Le vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et centrale attendu à Conakry

CONAKRY, 5 juillet 2021— Le Vice-Président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’ouest et centrale, Ousmane Diagana, effectuera une visite officielle en Guinée du 07 au 10 juillet 2021 dans le cadre du renforcement du partenariat entre la République de Guinée et la Banque mondiale. C’est la première visite du Vice-Président en Guinée depuis sa prise de fonction en juillet 2020.

Durant la visite, Monsieur Diagana s’entretiendra avec le Président de la République, Son Excellence le Professeur Alpha Condé, ainsi qu’avec des membres du gouvernement sur les grandes priorités de développement du pays et sur l’appui de la Banque mondiale pour leur mise en œuvre.

Il rencontrera également les principales parties prenantes au développement de la Guinée, y compris des partenaires au développement, des représentants d’organisations de la société civile, des bénéficiaires de projets financés par la Banque.

Il échangera également avec les étudiants de l’université Gamal Abdel Nasser lors d’une conférence publique sur les priorités stratégiques de la Banque mondiale en Afrique de l’Ouest et centrale. La délégation visitera également des projets financés par la Banque mondiale notamment un site de prise en charge Covid-19, et assistera au lancement du projet de Développement de l’Agriculture Commerciale en Guinée (PDACG).

De nationalité mauritanienne, Ousmane Diagana est Vice-Président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’ouest et centrale depuis le 1er juillet 2020. Dans ce rôle, il coordonne les relations de la Banque mondiale auprès de 22 pays et gère un portefeuille de projets, d’assistance technique et de ressources financières de plus de 40 milliards de dollars. Cette visite intervient alors que la Banque mondiale vient de finaliser sa stratégie pour l’Afrique de l’ouest et centrale, dont les quatre objectifs visent à établir un nouveau contrat social entre les citoyens et l’Etat, œuvrer à plus d’emplois de meilleure qualité, renforcer le capital humain et améliorer la résilience climatique.

Par ailleurs, la Banque mondiale a répondu à la requête du gouvernement en accordant récemment un financement de 28,2 millions de dollars pour soutenir l’acquisition de vaccins anti-Covid au bénéfice des populations.

La Guinée est membre du Groupe de la Banque mondiale depuis 1963. L’enveloppe totale de financements en faveur de la Guinée pour l’année fiscale 2021 s’élève à plus de 1 milliard de dollars, répartis sur 25 projets.

Contacts :

À Conakry : Mamadou Bah, (+224) 628 933 008, mbah3@worldbank.org

Pour en savoir plus sur les activités de la Banque mondiale en Guinée, rendez-vous sur http://www.banquemondiale.org/fr/country/guinea

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Communiqué de presse

La Banque Mondiale a fait don d’engins roulants à la Guinée (Départements ministériels)

Le Ministère de la Santé a organisé jeudi 27 août 2020 à Conakry, une cérémonie de remise des engins roulants aux Ministères de l’Elevage, de l’Action Sociale, de l’Administration du Territoire et celui de la Santé.
Il s’agit de deux projets à savoir le projet de renforcement du système de surveillance des maladies en Afrique de l’Ouest (REDISSE) et le projet de renforcement des services et capacités sanitaires (PRSCS) financés par la Banque Mondiale à travers le bureau des Nations Unies pour les services d’appui aux projets (UNOPS).

Le projet REDISSE accordé au Ministère de l’Elevage, finance 99 motos motocyclettes Yamaha d’un coût global de 305 000 USD destinées au renforcement de la capacité de mobilité du personnel du terrain du Réseau de Surveillance de la maladie animale en Guinée (REMAGUI) dans leurs activités de lutte commune contre les maladies.

Quant au projet PRSCS, il s’agit de 24 véhicules Toyota d’un montant de 880 657 USD pour les différentes directions nationales des Ministères de la Santé, de l’Action Sociale et de l’Administration du Territoire à travers la Direction Nationale de l’Etat civile pour renforcer leurs capacités d’action sur le terrain.
Ces 24 véhicules sont répartis comme suit : Dix (10) véhicules pour les directions préfectorales de santé de Dubréka, Coyah, Forécariah, Kindia, Télimelé, Kankan, Kérouané, Kouroussa, Mandiana et Siguiri ; deux (2) véhicules pour les directions régionales de Kankan et Kindia ; douze (12) véhicules pour niveau central des directions nationales, des programmes et projet des ministères de la Santé, de l’Action Sociale, du Fonds de Développement Social et la Solidarité (FDSS) et de l’Administration du Territoire avec la direction de l’Etat Civil.

Selon le coordinateur national de l’Unité de Gestion des Projets (UGP) au Ministère de la Santé, Dr. Moustapha Grovogui, l’acquisition de ces matériels roulants sur le financement de la Banque Mondiale et leur mise à la disposition aux services bénéficiaires par le Ministère de la Santé, permettront à la qualification de la prestation du personnel en charge de la gestion des maladies en Guinée dans le but de préserver, détecter, et répondre à toutes crises sanitaires auxquelles le pays est confronté. Mais aussi, pour la continuité des soins de santé aux mères, aux enfants dans notre pays.

Exprimant la gratitude du gouvernement guinéen à la Banque Mondiale pour tous les efforts consentis en faveur de la Guinée, le ministre de la Santé, le médecin Colonel Remy Lamah, a donné l’assurance que toutes les dispositions utiles seront prises pour que ces engins soient utilisés judicieusement par les services compétents pour des prestations de qualité en faveur des populations bénéficiaires dans le but d’améliorer les indicateurs de santé et des protections sociales.

Covid-19 en Guinée: La Banque Mondiale accorde 1 million de dollars à l’ANSS

Le secrétaire général du ministère de la Santé Dr Sékou Condé a présidé jeudi 09 juillet 2020 à Conakry, la remise d’un don de matériels, d’intrants et d’engins roulants à l’Agence Nationale de la Sécurité Sanitaire (ANSS) dans le cadre de la riposte contre le Coronavirus.

Ces matériels, intrants et engins roulants sont acquis sur financement de la Banque Mondiale, a constaté l’AGP.
Une première remise d’intrants et matériels a représenté un cout de 2.038.407.500 GNF soit 203, 840 USD. L’OMS, avec l’accord de l’ANSS, de la Banque Mondiale et du Projet REDISSE du Ministère de la Santé, a mis à la disposition de l’agence, un deuxième lot composé des équipements, intrants de laboratoires et 21.024 tests de dépistage COVID-19, des équipements et intrants de réanimation pour les cas graves de Coronavirus, 10 véhicules et 10 motos.

Montant total de ce geste, 1.084. 274,73 USD.
Pour le secrétaire général du Ministère de la Santé, cette assistance des partenaires, va permettre de faire la jonction entre les différents piliers du plan, favoriser les déplacements des équipes de supervision, le transport des malades et des produits pharmaceutiques.

Quant au chargé du Programme de Santé du groupe de la Banque Mondiale en Guinée, Ibrahima Magazi, il a indiqué « Face à l’urgence et à la gravité de la situation, le Groupe de la Banque Mondiale à la demande du gouvernement guinéen, a mis en place sur les fonds du projet REDISSE, 12 millions USD comme contribution au plan national de riposte contre le COVID-19 ».

« Dans la mise en œuvre de ce plan, le Ministère de la Santé à travers l’ANSS, a signé 100 conventions d’un montant de 4. 886.000 USD avec l’OMS et l’UNICEF ; une manière de faciliter la prise en charge des malades du coronavirus et l’acquisition de moyens substantiels », a conclu Pr. Alfred George Kizerbo.

La Banque Mondiale accorde 10,9 millions de dollars à la Guinée

La Banque mondiale a approuvé un financement additionnel de 10,9 millions de dollars de l’Association internationale de développement (IDA)* pour appuyer les efforts de la Guinée dans la lutte contre le Covid-19 (coronavirus) et l’aider à mieux répondre aux urgences de santé publique.
Le Projet d’appui à la lutte contre le Covid-19 (Fast Track Facility en anglais) qui soutient le Plan National de Riposte au Covid-19 permettra de répondre aux besoins sanitaires immédiats à travers des actions de prévention, détection et traitement des patients du coronavirus. Ceci en soutenant l’installation d’unités de soins intensifs, de services d’hospitalisation et l’achat d’équipements de protection du personnel soignant : combinaisons de protection, gants, masques…
En parallèle, la Banque mondiale a déjà mis à disposition 12,9 millions de dollars pour un soutien immédiat dans le renforcement de la riposte de santé publique à travers le Programme de renforcement des systèmes régionaux de surveillance des maladies (ou REDISSE selon l’acronyme en anglais). Ce projet finance la mise en place des premiers centres de traitement, les activités de surveillance, l’achat de matériel de laboratoire et de réanimation, des véhicules dont des ambulances, des activités de communication/sensibilisation, de coordination/supervision et d’assistance technique notamment le déploiement de personnel médical additionnel.
« La Banque mondiale continue à accompagner le gouvernement guinéen dans la lutte contre la pandémie afin de mitiger l’impact du virus sur les populationsNous sommes heureux de constater que de nombreux équipements et matériels médicaux commandés sont déjà réceptionnés par les autorités guinéennesCes appuis viennent renforcer la capacité de riposte de la Guinée contre la Covid-19 et devront par ricochet rendre le pays plus résilient face aux urgences de santé publique »,souligne Nestor Coffi, représentant résident de la Banque mondiale pour la Guinée.
La Guinée a également bénéficié du Fonds de l’Assurance du Mécanisme de Financement d’Urgence en cas de Pandémie (Pandemic Emergency Facility en anglais) d’un montant de 1,7 millions de dollars pour soutenir les activités de lutte contre le Covid-19.
Le Groupe de la Banque mondiale prend des mesures rapides et de grande envergure en vue d’aider les pays en développement à renforcer leur action contre la pandémie et à améliorer la veille sanitaire et les interventions de santé publique, tout en soutenant le secteur privé pour permettre aux entreprises de poursuivre leurs activités et maintenir les emplois. Il prévoit d’apporter jusqu’à 160 milliards de dollars de financements au cours des 15 prochains mois, afin d’aider les pays à protéger les populations pauvres et vulnérables, soutenir les entreprises et favoriser le redressement de l’économie.
* L’Association internationale de développement (IDA) est l’institution de la Banque mondiale qui aide les pays les plus pauvres de la planète. Fondée en 1960, elle accorde des dons et des prêts à faible taux d’intérêt ou sans intérêts en faveur de projets et de programmes de nature à stimuler la croissance économique, à réduire la pauvreté et à améliorer la vie des plus démunis. L’IDA figure parmi les principaux bailleurs de fonds des 76 pays les plus pauvres de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’IDA permettent d’apporter des changements positifs dans la vie de 1,6 milliard de personnes résidant dans les pays éligibles à son aide. Depuis sa création, l’IDA a soutenu des activités dans 113 pays. Le volume annuel des engagements est en constante augmentation et s’est élevé en moyenne à 21 milliards de dollars au cours des trois dernières années, 61 % environ de ce montant étant destinés à l’Afrique.

La BAD octroie 3,2 millions de dollars pour 3 projets de développement en Guinée

Le Bureau national de la Banque africaine de développement en Guinée (COGN) et le gouvernement guinéen ont procédé, entre le 21 et le 26 mai derniers, à la « télé-signature » d’accords de près de 3,2 millions de dollars pour trois nouveaux projets dans la numérisation, les énergies vertes et l’appui à la compétitivité de la chaîne de valeur du miel.

Ces engagements pris par le responsable pays de la Banque, Léandre Bassolé, et Mme Kanny Diallo, ministre du Plan et du développement économique et gouverneure de la Banque pour la Guinée, renforcent le portefeuille actif de projets financés par la Banque dans le pays pour le porter à un montant d’engagements de quelque 556 millions de dollars.

Le projet de digitalisation des paiements gouvernementaux des pays de l’Union du fleuve Mano (DIGIGOV-UFM) est mis en place dans le cadre du renforcement des capacités des États en transition afin de les soutenir dans leur stratégie de mobilisation de ressources internes et d’inclusion financière. Il vise à créer en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone, un écosystème de paiement numérique, gage de transparence, de sécurité, d’optimisation dans la gestion des ressources publiques et d’inclusion financière des populations traditionnellement exclues du système bancaire classique. Sa mise en œuvre doit permettre d’augmenter la part des taxes et impôts dans le PIB de 13,4% à 17% et d’accroître le taux d’inclusion financière moyen de plus de 6%.

Le Programme de développement des mini-réseaux verts en Guinée doit soutenir l’Agence guinéenne pour l’électrification rurale (AGER) dans la mise en place de projets de 57 mini-réseaux verts dans le pays. Cette subvention du Fonds des énergies durables pour l’Afrique (SEFA) permettra de financer spécifiquement des études de pré-faisabilité techniques, économiques, financières et d’impact environnemental et social des projets de mini-réseaux verts. Il s’agit des projets identifiés dans le Plan d’électrification à moindre coût élaboré par le gouvernement de la République de Guinée en coordination avec la Banque mondiale et l’Agence française de développement (AFD).

Il est prévu que le déploiement des 57 mini-réseaux donne accès à l’électricité à environ 30 000 ménages. Les mini-réseaux devraient ainsi aboutir à la création d’une centaine d’emplois, dont 50% pour les femmes, et générer des possibilités d’utilisation productive pour au moins 100 micro et petites entreprises.

Enfin, l’exécution du Projet d’appui à la compétitivité de la chaîne de valeur du miel en Guinée, financé par le Fonds Africain pour le Commerce, a pour objectif d’accroître les revenus des acteurs de cette chaîne, en particulier les femmes. Le projet doit ainsi contribuer à la restructuration des groupements apicoles de la COPRAKAM (Coopérative de production d’arachide de karité et de miel), à l’augmentation de la quantité et de la qualité du miel, au renforcement de la capacité opérationnelle et de commercialisation de la coopérative ainsi qu’à la préservation de l’écosystème des zones mellifères et l’atténuation des effets du changement climatique.

Après le FMI, la Banque Mondiale suspend également ses activités en Guinée

Après le FMI, la Banque Mondiale suspend ses missions en Guinée.

La Banque Mondiale a officiellement annoncé, lundi 17 février 2020, la suspension de ses missions vers la Guinée. Les raisons évoquées étant les précautions de sécurité.
Cette mesure entrera en vigueur le 24 févier et s’étendra jusqu’au 08 mars 2020.

Alors que le régime au pouvoir entend soumettre un projet de nouvelle constitution à un référendum populaire, la société civile et l’opposition entendent plutôt l’empêcher afin d’éviter la possibilité d’un troisième mandat à Alpha Condé.

Compte tenu du double scrutin à venir le 1er mars prochain, l’institution financière a décidé de suspendre périodiquement ses missions en Guinée. La semaine dernière, le Fonds monétaire international (Fmi) avait également annoncé une suspension de ses missions en Guinée à cause du processus électoral en cours.

La Guinée, la Banque Mondiale et l’AFD signent un accord de financement

Dans le cadre de l’opérationnalisation du projet d’amélioration de l’accès à l’électricité, la République de Guinée, l’Agence Française de Développement (AFD) et la Banque Mondiale ont signé ce lundi 1er avril, un accord de financement.

 

C’est la salle de conférence du Ministère de l’Economie et des Finances qui a servi de cadre pour cette cérémonie sous la présidence du ministre en charge de l’Economie et des Finances, Mamadi qui avait à ses côtés ses homologues du Plan et du Développement Economique, Hadja Mama Kanny Diallo et Dr Cheick Taliby Sylla de l’Energie et de l’Hydraulique. Du côté des partenaires, il y avait l’ambassadeur de France en Guinée, Jean-Marc GROSGURIN, la Directrice adjointe de l’AFD en Guinée et du représentant de la Banque Mondiale en Guinée, Rachidi B. Radji. Selon l’ambassadeur de France, le taux moyen d’accès à l’électricité demeure faible en Guinée. « 29% en 2017 et 18% si l’on retranche les branchements illégaux et les zones rurales ne sont desservies qu’à hauteur de 2%. Néanmoins, la production d’électricité connait un développement accéléré depuis quelques années et je tiens, au nom de la France, à saluer les efforts du Gouvernement guinéen en la matière. Comme nous le savons, en 2015, la centrale hydro-électrique de Kaléta a permis de doubler la production d’électricité portant la capacité installée totale à 593 MW en 2017.

En 2020, le barrage de Souapiti, actuellement en construction, permettra de garantir une production électrique en période d’étiage. En complément, des centrales hydroélectriques de plus petite envergure sont en projet. En particulier, deux centrales de 11 MW chacune en Guinée forestière et en Haute Guinée font actuellement l’objet d’études de faisabilité financées par l’AFD et l’Union Européenne. Cette stratégie volontariste devrait permettre de fournir un accès à l quasi-totalité de la population guinéenne d’ici 2030. Le défi est donc désormais d’améliorer significativement l’accès de l’ensemble de la population guinéenne à l’électricité. C’est dans ce but que l’Agence Française de Développement a octroyé un prêt concessionnel de 50 millions d’euros à la République de Guinée que nous nous apprêtons à signer aujourd’hui », dira entre autres le diplomate français en Guinée.

 

 

Pour sa part, le représentant de la Banque Mondiale s’est réjoui de l’accompagnement de son institution, avant de préciser : « Le présent financement de l’Association Internationale pour le Développement d’un montant équivaut à 50 millions de dollars dont la moitié en termes de don, vient renforcer les engagements importants du Groupe de la Banque Mondiale dans l’important secteur de l’énergie. Il marque également une fois de plus la matérialisation des promesses faites par mon institution à Paris en novembre 2017 d’apporter des appuis financiers et techniques importants à la mise en œuvre des programmes sectoriels prioritaires contenu dans le Plan National de Développement Economique et Social (…) Le présent projet vise à appuyer l’exécution du programme national d’amélioration de l’accès à l’électricité à moindre coût 2016-2020, qui a un objectif de doubler le taux légal d’accès à l’électricité de 18.1% à 36%, en 2020 », dira-t-il en substance.

 

Quant au ministre Mamadi Camara de l’Economie et des Finances, il dira que ce cofinancement qui provient de deux grandes institutions est composé des éléments suivants : « Un prêt et un don de l’Association Internationale de Développement (IDA) pour 50 millions de dollars et un prêt de l’Agence Française de Développement pour 50 millions d’euros. Ces ressources sont octroyées à la Guinée à des conditions financières hautement concessionnelles… » Poursuivant, il a fait savoir que « l’objectif de ce projet est d’augmenter l’accès à l’électricité en Guinée et qu’il vise à renforcer les capacités du réseau de distribution et accroître le nombre de ménages raccordés dans les zones urbaines de Conakry, Dubreka, Manéah, Coyah, Forecariah et Kindia, accroître les capacités de transformation et de transport du réseau électrique et d’accroître le nombre de localités électrifiées via des mini-réseaux », a-t-il mentionné, avant de souligner que ledit projet comprend trois (3) composantes