La Fondation miss Mariam Touré lance sa caravane de sensibilisation et de prise en charge des malades de la fistule obstétricale

La Fondation Miss Mariam Touré a lancé mercredi, 10 février 2021, une caravane de sensibilisation et de prise en charge des malades de la fistule obstétricale. Cette caravane dont la première phase se déroulera du 15 au 22 février à Kissidougou avant de s’étendre à Kankan, Kindia, Boké, Labé et Jean Paul II à Conakry.

« Tout a commencé en 2017 à la suite du concours Miss RTG: qui allie beauté physique et intellectuelle dont une des spécificités est l’obligation faite aux candidates d’élaborer un projet à réaliser au cours du mandat. Consciente de la servitude morale et physique dont sont victimes de nombreuses femmes frappées par cette maladie qu’elles contractent en donnant la vie, principalement, nous avons fait la promesse de mettre notre couronne au service de la restauration de leur dignité. Pour traduire notre dévouement à ladite cause, c’est ce même projet que nous conduisons aujourd’hui grâce à notre couronne de MISS GUINÉE 2019/2020, dans sa phase de matérialisation pour le bonheur des victimes », a expliqué la Miss, Mariam Touré.

Elle a aussi souligné qu’au cours de cette caravane, 10 victimes de fistule obstétricale seront prise en charge, mais aussi sa fondation va la distribuer des vivres et de consommables à 100 autres femmes malades.

« La présente caravane dont le lancement a lieu aujourd’hui, nous conduira dans la préfecture de Kissidougou du 15 au 22 février courant pour l’opération de 10 victimes et la distribution de vivres et de consommables à 100 autres femmes malades; avant les étapes Kankan, Kindia, Boké, Labé et celui de Jean paul 2 », précise Mariam Touré.

Présent à cette cérémonie, le Haut représentant du chef de l’Etat, Claude Kory Kondiano a salué le combat que mène la Miss Mariam Touré pour venir en aide aux femmes porteuses de fistules, souvent stigmatisées et isolées.

« Cette initiative est la bienvenue à Kissidougou parce que la maladie dont on parle fait des victimes. Sa fondation va s’y rendre pour la prise en charge de femmes avant d’aller dans d’autres localités du pays. Cela me va droit au cœur, parce que Kissidougou, c’est la ville qui m’a vu naître. Nous ferons tout pour que l’Etat la soutienne », rassure l’ancien président de l’Assemblée nationale.

 

 

Fermeture des frontières Guinéo-leonaises : signature d’un accord entre les deux parties

Les travaux de la commission technique sur la réouverture des frontières entre la Guinée et la Sierra Leone ont pris fin mardi à Freetown.

Ils ont permis aux deux parties de s’accorder sur la signature prochaine d’un accord-cadre de coopération en matière de sécurité et de partage d’informations entre les deux pays, d’un Protocole d’Accord de coopération et d’assistance mutuelle en matière douanière et de l’Accord Général de coopération entre les deux Gouvernements, pour la création d’une commission mixte de coopération.

L’accord sera signé dans les prochains jours à Conakry en présence des présidents guinéen Alpha Condé et sierra-léonais Julius Maada Bio.

Les Ministres des Affaires Étrangères des deux pays, dans une déclaration commune sur la visite de la délégation guinéenne à Freetown, se sont dits « satisfaits des mesures prises jusqu’ici par les services de Sécurité Sierra Léonaise, pour assurer la collaboration avec leurs homologues guinéens sur les questions relatives aux commandes et au contrôle douanier ».

Guinéens et Sierra Léonais se sont accordés sur certains préalables avant l’ouverture prochaine des frontières.

Il s’agit par exemple d’un partage d’informations sur des questions de sécurité, de l’organisation d’une patrouille conjointe par mois dès le 1er Mars.

Celle-ci se fera dans les secteurs de Yumkelia, Pamelap, Kukuna-Laya…du côté léonais et à Ourékaba, Hèrèmakono (Faranah), Nongoa du côté guinéen.

Une réunion sur la question de Yenga se tiendra le 2 mars à Nongoa, en République de Guinée.

SE Dr. Ibrahima Khalil KABA, Ministre des Affaires Étrangères et des Guinéens de l’Étranger et SE Madame Nabeela TUNIS, Ministre des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale de la République de Sierra Leone, ont réitéré la détermination des Présidents Professeur Alpha CONDÉ et Dr. Julius Maada BIO, de consolider la coexistence pacifique et les relations fraternelles entre la Guinée et la Sierra Leone.

Une dépêche de la Cellule de communication du ministère des Affaires Etrangères

 

 

Alpha Condé menace de sanctionner des ministres et leurs cadres

Dans sa volonté de « gouverner autrement », le président de la République s’est successivement rendu, hier, mardi 9 février 2021 aux ministères de la Fonction publique, de l’Education nationale et de la Justice. 

Le chef de l’Etat voulait s’assurer de la régularité des travailleurs de l’administration publique, mais aussi du respect de l’heure dans ces différents services.

Dans ces différents départements, le chef de Etat a constaté de nombreuses absences dont 25 absences au ministère de la Fonction publique, 36 au ministère de l’Education nationale et de l’alphabétisation et 48 au ministère de la Justice. Alpha Condé s’est exprimé en ces termes :

« je constate qu’il y a trop d’absences, particulièrement au ministère de la Justice, de l’Education et de la Fonction publique. Je pense qu’il y a certains fonctionnaires qui ne prennent pas au sérieux (…). Chacun des absents recevra un avertissement. Mais, les ministres aussi ne contrôlent pas leurs cadres. Donc, ce ne sont pas seulement les cadres qui seront sanctionnés, mais les ministres aussi. Parce que ça veut dire les ministres n’ont pas d’autorité sur les cadres ».

Dans sa récente adresse à la nation, Alpha Condé a prévenu que ‘’le temps du laisser-aller et laisser-faire et de l’oisiveté dans le service public est révolu’’.

Il a annoncé que ‘’chaque agent de l’Etat et de notre administration, du plus anonyme au plus illustre, du haut cadre au subalterne, doit être à son poste de travail et à l’heure’’ et devra s’atteler à la ‘’tâche jusqu’à la fin de son service sans se laisser distraire par aucun moyen de divertissement’’.

CHAN 2020 : le ministre des sports Bantama Sow félicite les joueurs du Syli local

Médaillés de bronze au Championnat d’Afrique des Nations, (CHAN) les joueurs du Syli local  sont rentrés à Conakry, hier, lundi 08 février. Les joueurs ont été accueilli à l’hôtel Kaloum par le ministre des Sports Sanoussy Bantama Sow qui y a représenté le gouvernement en compagnie de ses homologues de la Culture et de la Jeunesse.

« On a compris que nous avons des jeunes capables de représenter valablement notre pays », se réjouit Bantama Sow avant de promettre de discuter avec la Fédération guinéenne du Football pour, entre autres, favoriser l’intégration des joueurs locaux dans l’équipe A.

‘’D’abord, nous allons tirer les leçons, voir comment maintenir l’équipe. Il faut trouver les voies et moyens de maintenir cette équipe. Moi je suis convaincu que ce sont des jeunes qui seront capables de nous représenter valablement à la prochaine Coupe d’Afrique des Nations’’, estime-t-il.

Pour le ministre d’Etat chargé de sports, ‘’il faut éviter de faire appel à un joueur seulement parce qu’il est en Europe. Parfois, nous avons à faire à des joueurs qui n’ont même pas de clubs. Tandis que ces jeunes ont prouvé qu’il ne suffit pas d’être en Europe pour bien représenter le pays. Techniquement, physiquement et patriotiquement, ils ont représenté la Guinée. C’est souvent ce qui manque à l’équipe nationale A’’

Précisant que ‘’j’ai peur qu’on dise que je suis un nationaliste’’, Bantama Sow demande aux guinéens de juger le sélectionneur du Syli local, Kanfory Lappé Bangoura, sur la base des faits.

‘’Il faut éviter de faire venir des gens juste parce qu’ils sont blancs. On les paye cher alors qu’ils ne font pas de résultat’’, souligne-t-il, ajoutant que ‘’ce sont des questions que nous allons discuter avec la Fédération guinéenne de football pour que les mois à venir, la Guinée soit valablement représentée. Car il ne suffit pas de jouer en Europe ou d’avoir la peau blanche pour croire qu’on est génie’’.

 

Fermeture des frontières Guinéo-léonaises : une délégation guinéenne à Freetown

Une délégation guinéenne conduite par le ministre guinéen des Affaires étrangères a été reçu lundi à Freetown par le président bissau-guinéen, Maada Bio. Cette mission s’inscrit dans la conclusion d’un accord entre la Guinée et la Sierra leone pour la réouverture des frontières fermées par les autorités de Conakry.

Conduite par le ministre des Affaires étrangères Ibrahima Khalil Kaba, en compagnie de son homologue de la Sécurité Damantang Albert Camara, la mission, composée de hauts cadres des services de Police, de la douane et de l’armée, a été reçue en audience par le président de la Sierra Leone.

« C’est la suite d’une mission que le Président sierra-léonais avait envoyé à Conakry les 28 et 29 janvier, dans le cadre des discussions bilatérales entre nos deux pays sur la question de la fermeture de la frontière. Donc, nous avons commencé des discussions et des travaux à Conakry. C’est ce que nous sommes en train de continuer à Freetown ici. Et à la suite des séances de travail, nous ferons le compte-rendu à nos deux Chefs d’États respectifs », a déclaré Ibrahima Khalil KABA à sa sortie d’audience, selon le service communication du ministère des Affaires étrangères.

Rappelons que, les frontières terrestres entre la Guinée et la Sierra Léone sont fermées depuis octobre dernier, veille de l’élection présidentielle. Cette décision unilatérale de Conakry a été vivement critiquée en fin janvier par le président Léonais lors d’un sommet virtuel des chefs d’Etat de la CEDEAO.

 

Le militant de l’UFDG Madic 100 frontières condamné à 5 ans de prison ferme

Le verdict de Mamady Condé alias Mady 100 frontières est tombé, ce lundi 08 février 2021.  Ce militant de l’Union des Forces Démocratiques de Guinée (UFDG) a été condamné par le Tribunal de première instance de Dixinn. 

Le guinéo-canadien Madic 100 Frontière a été situé sur son sort. A l’issue de son procès qui s’est déroulé au tribunal de première instance de Dixinn, il a été reconnu coupable de « téléchargement, diffusion de messages, photos, dessins de nature raciste ou xénophobe, menaces, violences et injures par le biais d’un système informatique ».

La juge, Balou Keïta, présidente du Tribunal a condamné l’opposant à cinq (5) ans d’emprisonnement et au paiement de cent (100) millions de francs guinéens comme amende.

Le procureur de la République avait requis 10 ans d’emprisonnement et 300 millions d’amende contre lui alors que la défense espérait la relaxe pure et simple ou une peine moins lourde après que son client ait fait amende honorable.

 

Les policiers appelés à éviter les contrôles de routine aux heures de pointe

Des instructions fermes ont été données aux agents de la police routière, déployés sur les différentes artères de la capitale Conakry, pour éviter de procéder à des contrôles de routine pendant les heures de pointe.

Dans Africa 2015 de Nostalgie FM, le porte-parole de la police nationale, Boubacar Kassé a déclaré qu’il a été recommandé aux policiers d’éviter les contrôles pendant les heures de pointe.

« Désormais aucun contrôle  n’est permis pendant les heures de pointe : le matin  de 8h à 11h et le  soir  à partir de 16h, à moins que  le contrôle de l’engin en question  soit exceptionnel. Car, un seul mauvais comportement d’un agent peut carrément ternir l’image de la police. Donc, la direction générale s’engage définitivement à faciliter la tâche aux usagers de la circulation et contrôler  aussi des conducteurs de motos et chauffeurs qui profiteront de cette situation pour créer la pagaille », souligne t-il.

Plus loin, le porte parole de la police nationale signal que les embouteillages sont plus souvent provoqués par les agent de la police. Le ministère promet de sévir contre ces agents qui seraient à la base de cette situation.

« Après le constat sur le terrain, près de 70 % des bouchons sont provoqués par des agents de la routière.  Du coup on s’est engagé pour aller en guerre contre ce comportement. Tout agent même venant d’un autre corps sur la chaussée entrain de réguler la circulation est considéré comme bénévole », dit-il.

Il prévient que ‘’tout policier pris en train d’arnaquer un automobiliste passera devant la commission de discipline de la police’’, avant d’appeler les citoyens à remplir leur part du contrat en se conformant aux principes qui régissent la circulation routière.

Réouverture des locaux de l’UFDG : la justice rejette la demande

Le président de l’’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG), Cellou Dalein Diallo a saisi le juge des référés du tribunal de première instance de Dixinn pour demander la réouverture de son siège et de son Quartier général quadrillés par les forces de l’ordre depuis le 20 octobre 2020.  Dans son verdict rendu hier, mercredi, le tribunal de Dixinn a rejeté la demande de l’UFDG.

Après avoir délibéré conformément à la loi,  le tribunal a rejeté la demande de l’UFDG. Une décision qui n’a pas laissé de marbre Maître Salif Béavogui un des avocats du parti.

« Cette décision est mauvaise en soi. Elle n’est pas conforme à la loi mais elle ne nous surprend guerre lorsque nous savons la nature des décisions que nous connaissons dans  des dossiers qui ont des ramifications inexplicable », a-t-il dit.

« C’est une fermeture illégale et abusive qui ne repose sur aucune base juridique », martèle Maitre Béavogui, rappelant que l’UFDG avait décidé de saisir le juge des référés pour constater que la « charte des partis politiques a été violée ».

« Aujourd’hui, tous les autres partis politiques tiennent leurs assemblées hebdomadaires et fonctionnent librement. Il n’y a pas de raison que ce soit seulement l’UFDG et son siège qui soient fermés », ajoute-t-il.

Se disant déçu de la décision, Maitre Salifou Béavogui affirme que « nous avions estimé que le juge aurait eu le courage d’ordonner la réouverture des lieux », avant d’annoncer que « nous n’allons pas nous arrêter en si bon chemin. Nous continuerons à mener la lutte en relevant appel ».

Rapport d’Amnesty International : le ministère de la justice apporte un démenti

Dans un rapport publié le 02 février, Amnesty International a fait état des cas de décès dans les prisons guinéennes mais aussi de la détention des opposants ainsi que des conditions carcérales en Guinée.

Le ministère de la justice n’a pas tardé à démentir le rapport à travers des observations qui mettent en cause les affirmations d’Amnesty International.

Ci-dessous, les observations du ministère de la justice :

C’est avec étonnement que le Ministère de la Justice a pris connaissance par voie de presse du contenu du rapport unilatéral, non contradictoire d’Amnesty International fondé sur des éléments manifestement erronés, n’ayant fait l’objet d’aucun recoupement pour la manifestation de la vérité.

Plus grave, le contenu de ce rapport a été exposé sur Radio France internationale ce jour 03 février 2021 par Monsieur Fabien OFFNER se disant Chercheur en Afrique de l’Ouest à Amnesty International, sans la moindre objectivité.

Le Ministère de la Justice apporte un démenti formel à toutes ces allégations infondées qui dénotent de l’esprit partisan et subjectif d’Amnesty International sur toutes les questions de droits humains concernant la République de Guinée.

Cependant, sans vouloir entrer en polémique avec Amnesty International, le Ministère de la Justice tient à apporter les précisions suivantes :

1- La République de Guinée est signataire de plusieurs conventions Internationales et Régionales relatives aux droits humains, tous ces instruments juridiques ont été internalisés dans sa législation pour être en conformité avec les standards internationaux en matière de détention.

À ce titre, les droits fondamentaux des détenus sont respectés aussi bien dans le domaine de la santé, de l’alimentation, de l’hygiène que de l’intégrité physique et morale.

En outre, ils bénéficient tous de l’assistance judiciaire à travers les prestations des avocats.

Affirmer péremptoirement qu’une telle prison est un « mouroir » où il n’existerait qu’« un médecin pour deux mille détenus environ », relève d’une légèreté déconcertante et méprisante de son auteur.

Par ailleurs, c’est le lieu de souligner que tous les détenus malades sont suivis par une équipe de médecins et bénéficient de soins appropriés dans les deux plus grands hôpitaux de la capitale.

2- Tous les cas de décès enregistrés à la Maison Centrale de Conakry, ont fait l’objet de communications du Ministère de la Justice accompagnées de dossiers médicaux délivrés par les médecins traitant avec indication des causes des décès et la possibilité pour les parents ou toutes les structures intéressées de demander d’éventuelles autopsies des corps.

À ce propos, aucune demande d’autopsie n’a été refusée ou restée infructueuse comme le prétend Amnesty International.

3- Le Ministère de la Justice rassure l’opinion que les personnes interpelées n’ont fait l’objet d’aucune arrestation arbitraire.

Toutes ces personnes sont poursuivies pour des infractions précises de nature à troubler l’ordre public et la stabilité de l’Etat.

Le Ministère de la Justice, garant des droits et liberté fondamentaux des citoyens, réaffirme son adhésion à la déclaration universelle des droits de l’homme et son attachement aux principes de l’Etat de Droit et de la Démocratie.

Fait à Conakry, le 03 Janvier 2021

Service de Presse et de la Communication

Sekou KEITA

 

Le président Alpha Condé obtient sa carte d’identité biométrique

Le président de la république Alpha Condé a lancé hier, mardi 02 février 2021 la délivrance des cartes d’identité biométriques. C’est dans l’enceinte du palais  Sékhoutouréyah qu’Alpha Condé s’est fait enrôler.

« Monsieur le président de la République, premier citoyen du pays, s’est prêté à cet exercice. A partir d’aujourd’hui, il a son acte de naissance biométrique et sa carte d’identité. Les éléments qui permettent une identification irréprochable d’un citoyen sont désormais réunis de façon sécurisée dans ce document« , indique le ministre de l’Administration du territoire et de la décentralisation.

Après son enrôlement, le chef de l’État s’est exprimé en ces termes sur sa page Facebook: « Carte d’identité biométrique, extrait de naissance: la modernisation de l’état civil est en marche ».

Selon le commissaire Mamadouba Paye Camara, chef de projet carte d’identité nationale biométrique, cette carte protège les donnés personnelles des usagers, « vous savez, la carte nationale d’identité biométrique comporte deux éléments très importants, à savoir votre empreinte biométrique et votre reconnaissance faciale qui sont des données personnelles bien protégées avec cette nouvelle carte ».

Pour le contrôleur général Mamadouba Paye Camara, « il n’est pas facile pour une autre personne d’avoir vos données personnelles. Cela  permet d’être protégé. A supposer que vous perdez votre d’identité ordinaire et quelqu’un met sa photo dessus, vous êtes responsable du dégât qu’il va faire. Mais avec la carte d’identité biométrique qu’on dispose maintenant, il n’est pas facile que quelqu’un puisse utiliser vos données personnelles« .

Notons que, cette nouvelle carte d’identité biométrique permet la libre circulation dans l’espace CEDEAO.