Guinée : la police brûle mille kilogramme de chanvre indien

Après  avoir saisie plus d’une tonne de chanvre la semaine dernière à Siguiri, la police à décider d’incinérer jeudi 3 février 2022 cette tonne dans le district de Tabakoro.
Selon le site Guinéenews.Com, c’est en présence des forces de défense et de sécurité, le président et le substitut du procureur du tribunal de première instance de Siguiri que le lot important de chanvre indien de plus de mille kilogrammes a été incinéré dans le district de Tabakoro.
Sur place, Colonel Abdoulaye Touré, le commandant du camp d’infanterie de Siguiri, a lancé un appel à la population.
« L’incinération de cette grande quantité de chanvre indien est la preuve de l’engagement des forces de défense et de sécurité dans le cadre de la protection des personnes et de leurs biens. Et nous lançons un appel envers la population, en ce qui concerne l’éducation des enfants pour empêcher la consommation de ces stupéfiants nuisibles  à la santé humaine. »
Ensuite, Lansana Cissé le président du tribunal de première instance de Siguiri a félicité les forces de défense et de sécurité, avant d’indiquer les infractions liées à la consommation du chanvre indien en Guinée.
« C’est salutaire le travail abattu par les forces de défense et de sécurité, car en Guinée la consommation, la vente du chanvre sont des infractions punies par la loi. Donc, au-delà de ça, il faut que les citoyens de Siguiri acceptent de collaborer pour que la justice et les forces de défense et de sécurité puissent vraiment jouer leur rôle », a-t-il affirmé.
A rappeler que cette quantité de chanvre indien incinérée a été saisie le dimanche 23 janvier 2022 dans le district de Tabakoro sur la route de Kouremalé, dans la commune urbaine de Siguiri.
Source: Guinéenews.Com

Conakry : un colonel de la police routière condamné pour « vol et abus d’autorité »

Selon l’article publié sur le site d’information Guinématin.Com, l’audience correctionnelle  s’est tenue le lundi 31 janvier 2022. Le tribunal de première instance de Dixinn a déclaré le colonel Nyankoye Sangbalamou coupable de « vol et d’abus d’autorité » et l’a condamné à 5 ans de prison assortie de sursis.

 

 

Cet officier de constat de la police routière était poursuivi par Samba Baïlo Diallo, un chauffeur, qui l’accuse d’avoir usé de son autorité pour lui soustraire des biens et le mettre en prison, a appris Guineematin.com à travers un de ses reporters.

Devant cette juridiction de première instance, le colonel Nyankoye Sangbalamou a comparu libre. Et, il a reconnu les faits de vol et d’abus d’autorité qui lui sont reprochés.

« Oui, j’ai abusé de mon autorité sur lui. J’ai décidé de le mettre en garde à vue. J’ai instruit aux agents de le déchausser pour maintenir sa garde à vue. J’avais peur qu’il ne fuit. Mais, je regrette d’avoir agi ainsi », a avoué l’officier de police sans trop de détails.

Appelé à la barre, le plaignant Samba Baïlo Diallo est revenu sur sa mésaventure dans les mains du colonel Nyankoye.

« C’est le nommé Ciré qui a accidenté le véhicule de quelqu’un. Une Rav4. Le véhicule était irréparable. Ciré est venu me trouver au parc, il m’a dit qu’il voulait acheter un véhicule Rav4 pour rembourser l’autre. Je lui ai proposé 45 millions de francs guinéens. Nous sommes allés montrer le véhicule au propriétaire du véhicule accidenté. Il nous a dit qu’il peut accepter ce véhicule, bien que son véhicule était plus valeureux que ce véhicule-là. C’est dans ça qu’on est resté pendant un bon moment. Et, un jour, le colonel m’a appelé. Je suis venu le trouver à la police routière de la Cimenterie. Il a  appelé deux agents. Il leur a instruit de me déshabiller. Ils ont enlevé mes chaussures, ma ceinture, ils m’ont fouillé et ils ont pris dans mes poches 350 mille francs guinéens. Les agents ont déposé tout ce qu’ils ont pris  dans le bureau du colonel avant de me jeter en prison. Il m’a laissé dans la cellule en me qualifiant de malhonnête. Entre-temps, le commissaire central est venu, je lui ai expliqué ce qui s’est passé. Je lui ai dit que moi je ne connais pas pourquoi je suis en garde à vue.  J’étais venu ici dans le cadre de revendre ma voiture. Mais, le colonel a laissé les accidentés et ceux qui avaient pris l’engagement de payer le véhicule pour s’en prendre à moi. C’est ainsi que le commissaire m’a mis en liberté. Mais, jusqu’à présent je n’ai pas récupéré mon véhicule et mon argent. C’est pourquoi je lui réclame le montant de 350 mille francs guinéens, ma voiture Rav4, mes chaussures, ma ceinture et ma bouteille de confo », a dit le plaignant.

Pour le procureur Cé Avis Gamy, ce comportement de cet officier de police n’est qu’une infime partie des torts infligés aux populations par des dépositaires de l’autorité publique.

« C’est un échantillon que nous avons devant nous. Les citoyens vivent régulièrement cette situation. C’est une situation à laquelle les citoyens sont exposés en longueur de journée. Ce sont des habitués des faits. Les gens ont peur d’eux à cause de leur tenue. Nous avons vu des avocats, des magistrats, agressés par des policiers ou des gendarmes. Un officier de constat n’a pas la vocation de s’immiscer dans les affaires civiles. Mais, ce sont des habitués de faits, c’est leur terrain de prédilection. Ce sont les citoyens qui sont devenus leurs cibles à abattre. Cette situation est vraiment regrettable.  Un officier supérieur de la police nationale qui a servi plus de 30 ans se livre à de tels actes qui violent la loi de la République. Si, c’était les petits brigadiers ou lieutenants, on aurait pu comprendre. Mais, un officier supérieur de la police, c’est vraiment regrettable. Le ministère public vous demande de le retenir dans les liens de prévention de vol et d’abus d’autorité. Et, pour la répression, le condamner à 5 mois d’emprisonnement avec sursis et un million de francs guinéens d’amende. Et, ordonner la restitution du véhicule », a requis le procureur avec un ton dur.

Finalement, le tribunal a condamné le colonel Nyankoye Sangbalamou à 5 ans d’emprisonnement avec sursis et 2 millions de francs guinéens d’amende. Le tribunal a également ordonné le paiement de 350 mille francs guinéens à  Samba Baïlo Diallo et la restitution de son véhicule.

Source: Guinéematin.Com

Guinée: un laboratoire illégal d’analyse des tests Covid 19 à Conakry

Un laboratoire d’analyse médicale non autorisé par le ministère de la santé  délivrant des résultats des tests Covid 19 est installé à l’aéroport Ahmed Sékou Touré de Conakry.

 

 

Selon l’article publié sur le site Guinéenews.Com, ce laboratoire du nom de Enverque GMBH tenu par des médecins et des laborantins étrangers non conventionnés, donc non autorisés par les autorités à exercer la médecine en Guinée, opèrent depuis une semaine et délivrent des résultats de tests Covid aux passagers à destination de Dubai.

C’est la Société de gestion de l’Aéroport de Conakry qui a conclu un deal secret le 24 janvier dernier avec ce laboratoire, à l’insu du ministère de la santé, de l’ANSS et de l’INSP, selon nos informations. Les passagers à destination des Emirats Arabes Unis sont obligés de payer deux fois le test Covid. Le premier paiement est effectué légalement à la banque et les prélèvements sanguins effectués sur l’esplanade du Palais du Peuple et le second à 640 000 francs guinéens est imposé à tous les passagers voulant embarquer à destination de Dubai par Emirates.

Pire, selon des sources médicales, le test PCR du laboratoire GMHBH n’est pas homologué par l’OMS, car n’ayant que 73% de sensibilité. La norme acceptée étant une sensibilité supérieure à 90%. C’est l’argument de rapidité des résultats (8 heures) qui a été utilisé pour installer clandestinement ce laboratoire, au détriment de sa fiabilité, nous informe-t-on.

Dans une publication récente sur sa page Facebook, le directeur général de la SOGEAC Namory Camara a salué cet accord avec ce laboratoire étranger, mais omettant de préciser que le labo n’a été autorisé par le ministère de la santé et que ses tests Covid ne sont pas homologués  par l’OMS.

Source: Guinéenews.Com

Guinée: le vice- maire de Sannoun dénonce les maux de sa circonscription

 Le vice – maire de Sannoun à décidé de briser le silence afin de dénoncer tous les maux qui minent  dans la société.

 

 

Selon le site Guinéenews.Com, l’insécurité bat son plein  à Sannoun où viols, drogue, alcool et mariages précoces se côtoient  sous l’œil « impuissant » des autorités. Une situation que le premier vice-maire de cette commune rurale située à l’est de la préfecture de Labé a bien voulu aborder au micro de Guinéenews.

Boubacar Baldé a déploré le fait que les présumés violeurs ne sont jamais mis aux arrêts. «Ça nous fatigue énormément car des filles sont quotidiennement violées, on assiste toujours à des cas de viols alors que les présumés auteurs ne sont jamais mis aux arrêts. La plupart des cas, ils prennent la fuite c’est comme la dernière fois on en avait même parlé dans les radios suite à la fuite des présumés auteurs », déplore-t-il.

La vente et la consommation des drogues semblent être l’une des causes des violences sexuelles qui se multiplient dans ce petit village. « Il y a plusieurs points de vente et de consommation de la drogue comme derrière le collège. Heureusement avec l’arrivée du sous-préfet qui est un homme en tenue, on va s’entraider pour mettre terme à ça. Sinon quand vous venez derrière le collège ,vous vous demandez si c’est une école ou autre tellement que des consommateurs de drogue se retrouvent à ce niveau. Mais on commence à planifier la riposte »,  prévient le vice-maire.

Ce n’est que la drogue. Il y a aussi  l’alcool qui s’invite dans le village avec des points de vente clandestins. Une situation que le conseil communal de Sannoun promet de réglementer très prochainement. « On m’apprend aussi le fonctionnement de maquis à Sannoun mais on va essayer de réglementer tout cela » promet Boubacar Baldé, le premier vice-maire de la commune rurale de Sannoun.

Pour ce qui est du mariage précoce, il cite un exemple très récent : « le mariage précoce est le second problème qui nous donne du fil à retordre ici. Pas plus tard que la semaine dernière, deux fillettes de 12 ans étaient programmées pour des mariages à Ley-Yaali et Mattara. Dès qu’on a eu l’information, on a mis fin au processus et on les a mis en garde par rapport à toute nouvelle tentative de relancer les cérémonies. Donc, on s’est quitté dans ça », soutient-il.

Il faut signaler que cette débauche se développe dans la quasi-totalité des communautés rurales de la région administrative de Labé.

Source: Guinéenews.Com

Guinée : un train tue une jeune fille de 7 ans à Kamsar

La scène s’est déroulée mardi 1er février 2022 au quartier Filima une banlieue de Kamsar où le train a percuté une fillette et cette dernière a perdu la vie sur le coup.

 

Selon le site d’information Guinéenews.Com, un train minéralier a mortellement percuté dans l’après-midi, mardi 1er février 2022 une fillette de 7 ans dans le quartier Filima, en banlieue de Kamsar, une localité minière située à plus de 300Km de la capitale Conakry.

Selon les parents de la victime, l’accident s’est produit entre 12 heures et 13 heures. La défunte, confie la famille, était accompagnée de ses frères lorsqu’elle a été fauchée de façon mortelle par un train minéralier transportant de la bauxite.

En attendant d’être d’inhumé, le corps sans vie de la petite Safiatou est gardé à la morgue de l’hôpital ANAIM de Kamsar.

Source: Guinéenews.Com

Labé : le préfet organise une campagne de lutte contre les médicaments de la rue

Dans son ambition de lutter contre la vente des médicaments de la rue, le préfet à déployé des  éléments de force de l’ordre sur différents coins de Labé,  afin de mettre fin à cette vente illicite.

 

Selon un article publié sur le site de Guinéenews.Com,  c’est après une période de sensibilisation via la publication d’une série de communiqués sur les ondes des radios publiques et privées de la place, que le préfet de Labé semble finalement passer à la vitesse supérieure par rapport au trafic de médicament qui prend des proportions inquiétantes dans la cité. Pour cette lutte qui lui tient à cœur, le Colonel Seny Silver Camara a déployé et la gendarmerie et la police, a constaté sur place la rédaction locale de Guinéenews.

Sur les motivations réelles d’une telle démarche, le préfet est on ne peut plus clair : « à l’époque j’ai remarqué que tous les crimes qui se commettaient étaient dus à la consommation de ces produits à savoir du valium, du tramadol, … J’ai constaté que cela est vendu dans ces pharmacies installées un peu partout en bordure de route comme des cacahuètes. Ils vendent aux jeunes sans prescriptions. Comme c’est un produit qui passe vite, ils font de cela leur marchandise principale. Connaissant la chose qui alimente ces crimes, je ne peux pas croiser les bras. Il faut que je me lève contre ça », justifie-t-il.

Pour ce faire, la tutelle a d’abord identifié une quarantaine de boutiques de vente de médicament à travers le centre de la commune urbaine de Labé. « C’est pourquoi, j’ai maintenant appelé la police et la gendarmerie qui relève de ma compétence car j’ai moi-même procédé à l’identification de ces pharmacies par terre. De nos jours vous avez 44 pharmacies du genre installées en bordure de route. Donc, j’ai divisé le travail entre la gendarmerie et la police », ajoute le préfet de Labé.

Sauf que malgré le déclenchement de la vaste campagne qui laisse déjà des traces visibles sur le terrain, le combat est loin d’être gagné comme le reconnaît le colonel Sény Silver Camara. « Ils n’ont pas tous fermé ; ils ont changé de stratégie. C’est avant-hier que j’ai constaté que des fois quand je prends la voiture moi-même, je sors. Tu verras la journée, c’est fermé mais à partir de 19 heures ils ouvrent. Et la dernière découverte, qu’est ce qu’ils font, ils paient les petites boîtes de crèmes qu’ils mettent sur le comptoir, alors que les produits prohibés sont derrière », soutient-il.

Il faut signaler que cette campagne répressive ne vise en cette première phase que les boutiques de vente de médicaments installés dans les quartiers. Ce, alors que les marchés sont de nos jours inondés de boutiques, kiosques et même tables de médicaments.

Source: Guinéenews.Com

Guinée : cinq présumés malfrats mis aux arrêts par les forces de défenses

Ces  derniers ont été arrêtés et présentés à la presse dimanche 30 janvier 2022. Tout en  donnant  les différentes procédures qu’ils utilisent pour pouvoir arnaquer leur cible.

 

 

 

Le phénomène d’insécurité devient de plus en plus  récurrent dans la ville de Kankan. Pour lutter contre ce fléau, les agents de sécurité ont réussi à mettre la main sur certains de ces  présumés voleurs. Selon l’article publié sur le site Guinéenews.Com, Le premier dénommé S S, serait un bandit de grand chemin qui opère sur les routes nationales à travers la ville en se faisant passer pour un mécanicien. Il reconnaît, lui-même les faits qui lui sont reprochés et explique comment il se fait choper : « J’ai volé une moto avec un vieil homme sur la route de Kankan Kissidougou. Arrivé au niveau du barrage des agents de la gendarmerie routière, c’est là qu’ils m’ont arrêté. Ils m’ont demandé les pièces de la moto que je n’avais pas. C’est comme ça que je me suis fait arrêter», nous a-t-il confié.

En marge de son arrestation, il aurait tenté en vain de soudoyer les agents avec une somme de 2 millions de GNF, selon le lieutenant-colonel, Yacouba Soumah, commandant adjoint de la gendarmerie routière de Kankan :« On avait déjà reçu une information concernant le vol d’une moto TVS sur la route de Kankan Kissidougou. On a pris les dispositions pour renforcer le contrôle. Et vers 12 heures, cet individu est arrivé. On l’a posé assez de questions qu’il ne parvenait pas à répondre. C’est ainsi qu’il a été pris. La victime est venue, elle a reconnu sa moto tout en présentant les documents y afférant. Même s’il tentait de donner plus que 2 millions, mes hommes n’auraient pas accepté. Parce qu’il nous est formellement interdit de prendre de l’argent avec les usagers de la route », a-t-il assuré.

Dans le même temps, du côté du service de la garnison militaire au camp Soundiata Keita, les agents ont eux aussi réussi à mettre le grappin sur un gang de présumés malfrats. Au nombre de 3, ceux-ci sont réputés dans  le vol d’engins roulants et de bétail.

« On a aperçu l’un d’eux à 2 heures du matin sur une moto avec un mouton. Quand il nous a vu à sa poursuite, il s’est débarrassé de tout pour s’enfuir. Mais grâce à la collaboration des  gens, on a réussi à l’avoir. Et poursuivant nos investigations, on est allé trouver qu’ils ont un grain de thé au quartier Bordo. Ils peuvent atteindre jusqu’à 30 personnes dirigées un chef dont nous avons pu arrêter aussi. Chaque dimanche, ils commissionnent une personne du gang à la tâche de les envoyer au moins un mouton », a dénoncé le commandant Sidibé, chef de la garnison militaire de Kankan.

Par ailleurs, un autre présumé voleur de tricycle, dénommé M C arrêté par les mêmes agents de la garnison militaire a été aussi présenté aux hommes de média ce matin. Ce dernier, contrairement aux autres, n’a pas reconnu les faits qui lui sont reprochés.

En attendant le transfert de leurs dossiers devant le tribunal de première instance de Kankan, tous ces présumés malfrats, ont été placés en détention.

Source: Guinéenews.Com

Guinée: Falcon Communication organise un concert pour l’unité nationale

Un concert géant dédié à la paix et l’unité nationale  sera organisé le 28 et 29 janvier prochain à l’esplanade du Palais du peuple.  Plusieurs artistes  nationaux et panafricains, prendront part à ce grand concert.

Selon l’article publié sur Guinéenews.Com, l’initiative est de la structure de Falcon Communication qui justifie le bien-fondé de l’événement par une manière de réunir le peuple autour d’un spectacle après plusieurs années de violences, notamment politiques.

Invité sur le projet, Moussa Doumbia, alias Tiken Jah Fakoli a tout d’abord exprimé la fierté qui l’anime de se retrouver en Guinée après son spectacle de 2009. Ensuite, le reggaeman panafricain a promis un concert époustouflant pour le plaisir du public mélomane de Conakry.

Même son de cloche pour l’artiste malien Sidiki Diabaté qui ne compte pas lésiner sur son énergie pour la cause de la paix et de l’unité nationale en République de Guinée.

Source: Guinéenews.Com

Siguiri : les forces de défenses saisissent plus de mille kilogramme de chanvre indien

C’est lors d’une patrouille inopinée qu’ont effectué les hommes armés dans cette ville qu’une grande quantité de chanvre a été découvert à Tabakoro.

 

 

Selon l’article publié sur le  site d’information Guinéenews.Com, une patrouille mixte des forces de défense et de sécurité de Siguiri a effectué une saisie de plus de mille kilogrammes de chanvre indien dans la commune urbaine de la ville, a appris Guineenews, ce jeudi 27 janvier 2022.

C’est au camp d’infanterie de Siguiri que la présentation de la quantité saisie a été faite à la presse en présence de l’ensemble des autorités locales. En donnant les détails, le chef d’escadron, Ibrahima Sory Sidibé, commandant de compagnie de la gendarmerie territoriale de Siguiri, a demandé aux citoyens de les aider en les fournissant des informations.

« Il y a la saisie de 25 sacs contenant plus de mille kilogrammes de chanvre indien. Donc, cette autre saisie est le fruit de l’effort des forces de défense et de sécurité. Nous demandons aux citoyens de nous aider, pour que nous puissions mettre hors d’état de nuire les malfrats », sollicite-t-il.

Pour plus de précisions, le Colonel Abdoulaye Touré,  le commandant du camp d’infanterie de Siguiri a indiqué que la saisie s’est déroulée non loin du camp et ne compte pas reculer dans la lutte contre le grand banditisme. « L’opération s’est déroulée dans la nuit du dimanche 23 janvier dans le secteur de Tabakoro dans la commune urbaine de Siguiri sur la route de Kouremalé. Mais ce qui reste clair nous n’allons pas reculer dans ce combat noble de la lutte contre l’insécurité, le grand banditisme à Siguiri. »

Il faut rappeler que les propriétaires de cette quantité de chanvre indien sont introuvables pour le moment car ayant pris la poudre d’escampette avant la présence des forces de défense et de sécurité sur les lieux.

Source: Guinéenews.Com

Guinée : Laye Terna Samoura nommé directeur national au ministère de l’agriculture

L’annonce a été faite mercredi 26 janvier 2022 à la télévision nationale. Il a été nommé par décret présidentiel.

 

Depuis quelques semaines, le président de la transition réorganise son gouvernement, par des nouvelles nominations, la restructuration des ministères et biens d’autres.

Le ministère de l’agriculture et de l’enlevage a un nouveau directeur national du foncier rural et du patrimoine du ministère de l’Agriculture. Il a été nommé mercredi par le président Mamadi Doumbouya.

Laye Terna Samoura, occupait le poste d’huissier de justice, titulaire de charge. Il remplace  a ce poste Sâ Pascal Tenguiano.