Éducation : Kassory Fofana lance les premières épreuves du bac

Le Baccalauréat Unique session 2018 a débuté ce mercredi 27 juin 2018, sur toute l’étendue du territoire national.

Dans la commune de Ratoma, ce sont 12.865 candidats dont 5.511 filles pour l’enseignement général, qui ont été répartis  dans 36 centres qui composent  les 16 délégations scolaires de la Direction Communale de l’Education de Ratoma qui affronte le baccalauréat.

Au centre de Kipé, c’est le Premier ministre,  qui a lancé la première épreuve d’économie.

Ibrahima Kassory Fofana a ensuite souhaité bonne chance aux différents candidats à cet examen.

« Je voudrais souhaiter à nos enfants bonnes chance, beaucoup de sérénité pour aborder les épreuves. Je suis certain que les résultats seront bons parce que sur  vos visages je lis la sérénité, la persévérance et l’optimisme ».

Le Directeur Communal de l’Education de cette commune, a précisé que la tolérance zéro sera de mise et concerne tout le monde.

« C’est pour tout le monde, tous les acteurs qui sont impliqués dans le processus du déroulement de cet examen sont soumis à cette règle celui qui défie cette règle sera traduit en justice », a prévenu   Bakary Camara.

Le baccalauréat unique session 2018 durera quatre jours et prendra fin le samedi prochain.

La journée mondiale pour le soutien aux victimes  de la torture célébrée à Conakry

Le 26 juin de chaque année, marque la journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture.

Afin d’éliminer totalement la torture et d’assurer l’application de la convention 10.12.1984, l’assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 26 juin « journée mondiale de soutien aux victimes de torture ».

La torture demeure répandue et il y a des victimes de la torture dans toutes les régions du monde.

Les études montrent qu’un nombre important de personnes sont mêmes favorables à son utilisation.

La Guinée à l’image des autres pays a donc  célébrée cette journée ce mardi 26 juin 2018 à Conakry  sous le thème : « Le soutien aux victimes de la torture ». Organisé par le Haut-commissariat des Droits de l’Hommes en Guinée, cette cérémonie a connu la présence massive des officiers, sous-officiers,  la gendarmerie, la police, des agents de garde forets,  les auxiliaires  de la justice, et  les ONG de défense de droit de  l’homme.

À  cette occasion solennelle, le président de l’Institution Nationale Indépendante  des Droits Humains,  Dr Aly Diaby a dans son message expliqué qu’il y a encore les efforts à faire  jusqu’ici.

« La torture est interdite. C’est un droit indéfrisable, les traitements cruels, inhumains et dégradants. La tortue a souvent été utilisée lors de l’arrestation, de la garde, de l’interrogatoire, le traitement des détenus ou des prisonniers. Malgré les efforts, elle  continue dans le secret toujours. Alors  l’une des priorités de notre institution nationale d’indépendante des droits humain qui est de prévenir la torture, et toute autre peine ou traitement cruelle inhumain, ou  dégradant », notifie-t-il.

Dans son intervention, la présidente de l’association des victimes et parents des victimes du 28 septembre (AVIPA),  est revenue sur l’importance de cette journée avant de se réjouir de quelques avancées enregistrées dans la lutte contre la torture en Guinée.

« Cette journée est l’occasion d’appeler toutes les parties prenantes, où qu’elles se trouvent, à s’unir pour soutenir les centaines de milliers de personnes dans le monde qui ont été victimes de la torture et celles qui sont encore torturées aujourd’hui. Certes, en matière de lutte contre cette pratique barbare, notre pays a connu des avancées significatives dans la réalisation de ses obligations internationales par la ratification le 10 octobre 1989 de la Convention des Nations Unies contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains et dégradants ainsi que l’interdiction, la prévention, l’incrimination et la répression de la torture à travers la Constitution du 7 mai 2010, le code de procédure pénale et le code pénal de 2016…. ».

Crise togolaise: Akufo-Addo et Alpha Condé feront d’une pierre deux coups à Lomé

Ce n’est plus un doute. Les parties prenantes de la crise sociopolitique togolaise ont été incapables de trouver un compromis devant sortir le pays de la situation qu’il traverse depuis 10 mois.

Le dialogue politique entamé le 19 février dernier n’a encore rien donné. Après plusieurs consultations bilatérales avec les protaganistes, les facilitateurs sont à Lomé pour une ultime tentative de recherche de compromis. La rencontre de ce mercredi vise essentiellement deux objectifs, selon les indiscrétions.

Nana Akufo-Addo et Alpha Condé, les deux facilitateurs désignés par la CEDEAO pour accompagner les acteurs politiques togolaises à faire aboutir le dialogue mais aussi à formuler des propositions de recommandations à la Conférence des Chefs d’Etat de l’organisation sont à Lomé. Le président ghanéen notamment séjourne depuis le début de la soirée à Lomé. Des informations précisent qu’il a été accueilli à l’aéroport de Lomé par son homologue togolais, Faure Gnassingbé.

Les deux présidents, ghanéen et guinéen vont rencontrer les protagonistes de la crise togolaise dans leur marche vers la recherche de solution à la crise que traverse le pays depuis plus de 10 mois. Mais pas seulement.

La rencontre de ce mercredi se révèle l’ultime tentative avant le prochain des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO. A cet effet, Nana Akufo-Addo et Alpha Condé qui ont eu une séance de travail il y a deux semaines avec l’appui de la Commission de la CEDEAO poursuivent essentiellement deux objectifs à Lomé.

Le premier objectif est de chercher à rapprocher les positions des deux parties prenantes que sont le pouvoir et la Coalition des 14 partis politiques de l’opposition. Même si elles s’avèrent diamétralement opposées, les deux chefs d’Etat croient qu’elles peuvent encore être rapprochées si les acteurs font preuve de bonne volonté et recherchent l’intérêt supérieur du Togo.

Et si cette tentative échoue, Nana Akufo-Addo et Alpha Condé se chargeront de présenter leurs propositions de recommandations de sortie de crise aux acteurs politiques, qui pourront toutefois donner leurs avis avant que le document ne soit soumis officiellement à la Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO.

Dans un second, et c’est le second objectif, les deux facilitateurs consulteront certaines personnalités politiques et morales du Togo qui maîtrisent le parcours démocratique du pays depuis les années 1990 à ce jour. On annonce également que certaines organisations de la société civile seront consultées au sujet des recommandations de sortie de crise. Le Front Citoyen Togo Debout (FCTD) est cité, entre autres.

Les travaux sont prévus pour démarrer à 10 heures à l’hôtel 2 Février et les togolais continuent retenir leurs souffles quant au dénouement de la crise qui a fait énormément de dégâts depuis son (re)déclenchement le 19 août 2017.

Élections présidentielles en Turquie: Alpha Condé félicite  Erdogan pour sa victoire 

Dans une lettre lue à la télévision nationale, le président de la République Alpha Condé a adressé ses vives félicitations à son homologue Turque Recep Tayip Erdogan pour sa réélection à la tête de son pays.

« Votre brillante réélection à la magistrature suprême de votre pays montre l’occasion de vous adresser les vives et chaleureuses félicitations du peuple de Guinée,  son gouvernement auxquelles je joins les miennes propres. En portant son choix à nouveau sur votre personne, le peuple turque a décidé de demeurer résolument sur la voie de la poursuite de votre programme de développement socio politique, culturel et de souveraineté que vous incarnez »,  mentionne la lettre.

À cette occasion,  le président Guinéen dit être prêt à consolider les relations Guinéo-Turque vieilles de plusieurs décennies.

« Je saisi cette occasion pour vous réaffirmer mon entière disponibilité à œuvrer avec votre excellence pour la consolidation et l’élargissement des relations d’amitié, de fraternité et de coopération existants si heureusement entre la République de Turquie et la République de Guinée. »

Enfin, le président de la République a souhaité ses  veux de bonheur et de succès à Recep Tayip Erdogan dans ses délicates fonctions.

Institutions républicaines : Fin de la session ordinaire de l’INDH à Conakry

La session ordinaire de l’assemblée plénière de l’Institution Indépendante de Droits Humains (INIDH) ouverte  le 05 juin dernier, a été clôturée le lundi 25 juin dernier à Conakry par le ministre conseiller chargé des Relations avec des institutions à la présidence.

Au cours de la cérémonie de clôture,  plusieurs résolutions ont été adoptées par 18 commissaires présents sur 30.

« Le  bureau exécutif est chargé de prendre les  dispositions pour donner effet à l’élection de Dr Ansoumane Sako et Mme Goumou Fotoumata Morgane dans les fonctions de membres de la cour constitutionnelle pour un mandat de 9ans, le plan d’action tel que amendé et adopté le 12 juin sera signé par le président et par le rapporteur, publié et exécuté par le Bureau Exécutif de l’institution.  Le Bureau exécutif est autorisé de prendre les dispositions pour payer les arriérés de cotisation au réseau des INDH de l’espace  CEDEAO. Le même  bureau Exécutif est chargé de rechercher l’appui technique et financier nécessaire pour la mise en route du plan d’action, une clinique judicaire est créée  au sein de l’INIDH dont le bureau exécutif est chargé de  prendre les dispositions pour sa mise en route »,  a annoncé madame Goumou Fatoumata Morgane, commissaire à l’INDH.

Dans son discours de clôture, le président de l’INIDH Alya Diaby a exprimé sa satisfaction pour la qualité du travail abattu par son bureau.

« Vous avez travaillé durement  pour  la première session ordinaire de l’institution nationale indépendante des droits humains. Nos objectifs fixés ont été atteints. On a  amandé et adopté  le premier rapport annuel de l’institution 2017 qui nous permettra d’enclencher toute la procédure en vue de l’accréditation de notre institution auprès de ses paires. Pour cela, nous demandons à  l’administration de bien vouloir prendre des dispositions pour que cette institution entre dans ses droits pour que les commissaires perçoivent les indemnités de session », a-t-il sollicité.

Conakry: Des citoyens mécontents de la décision d’interdiction des motos à Kaloum

Alpha Ibrahima Keira, le nouveau ministre de la Sécurité et de la Protection civile a, au cours d’une sortie médiatique, annoncé l’interdiction de la circulation de tous motos-taxi dans la commune de Kaloum, centre administratif du pays.

Ce moyen de déplacement était est le plus utilisé par certains usagers de la route qui veulent rallier leurs lieux de travail sans être inquiétés des interminables embouteillages de Conakry.

À Kaloum,  cette décision n’est pas la bienvenue pendant que directeurs, employés, commerçants et riverains se servent de ces motos pour faire leurs activités à longueur de journée.

Madame Sacko Aïssatou, fonctionnaire dans un département à Kaloum, demande au ministre de la Sécurité de revoir sa décision.  « Cette décision du ministre est très mal venue, vu la situation actuelle de nos routes, avec ces embouteillages. Les conditions ne sont pas remplies pour pratiquer cette loi en Guinée, nous disons donc au ministre de revoir cette décision pour éviter la pagaille dans les jours à venir », lance-t-elle.

De son côté, Madame Aminata Camara vendeuse à Manquepas estime qu’il ne faudrait pas prendre des décisions hâtives sans consulter la population.

« On ne prend pas une décision sans consulter la base. Comme eux, ils sont dans des voitures climatisées et un cortège devant, ils ne peuvent pas savoir si la population souffre ou pas. Ici ce sont ces motos-là qui facilitent notre activité. Même les directeurs des fois utilisent les motos pour faciliter leurs activités, tout le monde n’a pas de voiture, c’est avec les motos les gens profitent, c’est une décision que moi je rejette », notifie-t-elle.

Pour sa part Hadja Fatou Cissé propose à l’Etat de « créer des conditions pour la population, envoyer les bus pour faciliter la circulation », recommande-t-elle.

Cette décision qui devait entrer en vigueur hier lundi 25 juin 2018, a été reportée au 01er  juillet pour faciliter le déplacement aux candidats des différents examens nationaux.

Siguiri : un homme arrêté pour tentative de fraude au BEPC

Un jeune homme a été arrêté dans un centre d’examen de Nanamoudoukoro dans la commune urbaine de Siguiri, lors de la deuxième journée du BEPC, pour tentative de fraude, a-t-on appris des sources concordantes.

Le présumé fraudeur aurait tenté  d’introduire des traités du sujet d’histoire dans les salles d’examen. C’est alors qu’il a été interpellé par des agents de sécurité.

Selon le directeur préfectoral de l’éducation de Siguiri, Mamady Doudou Camara, c’est la deuxième tentative d’introduction des traités des épreuves dans le centre depuis le début des examens.

Une première personne avait tenté d’introduire les traités dans le centre. Tentative vaine puisqu’elle a dû rembourser après avoir été démasquée par des agents de police qui ont fait preuve de vigilance.

Le deuxième présumé fraudeur quant à lui n’a pas pu s’échapper. Il a été arrêté.

Ces présumés fraudeur seraient envoyés par un groupe d’enseignants qui se retrouve pour traiter les sujets du BEPC et faire parvenir les traités aux candidats dans les salles d’examen.

Une enquête a été ouverte pour identifier ces enseignants tapis dans l’ombre et l’arrestation du jeune homme devrait être d’un apport important.

Guinée : fin du  forum national des états généraux de droits de l’homme

Ouvert le mercredi 20 juin 2018, le forum national des états généraux de droits de l’homme en Guinée a pris fin le vendredi 22 juin à Conakry. Durant trois jours,  représentants de la société civile, partenaires techniques et financiers,  ministère de l’Unité Nationale et de la Citoyenneté ont eu d’intenses débats et de réflexions constructives  sur la situation du respect des droits de l’homme dans le pays.

Pour Koala Oumarou,  représentant pays de Search For Commun Ground, l’élaboration de la lettre de politique nationale de promotion et de protection des droits de l’homme contribuera à la réduction des violations des droits de l’homme en Guinée.

« Cette approche participative pour l’élaboration de la lettre de politique nationale permettra sans nul doute d’assurer un succès réel dans sa mise en œuvre ainsi que dans le suivi de son exécution. La question des droits de l’homme est transversale et préoccupe toute la nation. Doter le pays d’une lettre de politique nationale de promotion et de protection des droits de l’homme révéle un caractère important et ceci marque tout l’intérêt et l’expression  du ministère de l’Unité Nationale et de la Citoyenneté d’aider à la réduction des frustrations accumulées au fil des ans,  des inégalités et des discriminations en général et à la réduction des violations des droits de l’homme en Guinée ».

Alhousseiny Thiam,  secrétaire général du ministère de l’Unité Nationale représentant son ministre est revenu sur les priorités dégagées pendant ce forum

« L’éducation de base et l’information instructive de chacun, le parachèvement et la pleine réalisation de l’ensemble des droits civils et politiques tel que précisé dans la constitution guinéenne. Parmi ces droits,  une attention particulière sera accordée au droit à la sécurité et à la justice,  le droit à la vie et à l’intégrité physique et morale,  la liberté de la presse,  le droit de vote ainsi que le droit de manifestation et d’association. L’amélioration des conditions et du cadre de vie de chaque guinéen afin que chacun est accès à l’alimentation, à l’eau potable, à l’assainissement, à des soins de santé, à un travail respectueux de sa dignité, le droit à un environnement sain. Combattre fermement toute inégalité et discrimination. La promotion des femmes dans l’arène du pouvoir mais également veiller à ce que leur maison, leur lieu de travail ne se transforment pas en un lieu de bataille permanent. Nos enfants doivent bénéficier de la meilleure protection dans les familles mais aussi dans les écoles, dans la rue,  dans les centres de santé et dans les tribunaux ».

La clôture de la rédaction  de la lettre de politique nationale de promotion et de protection des droits de l’homme en Guinée fera l’objet d’une retraite du personnel du ministère de l’Unité Nationale et de la Citoyenneté.

Quatre morts dans un crash d’avion à Kindia

Quatre personnes ont trouvé la mort dans un accident d’avion survenu le dimanche 24 juin 2018 aux environs de 10h30 minutes dans la préfecture de Kindia,  sous-préfecture de Sougueta, district de Yeleya, secteur Kalaya.

Dans un communiqué lu à la télévision nationale,  le ministère des Transports a expliqué que l’avion appartenait à la compagnie privée Aigle Air SA.

« L’avion qui a décollé à l’aéroport international de GBessia à 10heures une minute à destination de  Lero (ville minière de Siguiri)  où il était attendu à 11heures une minute avait à son bord quatre personnes dont deux pilotes un allemand et un cap verdien,  et deux techniciens dont un polonais et un Guinéen tous décédés dans l’accident », précise le communiqué.

« Une commission d’enquête technique a été mise en place pour déterminer les causes de l’accident », précise le communiqué.

Le ministre d’Etat,  ministre des Transports a saisi cette occasion pour remercier les populations de Sougueta pour les efforts déployés afin de retrouver rapidement les corps des victimes.

Des informations complémentaires feront l’objet d’autres communiqués.

Dabola : Abdoulaye Bah inhumé à Dinguiraye,  sa ville natale

C’est à 14 heures 30, du jeudi 21 juin 2018, après le symposium organisé par le gouvernement guinéen, que le corps d’Abdoulaye Bah a quitté Conakry pour son Dinguiraye natal où  il est arrivé à 2 heures en compagnie de sa famille biologique et professionnelle.

A 8 heures, la cérémonie funèbre a débuté par la lecture du saint Coran. Le moment a été pour les sages et amis(es) de bénir Abdoulaye pour son repos éternel.

Comme on aime à le dire,  la nature a horreur du vide, alors Abdoulaye Bah a laissé un grand vide au sein de sa famille biologique  et professionnelle.

Après la lecture du saint coran, une foule compacte  a pris d’assaut la mosquée  historique de Cheik El-hadj Oumar Tall de Dinguiraye d’où naquis il y a de cela 41 années, le désormais ancien chef de bureau adjoint de Guineenews, pour la prière du Vendredi suivi de la prière funèbre de notre confrère Abdoulaye Bah.

Après seulement  une année et demi de mariage, l’épouse  d’Abdoulaye Bah dit avoir eu le meilleur mari au monde: « Dès qu’on m’a annoncé sa mort,  j’ai dit Abdoulaye tu m’as trahi non pas parce que tu n’étais pas fidèle en moi, mais parce que tu m’as laissée seule et aller pour toujours. On était censé être ensemble durant des années, avoir des enfants et petits-enfants mais malheureusement Dieu en a voulu autrement je m’en remets à la volonté de Dieu… je retiens de lui un homme bon, exemplaire, un ami et confident,  le meilleur mari au monde… ».

Les  ministre des Transports, Ibrahima Kourouma, de la Ville et de l’Habitat, Gassama Diaby de l’Unité Nationale et de la Citoyenneté et le Directeur général de la Caisse Nationale de  Sécurité Sociale, Malick Sankhon, Hadja Halimatou Dalein Diallo, épouse du chef de file de l’opposition républicaine,  étaient tous présents à Dinguiraye.

Après la prière funèbre direction le cimetière de Tintikolè  en face du centre de santé Manden où est logé pour l’éternité Abdoulaye Bah, journaliste.

Pour rappel,  Abdoulaye Bah est décédé à l’hôpital de l’amitié Sino-guineennne, suite à un accident qu’il a subit le samedi dernier à Matoto alors qu’il couvrait les travaux d’assainissement de la ville de Conakry en compagnie du ministre des Travaux publics et celui de la jeunesse.

Abdoulaye Bah est mort l’arme à la main.

Que son âme repose en paix. Amine!