration qui apportera son expertise de mise en œuvre de ce type de mécanisme, par les cabinets d’avocats White & Case LLP et Matheson ainsi que par le cabinet de conseil Eighteen East Capital, informe la note.

Une première transaction, qui devrait être annoncée au premier trimestre 2022 pour un montant de 200 millions de dollars américains, est en cours et a d’ores et déjà reçu l’intérêt de grands gestionnaires d’actif internationaux tels que Amundi, souligne le document, ajoutant que cette transaction sera financée par Afreximbank.

« Nous sommes très heureux de faire partie de la première transaction du Mécanisme de Liquidité et de Viabilité » a commenté le Président Directeur Général et Président du Conseil d’Administration d’African Export–Import Bank (Afreximbank), Dr. Benedict Okey Oramah. Il a ajouté : « Nous pensons qu’il offre la possibilité de créer un nouveau paradigme de financement pour le Continent, ce qui devrait stimuler sa croissance économique et un développement durable tout en attirant des investissements diversifiés de la part de la communauté internationale.»

Le MLV a aussi pour ambition de favoriser les investissements durables tels que les obligations souveraines vertes et ODD. Lancé dans le contexte de la COP 26, il va ainsi permettre d’augmenter la liquidité des obligations souveraines ODD et de celles liées à des enjeux climatiques émises par les pays africains. Cela pourra accroître de façon majeure le volume des émissions bleues et vertes et à des taux plus abordables.

La part des obligations durables émises en Afrique et au Moyen-Orient représente aujourd’hui seulement 1% du montant global, ce qui donne à penser qu’il y a un vaste potentiel de croissance et de nombreuses opportunités d’investissement à développer pour les investisseurs ODD.

« Plus que jamais, l’Afrique a aujourd’hui besoin de liquidité afin de financer son rétablissement économique et d’investir pour un environnement durable », a affirmé Vera Songwe, Secrétaire Générale Adjointe de l’ONU et Secrétaire Exécutive de la Commission Économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA).

« Le Mécanisme de Liquidité et de Viabilité est lancé aujourd’hui lors de la COP 26 dans le but de créer rapidement un impact positif et concret à grande échelle grâce à une nouvelle classe d’actifs qui va permettre de mobiliser le capital privé de manière efficace et de soutenir le développement économique de l’Afrique. Le MLV devrait apporter plus de transparence aux marchés de dette africains et améliorer la soutenabilité de la dette », a-t-elle dit.

Pour le Président de la République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, « il est crucial d’avoir une approche différenciée, et des mécanismes de soutien pour permettre aux pays avec une dette soutenable et ayant accès au marché international des capitaux, comme la Côte d’Ivoire, de mobiliser des ressources longues à des taux d’intérêt plus bas ».

« Toutes les initiatives, notamment le Mécanisme de Liquidité et de Viabilité, et un recours plus accru aux ressources des fonds de pension doivent être considérés », a-t-il ajouté.

Le MLV devrait permettre d’abaisser les coûts d’emprunt des nations africaines en transformant leurs obligations souveraines en actifs liquides et en améliorant la soutenabilité de leur dette. Grâce à ce mécanisme, l’Afrique pourrait ainsi économiser un montant estimé à onze milliards de dollars américains sur les cinq prochaines années.

Suite à sa première transaction financée par Afreximbank, le MLV devrait lever 3 milliards de dollars américains en requérant le prêt de droits de tirage spéciaux (DTS) de la part des pays développés suite à la récente allocation par le FMI de l’équivalent de 650 milliards de dollars américains le 23 Août 2021.

Le MLV a vocation à opérer selon les normes les plus élevées en matière de gouvernance et de transparence. Les obligations éligibles que le Mécanisme acceptera comme garantie seront revues régulièrement et la priorité sera donnée aux pays ayant de bons antécédents en matière de réforme des politiques publiques et une gouvernance solide. Le Mécanisme aura recours à la documentation standard relative aux pensions livrées. Il sera supervisé par un Conseil dont les membres seront annoncés prochainement.

La FAO pour des semences plus résistantes aux aléas climatiques

Le développement vert du secteur semencier est crucial pour nourrir une population mondiale en pleine expansion, selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).La population mondiale augmente et les terres arables s’amenuisent. Comment faire pour nourrir une population mondiale qui devrait atteindre 10 milliards d’ici à 2050 ? Il faut permettre « aux agriculteurs d’accéder à des semences de qualité dans le cadre de la transformation des systèmes agroalimentaires », préconise la FAO.

« Les agriculteurs du monde entier doivent avoir accès à des semences issues de variétés de plantes plus productives, plus nutritives et plus résistantes aux aléas climatiques », explique-t-elle.

A en croire le Directeur général de la FAO, Qu Dongyu, « il ne peut y avoir de bonnes récoltes sans bonnes semences. Les semences sont la pierre angulaire des systèmes agroalimentaires. Nous dépendons d’elles pour produire des denrées alimentaires, des aliments pour animaux, des fibres et des combustibles, et elles créent un environnement accueillant. »

M. Dongyu présidait la Conférence mondiale sur le développement vert du secteur semencier, organisée par son institution ce jeudi à Rome (Italie).

Pour la Directrice de l’Organisation panafricaine des producteurs agricoles, Mme Fatma Ben Rejeb, l’augmentation de la qualité des semences résilientes face au stress climatique, l’amélioration de l’utilisation des ressources naturelles et le renforcement de la sécurité alimentaire et nutritionnelle contribuent fortement à la hausse des rendements, au développement économique et à l’accroissement des revenus des agriculteurs.

Par ailleurs, elle a rappelé l’importance des savoirs ancestraux des petits agriculteurs, en les présentant comme « les moteurs du développement agricole. »

La Conférence, qui se tient sur deux jours, rassemble un grand nombre de participants, dont des représentants de la société civile, d’organisations internationales, des membres de la FAO et des secteurs public et privé, qui présenteront leurs points de vue, leurs études de cas et leurs priorités pour alimenter les discussions.

L’agriculture verte et résistante aux aléas climatiques est essentielle à la durabilité, a indiqué M. Qu, ajoutant qu’elle permettrait de concrétiser la sécurité alimentaire, d’améliorer le bien-être des populations, d’offrir des perspectives d’emploi et un travail décent à toutes et tous et de protéger la planète aujourd’hui comme à l’avenir.

Selon le Directeur général de la FAO, les agriculteurs doivent produire 50% d’aliments supplémentaires pour pouvoir nourrir l’ensemble de la population. Et la seule manière de réaliser cet objectif, d’après lui, est d’augmenter la productivité des cultures, grâce à la science et à l’innovation.

La Conférence est la troisième d’une série, la première s’étant tenue en 1999 à Cambridge (Royaume-Uni) et la deuxième en 2009 au siège de la FAO, à Rome (Italie). Elle a quatre priorités qui consistent, entre autres, à faire mieux connaître la contribution qu’apporte le secteur semencier, y compris des petites et moyennes entreprises, à l’innovation verte dans le domaine de la production végétale durable ; et à promouvoir la coopération entre les secteurs, en particulier dans le cadre de partenariats public-privé et de la coopération internationale, en vue d’améliorer l’accès aux ressources et le partage de connaissances et d’informations.

Data centers : l’Afrique invitée à miser sur l’efficacité énergétique

L’Afrique connaît l’une des croissances d’accès à Internet les plus rapides au monde en raison de sa population jeune.L’accès à des sources d’électricité abordables, fiables et respectueuses de l’environnement est un problème urgent pour le nombre croissant d’opérateurs de data centers à travers l’Afrique. Ces installations doivent assurer une haute disponibilité d’électricité pour atténuer les temps d’arrêt, mais de nombreux pays africains sont confrontés à de fréquentes pannes d’électricité.

Les data centers existants en Afrique se sont appuyés sur des générateurs à diesel pour maintenir leurs opérations pendant les pannes de courant, une pratique qui pourrait exacerber les émissions de carbone à l’avenir. En effet, le déploiement d’une capacité de data center à grande échelle devrait augmenter les émissions grâce à une utilisation accrue des générateurs à diesel.

Dans un rapport d’orientation récemment publié par Oxford Business Group intitulé « Data Centers en Afrique », la PDG de MainOne, Funke Opeke, a estimé que les réseaux de distribution d’électricité sont confrontés à des pénuries fréquentes, mais qu’il existe un approvisionnement adéquat en électricité dans les réseaux nationaux de la région.

« En plaçant stratégiquement nos data centers à proximité des sources d’énergie et en nous associant à des sociétés de distribution d’électricité locales pour établir des connexions directes au réseau national, nous assurons une disponibilité élevée de l’énergie et réduisons l’utilisation de la production d’électricité au diesel dans nos installations », a-t-elle déclaré.

MainOne, qui fournit des services de télécommunication et de solutions de communication innovants pour les entreprises, a augmenté la capacité de ses data centers qui ont atteint 5 MW sur les marchés clés du Nigeria, du Ghana et de la Côte d’Ivoire, avec des services fournis à un total de 10 pays à travers l’Afrique de l’Ouest.

Cependant, avertit MainOne, sans stratégies énergétiques durables, les data centers vont continuer à contribuer au réchauffement climatique dans une région qui est la moins préparée au niveau de la gestion des conséquences.