Guinée: le CNT approuve le chronogramme pour l’adoption de la loi de finance rectificative 2023

Réunis en séance plénière, lundi  11 septembre 2023, les membres du Conseil national de la transition, sous l’égide de leur Président, Dr Dansa Kourouma, ont adopté le chronogramme de travail consacré à l’examen et l’adoption du projet de la loi de finances rectificative de l’année.

 

Ce programme de travail a été approuvé par le Conseil National de la Transition (CNT), en marge de la présentation du projet de loi de finances rectificative (PLFR) 2023 par le gouvernement, à travers son économique et financier, comme l’indique le site d’informations Guinéematin. Selon le document, les Conseillers auront deux semaines d’intenses travaux en commissions, inter commissions et plénières, allant du 11 au 27 septembre 2023. Après la présentation du PLFR 2023, le lundi, les travaux portant examen du volet recettes vont se dérouler en Commission. Les journées du mercredi et jeudi seront consacrées au passage des ministres devant les commissions permanentes et une inter commission suivra le vendredi 15 septembre et portant sur le volet recettes du PLFR 2023.

Du 16 au 18 septembre, les Conseillers vont se consacrer à la rédaction et partage du Rapport sur le volet recettes du PLFR 2023. Et le mardi 19 septembre 2023 à 15 h, le CNT se retrouvera en séance plénière pour adopter le volet recettes du PLFR 2023. Du mercredi au jeudi, c’est la suite du passage des chefs de départements ministériels  dans les commissions permanentes. Le vendredi 22 septembre, les travaux porteront sur le volet Dépenses du PLFR avec les cadres des départements ministériels concernés en inter commission.

Du samedi 23 au mardi  26 septembre sont prévus la rédaction du rapport sur le volet dépenses et le Rapport final de la loi de finances rectificative 2023. Et le mercredi 27 septembre 2023, le CNT se réunira en séance plénière pour examiner et adopter la loi de finances rectificative 2023. A rappeler que cet exercice républicain entre dans le cadre de la bonne gouvernance et permet au Parlement de la transition de contrôler l’action gouvernementale dans la mobilisation des recettes et l’exécution des dépenses de l’Etat.