Siddy Diallo reconduit à la tête du SPPG

Conakry (journaldeconakry.com) – Le Syndicat des professionnels de la presse privée de Guinée a tenu son congrès électif ce mercredi 26 septembre 2018 à Conakry.

Candidat à sa propre succession, au poste de secrétaire général, Siddy Diallo, journaliste, a raflé la quasi-totalité des voix et a été reconduit.

Des camarades de l’union syndicale des travailleurs de Guinée(USTG) et de la confédération nationale des travailleurs de Guinée (CNTG) et des responsables de l’union des radios et télévisions libres de Guinée (URTELGUI) ont constitué le pool de juge.

Pour ce congrès, il y avait 11 postes à pourvoir.

Après lecture de quelques règles régissant le bon fonctionnement de la structure, le Camarade Elhadj Bela Diallo a ordonné le vote. Il estime que les élections se sont déroulées dans de très bonnes conditions, et dans la transparence.

Dans ce nouveau bureau composé de 11 journalistes, 7 sont nouvellement élus et les autres 4 ont été réélus à leur ancien poste.

«C’est un grand jour pour nous. Nous allons essayer d’augmenter beaucoup plus d’énergie permettant encore une fois de défendre l’intérêt des journalistes. Nous aurons d’autres ambitions et nous ferons de navigation mieux pour relever le grand défi», a déclaré Siddy Diallo , secrétaire général du Syndicat des professionnels de la presse privée de Guinée (SPPG).

La cerise sur le gâteau de ce syndicat est la signature d’une convention collective pour les journalistes guinéens à l’image des autres pays de la sous région .

Pour Sanou Kerfala Cissé, président de l’Union des radios et télévisions libres de Guinée , l’heure est au travail.

«La recommandation que je donne c’est de se mettre rapidement à la tâche pour trouver un siège pour le SPPG».

Il faut rappeler que ce syndicat a été mis en place en 2015. La prise en fonction de ce nouveau bureau se fera ultérieurement.

Il est à préciser que ce syndicat est le premier du genre dans le paysage médiatique guinéen.

Le secrétaire du SLECG ne compte pas suspendre la grève

Conakry (journaldeconakry.com) – Le secrétaire général du Syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée (SLECG), Aboubacar Soumah, a confié mercredi à aux médias locaux que ce n’est pas parce que l’inspecteur général du travail a appelé à la reprise des négociations autour des 8 millions de francs guinéens que le SLECG va suspendre la grève annoncée pour le 3 octobre prochain.

Selon le syndicaliste, c’est quand ils vont obtenir quelque chose dans les 8 millions qu’ils vont suspendre la grève.

« Même si, ils ont retardé l’invitation, nous allons répondre. De toutes les façons, la grève est déjà programmée pour le 03 octobre prochain, ça ne nous empêche pas d’être à la table et discuter. Et ça ne nous empêche pas aussi de déclencher la grève le 03 octobre », a lâché Aboubacar Soumah.

D’après lui, « on peut continuer dans la grève et à négocier. Si on obtient les 8 millions d’ici le 03 octobre prochain, il n’y a pas de problème. Ce n’est pas parce qu’on ouvre les négociations que nous allons suspendre la grève. Mais c’est le fait d’obtenir quelque chose dans les 8 millions que nous allons suspendre la grève. Donc tant que cela n’est pas fait, la grève sera toujours maintenue ».

Crise à la Cour Constitutionnelle : un nouvel agenda des manifestations dévoilé

Kaloum (journaldeconakry.com) – Au sortir d’une plénière ce mercredi 25 septembre, l’opposition républicaine et la cellule balai citoyen, structure de la société civile guinéenne, ont dévoilé un calendrier de manifestations contre la tentative de destitution de Kelefa Sall, président de la cour constitutionnelle.

«Un calendrier commun a été obtenu sous le leadership du balai citoyen. Le syndicat, les partis politiques vont accompagner. Donc le calendrier se présente comme suit : ce jeudi 26 septembre, ça sera des rencontres citoyennes, l’ensemble des leaders politiques, des syndicats, et de la société civile, seront dans les secteurs, les quartiers, les communes pour renforcer le travail déjà fait par le balai citoyen pour l’information, la mobilisation et la sensibilisation de nos concitoyens, pour leur dire que la nation est menacée par cette tentative de putsch qui a été déjouée par le peuple souverain de Guinée. Après cette journée, le jeudi, on s’est accordé qu’un grand sit-in soit organisé à la devanture de la cour constitutionnelle. Ce sit-in ne sera pas comme le précèdent dans la mesure où toutes les dispositions ont été prises par les syndicats, par les partis politiques, par nous organisateurs au niveau du balai citoyen  afin de drainer toute une marée humaine au niveau de Kaloum. Pour les points de départ, dans les cinq communes, un travail de fond sera fait  et dès 6 heures, tout le peuple souverain de Guinée va se diriger vers la cour constitutionnelle afin de restaurer l’ordre constitutionnel qui a été en partie dénaturé par ces 7 putschistes, comme nous avons suivi l’évolution de l’évènement à travers  la sortie du greffier Me Daye Kaba qui a clôt le débat.  Une commission de travail sera mise en place,  sur le leadership du balai citoyen qui va conduire la marche citoyenne le lundi 1er octobre 2018 sur l’autoroute Fidel Castro qui aura pour point de départ, l’itinéraire rond-point tannerie en destination de l’esplanade du stade du 28 septembre », a précisé Cellou Dalein Diallo, chef de file de l’opposition guinéenne.

Grève annoncée du SLECG : l’inspection du travail appelle à la reprise des négociations

Conakry (journaldeconakry.com) – Hier, mardi, le SLECG a annoncé qu’elle va entamer une grève générale et illimitée à parti du 03 octobre date de la rentrée scolaire.

Pour essayer de calmer les syndicalistes, l’Inspecteur Général du travail a adressé au SLECG un courrier dans lequel il appelle a renoue le contact pour la reprise des négociations.

« Suite à nos conversation téléphoniques d’hier, lundi 24 septembre et ce mardi matin, auxquelles je vous ai convié à la reprise des négociations le jeudi 27 septembre 2018 à 10 heures dans la salle de réunion du CPA de la fondation publique », a écrit  Alia Camara.

L’inspecteur, ici, se fait le devoir d’inviter le SLECG, à la reprise des négociations, dès demain jeudi 27 septembre.

Le livre « mémoire collective » dédicacée à Conakry

Conakry (journaldeconakry.com) – Le livre intitulé  » mémoire collective » a été publié dans la soirée de ce mardi 25 septembre 2018 au palais du peuple de Conakry.

Ce livre de 354 pages, relate une histoire plurielle des violences politiques en Guinée de 1954 à 2009. La rédaction et la présentation de ce livre ont réuni défenseurs des droits de l’Homme, écrivains guinéens et anciens collaborateurs de feu Ahmed Sékou Touré, victimes du camp Boiro,victimes du 28 septembre 2009.

Khalifa Gassama Diaby, ministre de l’unité nationale et de la citoyenneté et Cellou Dalein Diallo, du chef de file de l’opposition guinéenne, ont aussi assisté à cette cérémonie. Selon le modérateur de la cérémonie, Juan Gomez de Radio France Internationale (RFI), la rédaction de ce livre a été rendue possible par l’Union Européenne grâce à son appui financier.

Ce livre « mémoire collective » est l’œuvre de la Fédération Internationale de Défense des droits de l’Homme (FIDH), de certains historiens guinéens, des journalistes correspondants de la RFI en Guinée et des rescapés du camp Boiro. Le livre comprend six (6) épisodes et pèse 2 kilos 100, selon notre confrère de RFI. Le président de l’OGDH, Abdoul Khadiry Diallo, a précisé selon lui, la raison fondamentale de la rédaction de ce livre qui, il faut le dire, suscite déjà assez de débats.

« C’est une façon de commencer à écrire l’histoire de la Guinée pour que nous nous assumions (…) On veut que la jeunesse guinéenne et les futures générations, découvrent ce que la Guinée a connu et que l’on ne soit pas plus dans l’extrapolation », a-t-il dit.

Suite aux témoignages de Mouctar Bah, un des correspondants de la radio France internationale en Guinée, sur les événements du 22 septembre, la tension est monté d’un cran dans la salle suite à la réaction de certains Sekoutoureistes.

El Hadj Diao Kanté, qui n’appréciaient pas certains pans de l’histoire du règne de Sékou Touré, tels que présentés dans le livre et racontés dans la salle, a failli de peu craquer et laisser exploser sa colère. La tension a été vite maîtrisée et la cérémonie a continué son cour normal. Il faut souligner déjà que ce livre fait polémique dans la cité.

Certains Guinéens se disent contre ce livre car, selon eux, l’histoire de la Guinée ne se résume pas qu’aux violences politiques. Ils estiment que ce n’est pas à la France de raconter l’histoire de la Guinée .

Dr Saliou Bela Diallo nommé directeur général du ANAQ

Conakry (journaldeconakry.com) – Dr Saliou Bela Diallo, professeur à la faculté de médecine à l’université Gamal Abdel Nasser de Conakry, est nommé directeur général de conseil d’administration de qualité de l’autorité nationale d’assurance qualité dans l’enseignement, la formation et la recherche.

C’est le contenu d’un décret lu ce mercredi soir à la télévision nationale.

Le même décret a nommé les membres du conseil d’administration de l’autorité nationale d’assurance qualité dans l’enseignement, la formation et la recherche qui sont entre autres : Elhadj Harouna Béreté, conseiller chargé de l’éducation à la primature, Dr Mamadou Bah Touré professeur à la faculté des sciences à l’université Gamal Abdel Nasser de Conakry, Ibrahima Sory Soumah directeur adjoint du bureau de stratégie et de développement au ministère de l’enseignement technique, de la formation professionnelle, de l’emploi et du travail, Bateau Richard Gonoté, chef division, planification et développement de l’enseignement secondaire général et technique au ministère de l’éducation nationale et de l’alphabétisation, Joachim Lamah, secrétaire général du ministère de l’économie et des finances, Macé Camara, directeur général du centre de perfectionnement administratif au ministère de la fonction publique et de la réforme de l’État et de la modernisation de l’administration, Mamadou Cellou Soirée, vice-président de la chambre représentative des universités privés, membre du conseil national du patronat guinéen , du secteur socio économique , Pr Abel Karim Koumare ,expert en assurance qualité et directeur général de l’institut africain de formation en pédagogie , recherche et évaluation en science de la santé du Mali, Dr Caroline Camus experte en assurance qualité en service aux ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche France , Dr Randamne experte en assurance qualité , doyenne de la faculté des sciences sociales à l’université d’Allemagne.

L’article 2 du même décret a indiqué que la dépense est imputable au budget du ministère de l’Education nationale et  l’alphabétisation exercice 2018.

Il faut préciser que Dr Saliou Bela Diallo est le porte-parole de la mouvance présidentielle depuis près de deux années maintenant.

Installation des conseillers communaux : l’opposition demande plus de précisions à Bourema Condé 

Conakry (journaldeconaky.com) – Le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation a indiqué ce lundi dans un communiqué diffusé sur les ondes de la radio nationale que les conseillers communaux seront installés à partir du 05 octobre prochain sur toute l’étendue du territoire .

Au cours d’une plénière tenue ce mardi, l’opposition républicaine a dit prendre acte de cette annonce faite par le Général Bourema Condé et demande au ministre d’être beaucoup plus précis dans sa démarche.

«On a pris acte du communiqué radiodiffusé du ministère de l’administration du territoire et de la décentralisation indiquant que les exécutifs des conseillers communaux seront mis en place à partir du 5 octobre, nous espérons que le ministre ne paniquera pas très rapidement de préciser les dates ou la date parce que normalement les conseillers communaux doivent être installés le même jour, ils ont le même mandat, ils ont été élus le même jour. Mais lorsqu’on dit à partir, on ne sait si c’est à partir de cette date qu’il va préciser les dates ou s’il faut peut-être il va étaler ça sur une période donnée. Donc, ce que nous demandons à M. le ministre et on le féra dans les formes appropriées c’est d’abord convoqué le comité de suivi pour qu’ensemble on définisse les modalités de mise en place de ces conseillers communaux pour qu’il puisse, lui qui a la charge de conduire cette opération, faire un circulaire informant l’ensemble des candidats des modalités de mise en place de ces conseils», a affirmé Cellou Dalein Diallo président de l’UFDG.

Poursuivant ses explications, Cellou Dalein a beaucoup insisté sur les élections pouvant conduire à l’installation de ces conseillers. Le chef de file de l’opposition demande au ministre de l’Administration du territoire et de la décentralisation à ce que l’élection soit transparente, pour, dit il, que les résultats soient acceptés.

«Comment on fait, c’est des élections on le sait, la loi a dit des élections mais comment pratiquement on peut assurer, garantir la transparence de ces élections pour que les résultats soient acceptés de tous parce que souvent on parle de paix mais la paix aussi c’est la confiance. Si on a confiance au processus on sais que c’est un processus transparent et bien on a pas de raison pour refuser naturellement les résultats de ce scrutin », a-t- il précisé.

Pour rappel, les conseillers communaux ont été élu depuis le 04 février 2018 et ne sont toujours pas installés.

Le SLEECG annonce une grève générale et illimitée à compter du 03 octobre prochain 

Le Syndicat Libre des Enseignants et Chercheurs de Guinée met sa menace en exécution. En effet, le SLEECG à travers une déclaration avait demandé au gouvernement la reprise des négociations portant sur les huit millions de salaire de base pour les enseignants guinéens.
La structure syndicale avait donné un ultimatum allant jusqu’à ce mardi au gouvernement pour la reprise des négociations.
Ce délai expiré, le SLEECG passe à la vitesse supérieure et annonce qu’elle va déclencher une grève générale et illimitée sur toute l’étendue du territoire national dans le secteur éducatif à compter du 03 octobre 2018.

L’annonce a été faite ce mardi  par le secrétaire général du Syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée à travers une déclaration.
Dans sa déclaration, le SLEECG dénonce les points suivants : «Considérant le non respect du protocole d’accord signé le 13 mars 2018, considérant la suspension des négociations suite à la déclaration du 1er ministre, considérant le refus délibéré du gouvernement à relancer les négociations en dépit de la bonne volonté du syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée».
Le bureau exécutif du SLEECG, a invité tous les enseignants et enseignants chercheurs à observer ce mot d’ordre de grève en restant à leurs domiciles. Il invite également les parents d’élèves à garder leurs enfants à la maison.
Pour rappel, ces négociations avaient été suspendues à cause de l’arrestation du chargé de communication du SLEECG.
Pour l’heure aucune réaction de la part des autorités de l’éducation encore moins du gouvernement.
À l’allure où vont les choses, un risque de troubles est à craindre dans le système éducatif guinéen d’autant plus que c’est le 03 octobre que le gouvernement a fixé la rentrée des classes.
Affaire à suivre

HADJ 2018: Le dernier convoi de pèlerins guinéens est arrivé à Conakry

Plus de 200 pèlerins qui constituaient la vague de pèlerins guinéens sont arrivés ce mardi 25 septembre 2018 à Conakry. Leur avion a atterri peu après 8 heures de la matinée.

«  Grâce à Dieu, le dernier convoi est arrivé ce matin à Conakry. Tout s’est bien passé en ce qui concerne l’exécution des rites du pèlerinage », a déclaré El hadj Abdoul Jamal, Secrétaire général aux Affaires religieuses.

Ces derniers, des rumeurs avaient fait état de nombreux pèlerins guinéens qui, faute de logement,  passaient la nuit à la belle étoile. Ce que dément El hadj Alhassane Fofana,  un des pèlerins.

«On n’a jamais été délogés de nos lieux de résidence, et la nourriture n’a jamais manqué », a-t-il témoigné.

Selon  Ansoumane Condé, ministre d’Etat et Président de la commission  nationale d’appui à l’organisation du pèlerinage,  les rumeurs sur le mauvais traitement des pèlerins n’étaient pas fondées.

«  Quand vous arrivez à la Mecque, certains tombent malades là-bas, mais ils sont tout de suite hospitalisés. D’autres s’égarent dans la circulation, d’autres encore perdent même leurs passeports.  C’est le dernier convoi qui ramasse tous ces gens pour rentrer.  C’est pour cela que tout le monde n’a pas pu être à Conakry depuis le 21 septembre. A notre demande, on a décalé de 72 heures l’arrivée du dernier convoi pour nous permettre de remplir les formalités pour ceux qui étaient en situation difficile, d’aller négocier avec les médecins  pour les malades qui étaient  à l’hôpital. Aucun pèlerin n’a passé la nuit dehors », a-t-il expliqué.

Toutefois, il a indiqué que des leçons sont à tirer de ce pèlerinage.

Togo: Tibou Kamara estime qu’il ne faut pas faire « du fétichisme » sur le chronogramme

Au Togo, Tibou Kamara, représentant le facilitateur guinéen, estime qu’il ne faut pas faire « du fétichisme » sur le chronogramme.

Le comité de suivi de la Cédéao s’est réuni, ce dimanche 23 septembre 2018, avec les protagonistes de la crise togolaise. Plusieurs points d’achoppement ont été levés et les deux protagonistes ont estimé qu’il y a eu des avancées.
Une demi-journée de travail à huis clos et les tensions sont redescendues de part et d’autre. Au finish, le processus électoral va se poursuivre, comme l’explique Gilbert Bawara, ministre de la Fonction publique et point focal du gouvernement au dialogue : « Vous avez suivi le communiqué et la satisfaction de toutes les parties par rapport aux mesures prises par le gouvernement. Le processus électoral va se poursuivre également dans un élan d’inclusion et de participation plus grande de toutes les parties prenantes ».

L’opposition a désormais la possibilité de choisir ses huit représentants à la Commission électorale nationale indépendante (Céni) . Cette fois-ci, elle admet d’y être d’ici le 30 septembre pour poursuivre le processus électoral. Une position que partage Jean-Pierre Fabre de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) : « Sur certains points, il y a eu des avancées. Sur le reste, on attend. On sera à la Céni. Maintenant que là-dessus, il y a une avancée, on participera à la mise en place ».

Quelle date pour les élections ?

Les réformes, constitutionnelle et institutionnelle, se feront avant le 20 décembre et par voie parlementaire. Le calendrier de travail est globalement accepté par toutes les parties prenantes. Il fera l’objet d’examen et d’affinement par la Céni, avec l’appui des experts électoraux recrutés par la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao).

Une question subsiste toutefois : les élections législatives auront-elles lieu le 20 décembre comme prévu par la feuille de route ? Le ministre Tibou Kamara, représentant le facilitateur guinéen, estime qu’il ne faut pas faire « du fétichisme » sur le chronogramme. Il faut travailler pour organiser des élections crédibles et équitables.